Les banques et le fancement
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l’inflation ; mais en période de sous-emploi en revanche, il y a place pour des
productions accrues, et l’expansion monétaire peut assurer celle-ci sans qu’il y ait
nécessairement hausse généralisée des prix
conclusion
− La monnaie est plus liée à la « richesse » qu’aux transactions. Contre les tenants de la fonction
de transaction de la monnaie, on n’observe pas d’augmentation de la vitesse avec le revenu,
dans le long terme, mais une diminution.
− La monnaie est un actif comme les autres.
− Le motif de « spéculation » de détention de la monnaie n’est pas décisif : le taux d’intérêt
n’influence pas la demande de monnaie à long terme et l’influence faiblement à court terme.
− L’évolution des prix ne semble pas non plus explicative (à l’encontre des analyses de CAGAN,
1956) contrairement aux thèses quantitatives.
− L’hypothèse de « revenu permanent » en tant qu’indicateur de richesse est pertinente aussi
bien dans l’étude de la consommation que dans l’étude de la demande de monnaie : les avoirs
en monnaie sont adaptés aux grandeurs permanentes.
− Il découle que le multiplicateur de monnaie à court terme est plus élevé que le multiplicateur de
monnaie à long terme (environ 3 fois).
− « Les effets de la politique économique agissent davantage qu’on ne le supposerait autrement,
à travers les effets directs des variations du stock de monnaie sur la dépense, et plutôt moins à
travers les effets indirects sur le taux d’intérêt, par conséquent sur l’investissement, et par là sur
le revenu ».
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