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« Éducation pour la santé des jeunes : concepts, modèles, évolution », Institut national de la santé et de la recherche médicale (2001). Longueur du résumé : deux pages (simple interligne, police Times New Roman, 12 points).

L'éducation pour la santé est un concept ainsi qu'une manière de procéder qui relève de différentes disciplines. Elle peut trouver ses origines dans la pédagogie, la médecine, l'épidémiologie, la psychologie clinique et sociale, etc. Il faut comprendre que l'éducation de la santé emprunte leurs repères et leurs méthodes tout en se créant sa propre identité théofrique, ses propres visions et ses perceptives toutes différentes entre elles au sujet de la santé. Il y a une évolution dans le temps qui permet à l'éducation d'évoluer au niveau de la santé. Puis, celle-ci permet de se renforcer et de se conserver tout en gardant son maintien et son amélioration. Les démarches visant la santé ont connu une évolution, passant de la prévention à une stratégie de promotion. Il faut préciser que toutes ces démarches fonctionnent par contre le concept de la santé prend une tournure différente que prévu. Il devient variable et il a plusieurs portées simultanéités. Par exemple, la santé est vue comme la capacité d'un individu à gérer sa vie tout comme son environnement. Cela permet aux êtres humains « à mobiliser [leurs] ressources personnelles (physiques ou mentales) et sociales en vue de répondre aux nécessités de la vie » ( Dubos, 1962 cité par De Leeu, 1989). Donc, il n'y a pas de définition unique de la santé soit elle se contredise ou se complète. L'OMS pense que la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social. Il est clair que celle-ci a une définition qui ne se compose pas d'une seule et unique vision. L'environnement joue un rôle important, car toute manipulation des différents endroits, comme un milieu scolaire, de prévention, médicale, etc, est faite dans le but de conserver et renforcer notre propre santé. Chaque environnement utilisera une vision claire et une définition propre à son secteur afin de bâtir leur pratique sur la santé. Par exemple, dans le domaine médical, la santé est plutôt visible par des tests comme une prise de sang, la visibilité de diverses symptômes ou de maladie. Par contre, dans un milieu comme la psychologie, la santé est traitée comme un bien-être mental, de possibles interactions sociales, etc.

Un quiproquo est tout de même présent dans la santé. Effectivement, plusieurs sedemandent si la maladie est réellement le seul signe avant-coureur pour décider de la santé d’unindividu. La maladie est certes un bon signe d’évaluation de la santé, mais est-ce toujours labonne façon de faire? Cette question est abordée notamment par un professeur de sociologie dansle début des années 1980. Celui-ci propose alors un nouveau fondement sur la santé appelée« salutogenèse ». L’étude d’Antonovsky se base sur l’évaluation de la santé par la santé et lebien-être en évaluant les indicateurs au niveau physique, social, mental, etc. Elle s’oppose doncaux études types qui visent à évaluer les maladies pour évaluer le degré de santé chez l’individu.Cependant, la maladie reste tout de même un facteur bien visible et ne devrait pas être mise decôté.Selon le dictionnaire Larousse médical, la prévention de la santé peut se faire selon différentesstratégies. On mentionne entre autres que la prévention peut être dirigée « par le médecin defamille, les spécialistes, mais aussi par la collectivité et les pouvoirs publics. Elle repose surl'amélioration de l'hygiène, individuelle et collective (adduction et assainissement de l'eau,éducation sanitaire et diététique, etc.), les médicaments (vaccins, vitamine D, etc.), les examensmédicaux systématiques (examens radiologiques, dentaires, prénuptiaux, pendant la grossesse etles bilans de santé)2 ». Dans cette définition, nous oublions d’aborder la maladie psychologiquepuisque c’est une théorie séparée du reste dans le dictionnaire, mais elle demeure tout de même àconsidérer. La prévention est consacrée à la maladie et le risque, et fait référence à un concept

