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Economie sociale et solidaire

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Par   •  15 Décembre 2021  •  Cours  •  10 908 Mots (44 Pages)  •  496 Vues

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Economie sociale et solidaire

Il y a une forte croissance du secteur de l’ESS depuis les années 1980 par exemple, effectifs travails salarié dans le secteur associatif x3

Cependant la définition des concepts est flou, différence entre économie sociale et solidaire existe dans de nombreux pays pas dans le monde anglosaxon

En Amérique Latine Au Québec l’économie solidaire correspond a l’économie sociale au sens français, on pare « d’économie sociale populaire »

L’expression économie solidaire renvoie a une multitude de pratique difficile a réunir sous une définition unique : comité de quartier tourisme solidaire.

Comité de quartier (regroupement de personne se donnant pour tâche d’animer la vie de quartier mis en place par la loi du 6 février 1992 et 2002, il y a des lien entre ces derniers et la mairie.

  • Des cours de soutiens scolaire pour les jeunes ayant besoin d’un suivit important
  • L’organisation d’activités sportives auxquelles peuvent participer aussi bien les jeunes que les autres.

1 )Le tourisme solidaire : le couchSurfing créé en 2004 par un informaticien américain , casey fenton . Il a tenté de dormir chez des étudiants après de nombreux refus il decide de mettre ce reseau en place.

2 )Agriculture durable (woofing) : travailler dans des fermes biologique généralement contre l’hébergement. Apparut dans les année 1970

3 )Réseau d’échange des savoirs : chacun de nous est porteur de savoir et d’ignorance. Une proposition ouverte : acceptez vous d’offrir (enseigner transmettre aide …) vos savoir ? acceptez vous de demander a apprendre.

Une proposition et un engagement dans une double action : chacun sera donc a la fois enseignant et enseigné.

La réciprocité fonctionne en réseau ouverts comme matrice ouverte et protégé (accueil, mis en relation… de savoir très divers :  clarinette histoire repassage etc… Ici tout les savoirs sont aussi intéressant les uns que les autres. Toute personne en fonction de son histoire personnelle et pas forcement de son histoire de formation peut apprendre et transmettre

4 ) la finance éthique et solidaire (microcrédit) entreprise a mode de gestions collectives et privée : leur point commuln est leur finalité non centré sur le profit et l utilité individuelle.

  • Li du 15 mai 2001 : rapport annuel des entreprises cotéees en bourses : csq sociale et environnementale de leur activité. (LT)
  • A l inverse : le rôle croissant des actionnaires favorises la recherche et la rentabilité a CT
  • Les anglais oppose les stakeholders (Porteur de projet LT) et les schareholders (actionnaire CT)

Premier placement éthique (1928) : mouvement Quaker contre les valeur du « peché ». En France ca sera en 1983 par le « comité catholique contre la faim et le dev » (CCFD)

Reaction contre la globalisation des marchers financiers des la seconde moitié des années 1970, mouvement des «  trois D » de (H Bourginat)  (désintermediation , déreglementation décloisonnement)

Finance éthique liée a investissement socialement responsable (ISR)

ISR et triple P : investissement soucieux de « people, profit, Planet »

Il y a 5 ou 6 types de fonds (type d’ISR) :

  • Best in class : « spécialité » Française qui prends exemple sur les « meilleurs élève »
  • Sustainability themed :  stratégie D’investissement qui cible des questions de développement durable comme la question du réchauffement, de l’eau, des Energie renouvelable  
  • Norm based screeming » : critère D’exclusion concernant les entreprise qui ne respectent pas les normes et valorisations de celles qui les respectent.
  • ESG intégration. : L’approche intégrée réside dans la prise en compte systématique de l’ESG (environnement social gouv) au niveau de l’analyse financière et de la prise de décision
  • Engagement et vote : on va favorise dans l’engagement durable, le vote. Ce n’est pas que le patron qui décide toute l’assemble général d’une entreprise va participer. Les entreprises qui fonctionnent comme ça auront des action qui seront acheté par des gens voulant faire des ISR
  • « Exclusion » : exclusion (sectorielle) alcool, jeux, pornographie
  • « Impact investing » : qui comme premier objectif un impact social combiné avec les effets environnementaux. Création des les années 1990 d’indice financier éthiques

