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Les peuples autochtones

Étude de cas : Les peuples autochtones. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  2 Mai 2016  •  Étude de cas  •  1 682 Mots (7 Pages)  •  1 110 Vues

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Les peuples autochtones sont les habitants originaires d’un pays; ici le pays concerné étant le Groenland avec les Inuits, se situant dans la zone polaire qui est un espace grandement convoité. Cette population représentant en moyenne 10% des 4 millions d’habitant pour 6 pays souhaiterait pouvoir s’exprimer, en étant écouté, face aux décisions concernant leur environnement, qui est également et surtout leur habitat depuis de nombreuses générations. Ces peuples autochtones qui sont parvenus à obtenir des sièges au sein de plusieurs assemblées institutionnelles comme le Conseil Arctique, voient avec la fonte de la banquise saisonnière voient un potentiel d’enrichissement en espérant beaucoup du pétrole (leur sol en contenant une grande quantité: l’Arctiques contient 25% des réserves de pétrole).

Les multinationales dont font partie les compagnies pétrolières et gazières n’ont pas l’intention de laisser passer une telle opportunité. En effet, avec le réchauffement climatique, les enjeux économiques pour les États et pour les industriels sont considérables car en plus des réserves de pétrole se trouvent d’immenses réserves de gaz (30% mondial se trouvent en Arctique). Une projection de l’utilisation de l’eau douce contenu dans l’inlandsis (glacier dépassant les 50 000 km2) est envisagé dans le futur mais cette exploitation aurait un cout considérable. Les multinationales voient également l’Arctique comme une nouvelle route maritime pour une économie de kilométrage et de consommation d’énergie mais aussi afin d’éviter les pirates de la cornes de l’Afrique.

De multiples associations liées à la protection de la nature telles que l’association russes des populations indigènes, le WWF ou encore le Pacific Environnement qui est une ONG, se battent bec et ongles pour une division équitable du territoire polaire entre les multinationales, désirant cette partie du globe uniquement pour eux et sa richesse d’exploitation, et les autochtone, qui n’abuseraient pas du potentiel de leur terre. Jean-Louis Etienne, un expéditeur, décida pour 2010 de faire la traverser du Pôle Nord en ballon (qui n’avait jamais été réalisé) après avoir atteint le pôle tiré par son traîneau en

1986 ou encore dérivé sur la banquise durant 4 mois ! Ces expéditions extremes sont réalisées dans un but personnel qui est d’attirer l’attention du monde sur les dégâts provoqué par l’Homme sur la régression des glaciers avec la biodiversité arctique et les changements climatiques, ainsi que les conséquences sur la vie des population autochtones. Ses objectifs personnelles ne sont pas les seules : en effet, durant ses expéditions, J-L Etienne travaille en collaboration avec premièrement le Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement-CEA-CNRS pour étudier en continue le CO2 et secondement avec l’Institut de Physique du Globe de Paris-LETI-CEA pour l’étude du champs magnétique terrestre.

(3) Une relation erronée est établit entre les multinationales et les populations autochtone, dont les associations tentent d’éclaircir les rapports. D’un coté, certains autochtones s’en « félicitent » avec l’appuie de Sergei Kharyuchi, qui préside Raipon (association russe des populations indigènes) et qui décrétait qu’ils menaient « une bonne coopérative avec les compagnies pétrolières et gazières ». Ces propos sont soutenus par le conseiller de Shell Robert Blaauw déclarant à quel point la relation population autochtone- compagnies pétrolières était « fructueuse » et qu’ils se portaient bienveillant de les employer afin de correctement les representer et que leurs projets plaisaient aux locaux. Ces termes sont contre-balancé par l’association écologique WWF dont leur ancient responsable Neil Hamilton ne parvient pas à comprendre la raison pour laquelle les compagnies se permettent d’adopter un langage normalement utilisé par les compagnies norvégien (c’est à dire de pays bordant le cercle polaire arctiques). Un élément confirmant que cette situation n’est pas aussi « idyllique » que nous aurions pu le croire est rapporté par David Gordon qui est le directeur de Pacific Environment (une ONG) et qui après avoir mené une action en justice contre les opérations pétrolières, accompagné du soutient des populations autochtones, annonce que la société américaine Exxon a passé un accord avec d’autres dans le but de mieux régner; finissant par dire que « les communautés indigènes sont plus un obstacle à franchir qu’un problème résoudre » pour eux. Cette déclaration de Gordon brise toutes la façade bâtit pour montrer une fausse entente, les autochtones se faisant berner.

Afin d’approfondir l’analyse, il aurait pu être utilise de disposer de la volonté des gouvernements riverains du cercle polaire (États-Unis, Canada, Norvège, Suède, Finlande, Russie) pour connaitre leurs projets envers cette zone tant convoité. De plus, le changement climatique n’est pas évoqué dans ces documents et s’en est un manque.

II Analyser un message publicitaire

(1) Cette brochure touristique de la société Grand Nord Grand Large (GNGL) présente une image pur de la banquise, malgré que celle-ci paraisse grandement fondu. Un blanc immaculé où se mêle le bleu de la mer et du ciel laissent apparaitre un territoire désert et sans vie inspirant à l’exploration. La seule activité humaine soulignée n’est autre que les bateaux (voiliers, cargos, croisières…) en haut à droite de la brochure, dans le but de rappeler l’activité de la société GNDL s’occupant de croisière en Arctique. Par ailleurs, aucunes traces des populations autochtones, de part leur habitation et mode de vie n’est remarquable sur cette brochure (uniquement focalisé sur cette étendue de glace). Cet photographie a probablement du être prise en été en raison de la luminosité (sachant qu’il fait la-bas six mois nuits et six mois jours) mais aussi en raison de la fragilité de la banquise, qui est surement la banquise d’été. L’océan de l’Arctique est soumis à un climat extrêmement froid, dominé par de hautes pressions atmosphériques et par les vents d'est

qui en résultent et qui soufflent dans cette direction en suivant la rotation de la Terre. En hiver, les températures oscillent en moyenne entre - 40

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