Resume Dracula

ire, alors tu veux ?

- Heu….Je…..vais ……réfléchir dit Malik qui sentait venir les problèmes.

- En fait, j’ai réfléchi, cela ne m’intéresse pas ! répondit Malik sûr de lui. »

L’homme allait sortir et le menacer, mais il s’arrêta, car il venait de voir une voiture de police au coin du boulevard.

Avant de démarrer, il jeta un bout de papier par la vitre et lança :

« -Appelle-moi, si tu change d’avis et il démarra hâtivement en refermant la vitre teintée. »

Malik regarda par terre, vit un petit bout de papier et lut :

« Appelle-moi au 06 32 98 37 72 pour me donner ta réponse. »

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Malik rentra chez lui et trouva un mot en arabe qui expliquait l’absence de ses parents :

« Nous sommes allés ton père et moi à la préfecture à Bordeaux, pour récupérer nos papiers, nous allons enfin obtenir le statut de réfugiés politiques ! »

Ses parents lui écrivaient qu’ils avaient pris le train pour aller à Bordeaux pour chercher leurs papiers, il se rendit dans sa chambre, puis se laissa tomber sur son lit, soudainement très fatigué. Il avait un très mauvais pressentiment et il n’arrivait pas à joindre ses parents !

Il avait très peur pour ses parents, qu’ils se fassent arrêter, que ce rendez-vous à la préfecture ne soit qu’un piège.

Il ne ferma pas l’œil de la nuit. Le lendemain, Il n’alla pas au lycée. Il entendit le téléphone sonner, il alla décrocher :

« - Allo ? dit Malik

- Bonjour, dit une voix d’homme, tes parents ont été interpellés hier soir a Bordeaux devant la préfecture. Un policier viendra te voir dans la journée, pour te dire quoi faire et te demander si tu as un endroit où aller.

Malik sentit ses genoux s’affaisser sur le sol et répondit d’une voix frêle :

- D’accord répondit Malik je l’attendrai.

Son pressentiment s’était réalisé, ses parents étaient en prison et la police viendrait le voir pour peut-être l’arrêter aussi.

Quelques heures plus tard quelqu’un frappa à la porte et cria :

« - Police Nationale, ouvrez cette porte !! dit l’officier de police d’une voix forte.

Malik alla ouvrir.

-Bonjour, dit le policier. Vos parents ont été arrêtés, hier soir devant la préfecture, comme l’a annoncé le coup de téléphone.

- Oui dit Malik j’ai eu ce coup de fil, qui me demandait de vous attendre.

-Bien répondit l’officier Avez-vous un endroit où aller ?

- Oui, j’ai un ami qui peux m’héberger quelque temps je lui ai déjà téléphoné pour lui demander.

-Bien répéta le policier Bon je vais y aller, au revoir.

Il voulait le frapper de fureur, mais il retint son geste, pas la peine d’avoir des ennuis en plus pensa-t-il.

-Au revoir répondit Malik »

Malik se dirigea donc vers le domicile de son meilleur ami, Benoît qui se trouvait à quelques boulevards de chez lui et ensuite il aviserait.

Mais la berline noire réapparut au coin de la rue qui menait chez son ami, Malik se mit à courir pour lui échapper et se fit finalement rattraper par la voiture, dont l’occupant sortit et dit :

« - Tu ne m’as pas rappelé.

- C’est vrai admit Malik, mais j’ai eu quelques imprévus ces temps-ci et je n’ai pas vraiment eu le temps de réfléchir. Je rappellerai plus tard !

- Pas de problème, dit l’homme, mais je n’attendrai pas plus attention !

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Malik rejoignit enfin le domicile de Benoît et attendit très longtemps et ne rappela jamais les dealers.

Les parents de Malik furent libérés plus tard grâce au combat d’associations humanitaires et obtinrent la nationalité