pécifique de la santé seulement lorsqu’il n’y a pas présence de maladie. Cette méthode comportedes points forts comme l’évaluation d’un problème perceptible, dans le but d’éviter ou de corrigercelui-ci. Cependant, il comporte aussi des points faibles puisque pour faire acte de prévention surla santé en se basant sur l’apparence visible de maladie, il est déjà trop tard puisque la préventiona pour but de prévenir un mal, un danger ou un risque avant qu’il ne soit visible3. Dans denombreuses études scientifiques, la notion de contourner et de diminuer les aspects visibles derisques de maladie est encore majoritairement présente tant dis que la mise de l’avant de lapromotion des notions positives tel qu’abordé par d’Antonovsky est encore peu exploité. La promotion de la santé est en vue d’aider les gens à mieux gérer leur propre santé dans le butde l’améliorer. Afin de mieux gérer ce concept, il faut tout d’abord connaître son contenu qui sedéfinit par trois façons d’éduquer sur la santé soit : l’hygiène physique, un bon usage des servicesde santé et la considération des impacts possibles qui peuvent provenir de nos choix individuelssur celle-ci. La promotion a aussi pour objectif de guider l’individu dans sa gestion de la santé etnon de le diriger vers un chemin unique, la participation de celui-ci est donc requise afin de créerson propre environnement favorable à sa propre santé. Pour ce faire, il pourra opter par différentestratégie qui s’offre à lui comme : l’implantation en milieu de vie, l’approche participation ouéducative. Pour terminer, il est clair que lorsque l’individu s’entoure et s’informe sur ce qui peut aider àpromouvoir sa santé cela le pousse à l’améliorer ou la maintenir. De plus en plus que cesstratégies sont utilisées en bas âge de plus en plus ils seront encrés chez l’individu et donc plusfacile à respecter et maintenir. Soit par une bonne alimentation, du sport, avoir un bonenvironnement pour sa santé mentale, etc. De plus en commençant vers un plus jeune âge il seraplus rapide de continuer les conduites qui fonctionnent, de mettre à l’écart celles qui ne sont passûres et arrêter celles qui ne fonctionnent pas. Il est important d’être attentif aux signes qui nousindiquent si nos méthodes fonctionnent ou non à cette étape. Ces signes doivent faire en sorte deconstruire un apprentissage théorique sur les indicateurs de chaque jeune soit par le changementde son attitude, sa santé mentale et physique, etc. Il est donc important de maintenir la promotionde la santé en commençant cette éducation chez les plus jeunes.

« Les modèles de changements de comportements dans le domaine de la santé » par L. Muller et E. Spitz (2012). Longueur du résumé : deux pages (simple interligne, police Times New Roman, 12 points). P. 59

Depuis plusieurs années, le concept du biomédical a aider à découvrir de nombreuse facette de lasanté en ce qui a trait aux « connaissances, technologies et techniques (microscope, anatomie,hygiène, désinfection, génome, vaccins, antibiotiques, chirurgies, …)4 ». Ces découvertes ontcontribué au maintien de la santé et aux guérisons et apparitions de maladie chez la population.Cela a permis de découvrir certains liens entre les maladies diagnostiquées et les styles de vieemprunter de l’individu évalué. C’est à la suite de cette réalisation, sur la population jugée àrisques selon leur mode de vie, que le concept biomédical a atteint sa limite. Effectivement, lacorrection du problème à la source, si cela est possible, sera toujours la meilleure méthode afin deprévenir un problème que ce soit une maladie ou un danger et c’est là que le biomédical ne peutpas se rendre. C’est par une étude sur la psychologie de la santé qu’il est possible d’arriver àcorriger le problème d’attitude à la source pour le maintien ou l’amélioration de la santé chez lapersonne. Plusieurs concepts (modèles) psychologiques ont émergé après la découverte de ce liencomportemental vis-à-vis la santé afin de venir corriger ce comportement.Le concept d’étapes par étapes pour atteindre