Le Chat Du Nord

da qui bénéficiera de plus de spécialistes afin de pouvoir développer de nouvelles technologies. De plus comme le témoigne Ogake Anne Angwenyi originaire du Kenya qui étudie dans une université a Vancouver le Canada est un excellent pays d’accueil pour les nouveaux arrivant qui cherchent à s’intégrer et en apprendre, il offre des apprentissages beaucoup plus larges que certain pays plus défavorisé : ‹‹Tout est si facile au Canada. La vie y est bonne, et les Canadiens sont ouverts aux non-Canadiens. Et tout y est si fiable : au Kenya, un professeur peut donner un cours une journée et décider de ne pas venir le lendemain! De plus, le nombre d’opportunités d’emploies y est très avantageux pour se bâtir une expérience de travail. ››

Deuxièmement, comme pour l’Amérique du nord l’exode des cerveaux peut être vu de façon positive ou négative en Afrique. Tout dépendant de comment cet exode s’exécute. Certaine personnes dise que l’Afrique est en train de perdre les personnes dont dépend son développement social, scientifique et technologique. Selon Ainalem Tebeje ‹‹Dans 25 ans, l’Afrique sera vidée de ses cerveaux.›› Il est vrai que depuis 1990 l’Afrique a perdu 20 000 spécialistes par année, qu’on dénombre plus de 300 000 spécialistes africains qui habitent a l’extérieur de l’Afrique et que 35% de l’Aide Public au Développement destinée à l’Afrique sert a payer des spécialistes étrangers.Mais d’un certain point de vue l’exode des cerveaux peut être extrêmement bénéfique aux pays d’Afrique. Car le transfert des cerveaux dans des pays a haut développement peut permettre au savoir de se transmettre plus facilement car les habitants de l’Afrique on un attachement a leurs famille et a leurs racines donc afin de permettre a leur pays de se développer, ils leurs envoient de l’argent ou en leurs transmettent leur connaissance soit en retournant sur leurs terre d’origine et apprendre ce qu’ils savent a leurs compatriotes ou en utilisant des technologie permettant de communiquer outre-mer avec leur pays d’origine via internet. L’exode des cerveaux peut donc permettre au développement de l’Afrique et a la hausse de la pauvreté. Voici encore une fois le témoignage très pertinent d’Obake Anne qui retournera définitivement chez elle : ‹‹Je suis du Kenya, et mon peuple a besoin de mon expérience bien plus que les Canadiens. L’exode des cerveaux ne devrait pas être vu comme un vol de la part des pays riches mais plutôt comme un transfert de compétences. Tout ce que le Canada devrait faire, c’est préconiser le retour de ces jeunes chez eux par le biais de partenariat entre le gouvernement, organisations et entreprises››

Finalement le phénomène qu’est l’exode des cerveaux peut etre perçu de façon positives ou négatives tout dépendant de la façon dont cet exode ce déroule car s’il est bien planifier il peut permettre l’avancer technologique des pays en développement. Il a même été prouvé que cela pouvais permettre a la baisse de la pauvreté chez une population car les plus doués de celles-ci peuvent s’en aller pour ensuite revenir ou faire parvenir leur découverte afin d’aider leur pays natal. Il est vrai que l’on pourrait croire que l’exode n’a que du négatif mais il faut bien examiner les deux cotes de la médaille avant de se faire une opinion. Qui sais peut-être qu’un jour il y aura des programmes spéciaux entre les gouvernements afin de rendre cet exode profitable aussi bien pour le pays d’accueil que pour le pays natal.

Bibliographie

* Les conséquences économiques de l’attraction des élites, www.strategie.gouv.fr , auteur inconnu , consulté en octobre 2011

* Vendre son âme au Canada? , www. Delitfrancais.com , auteur inconnu, consulté en octobre 2011

* L’exode des cerveaux et le renforcement des capacités en Afrique, www www.publicwebsite.idrc.ca , par Ainalem Tebeje , consulté en octobre 2011

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[ 1 ]. 2.1 Les conséquences économiques de l’attraction des élites, www.strategie.gouv.fr

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