Les Immigres En France
Recherche de Documents : Les Immigres En France. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresements exemple pour la Chine (40 000 recrutés), Pologne (500 000 recrutés). En 1931, la présence étrangère atteint 7% de la population totale et en 1936 2,2 millions d’individus.
C) La France un territoire d’accueille et de protection.
La France devient aussi la principale terre d’accueille des immigrées. L’Etat leur propose l’égalité de traitement avec les français et le contrat de travaille et ceux-ci restent obligatoires en échange bien sûr de leur main d’œuvre. De plus le statut de Nansen, adoptés par la SDN (Société Des Nations) garantit aux apatrides (qui n’ont pas de nationalité) la protection du pays d’accueille. Et le passeport sert de document d’identités et permet de recevoir des secours.
2) Les immigrants vis-à-vis de la société française.
A) Les interprétations de l’Etat entre 1914-1974.
Apres 1918, pour compenser la perte démographique due a la guerre, l’immigration s’accroit. L’Etat utilise ces immigrants étant de la main-d’œuvre et que la croissance naturel est au ralenti et l’industrialisation engendre un besoin croissant de cette main-d’œuvre. Entre 1944 et 1974, ont peut qualifier cette périodes comme l’apogée de l’immigration. De 1.7 millions d’étrangers en 1946 a 3,4 millions en 1975. La croissance économique des trente glorieuses entraine la venues de plusieurs nationalités (ex : Espagnoles, Portugais, du Maghreb et de l’Afrique noire). Et d’ailleurs, les algériens disposent de la libre circulation jusqu'à 1962.
B) Les interprétations de l’Etat depuis 1974.
Depuis 1974, il y a eu fermeture des frontières du pays. Apres les trente glorieuses, et avec le ralentissement de la croissance, L’Etat limite l’immigration et encourage le retour au pays d’origine. Plusieurs lois renforcent le contrôle des entrées et facilite les expulsions et limitent les régularisations. En 2009, la France a renvoyé dans leurs pays 29288 étrangers en situation irrégulière.
C) Une peur a l’étranger.
La crise économique mondiale qui sévit à partir de 1929 entraine une augmentation rapide du chômage en France et par conséquence au moindre signe de crise, la xénophobie affleure. On dénonce les étrangers pour ce qu’ils fonts : criminalité, concurrence au travail, engagements politiques, religion pour certains.
3) L’immigrant dans la société française.
A) Dans le travail.
Au XIXe siècle, les industries textiles, les mines de fer et de charbon, la construction des chemins de fer, connaissent en France un développement considérable rendent nécessaire l’emploi d’une main-d’œuvre étrangère. Durant les Trente Glorieuses (1945-1975), années de forte croissance marquées par le développement de la consommation, des secteurs comme le bâtiment et l’automobile connaissent rapidement de forts besoins en main-d’œuvre peu qualifiée Algériens, Portugais, Marocains…
B) Les luttes sociales.
Tout au long du XXe siècle, ils s’enrôlent comme les travailleurs français pour les salaires, la réduction du temps de travail, la protection sociale. À partir des années 1960-70, ils mènent leurs propres combats autour des conditions de travail et de la lutte contre les différenciations.
c) La Religion devant sociétés française
La religion constitue, pour bien des immigrés, un élément fort d’identité culturelle. Dès le XIXe siècle, la pratique des religions tend à séparer les étrangers des Français et de leurs compatriotes déjà installés. Les immigrés catholiques (majoritaires jusqu’en 1960), protestants ou juifs, sont désapprouvés pour leur foi trop ostentatoire et leurs habitudes trop communautaires. Car, si tous ne croient pas, beaucoup apprécient le réconfort de pratiques liées à la culture d’origine. Avec l’islam, les Français découvrent une autre religion . L’arrivée des premiers musulmans remonte à la colonisation. Depuis 1945, l’islam s’est développé sous des formes multiples, liées à la mondialisation des origines. Mais, la France, qui reste attachée à la laïcité, un pays de diversité religieuse.
d) la Religion et le travail
La pratique de l’islam demeure largement une affaire privée, tout au long de Trente Glorieuses. Les travailleurs immigrés ne prient pas de manière collective et cantonnent en général leurs pratiques à la maison et ils sont exposes au discrimination
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