Différence entre finance éthique et solidaire : en somme, la finance éthique renvoie a l’environnement et aux valeurs et la solidaire renvoie seulement au sociale

Histoire et stratégie de la finance éthique (2)

La micro finance

  • But : fournir des services financiers aux populations exclues des circuits traditionnel ( pas de garanties et caution) : pauvres , sans emploi
  • Nait alors au Bangladesh après une famine (1974) : la Grameen (signifie village) Bank , accorde des crédits aux exclues du système bancaire : fondée par Mohamed YUNUS. Il constate que les pauvres sont dépendants des usuriers.
  • Dans le projet initiales les emprunteurs se réunissent par groupe (5 personnes) : 2 premiers membres sollicitent un crédit assez faible (entre 30 et 100)
  • Après avoir remboursé les 5 premières échéances, l’emprunteur a remboursé le capital emprunté et il faudra encore deux échéances pour rembourser les intérêts.
  • Le groupe peut par la suite avoir accès a un prêt montant supérieur
  • Aide de la banque au plan technique par des équipes de la banque
  • Effets nombreux sur la nutrition, la scolarisation
  • Fort taux de recouvrement des prêts
  • Extensions du model au payx riches
  • En Frances, création de l’ADIE, 1ere association de microcrédit en 1989
  • Au départ, pratique de la dimension de « caution solidaire » non efficace en France
  • A partir de 1992 : création du microcrédit professionnel
  • Le microcrédit finance 30 000 entreprises par an et contribue de 60 000 emplois

Chapitre 1 de l’utilité marginal a l’utilité sociale : concepts clés

  1. La théorie de l’utilité marginal et ses critiques

  1. Utilité : un mot central de l’économie a partir de XVIIIe siècle

A l’origine « encastrement » de l’économie dans « le sociale » : dimension morale

        Pareto : économiste italien, qui prend la suite de Walras, à l’université de Lausanne, contribue à définir scientifiquement la notion d’utilité et l’économie va privilégier le théorème de l’optimum de Pareto

-        C’est le moment ou l’allocation des ressources est optimale dans une société : l’optima de Pareto représente la situation d’échange ou l’amélioration du bien-être d’un individu implique la détérioration de celui d’au moins 1 autre individu

-        Ex : j’ai trop de légumes, ma voisine a trop d’œuf, si on garde nos biens, certains vont pourrir, dans ce cas, céder une partie de ses ressources à l’autre ne détériore le bien être d’aucune d’entre elles, et ne fait, au contraire, que contribuer a son amélioration

Ceci n’implique pas que les allocations des ressources soit égalitaire. Par exemple on peut qualifier d’optimum de Paretto : une situation ou toutes les richesses d’un pays sont détenus par une seule personne. En effet si elle reverse fut-ce une partie infime a une autre personne, ceci détériorera le bien être d’au moins une personne, elle-même car elle verra son utilité individuelle, son sentiment de satisfaction de ses préférences, être réduit

  1. Trois principaux critiques
  1. Préférences rationnelles, dégénérées, adaptatives

La microéconomie traditionnelle considère le bien être comme le résultat de la mesure de l’utilité découlant d’un choix « rationnel » ce n’est pas toujours le cas.

  • Préférences dégénérées : ex des gouts dispendieux de A et B : a revenu égale, plus faible niveau d’utilité.
  • Préférence adaptative : critique réaliser par Elster (1983) notion d’adaptation de préférences aux choix ex : « Le renard et le raisin »

  1. La critique libertarienne de Hayek

Les libertaires sont des classiques purs et durs. Selon Hayek l’utilité ne suffit ni a assurer le bonheur ni la justice : respecter les « droits » n’est pas utile mais nécessaire dans une société juste. L’élément centrale est d’exercer ses libertés et donc l’Etat doit garantir la liberté de chacun.

Sen reprochera a Hayek de ne pas définir la liberté et d’utiliser une seul forme de liberté très formelle que Sen appellera la liberté négative (quand on a pas de contrainte) (liberté positive négative concept philo de (I.Berlin)

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