La France

Le document 0 est un extrait du livre de Muriel Darmon intitulé « la socialisation ». Dans ce texte, Bernard lahire nous présente les recherches qu’il a effectué pour comparé le taux de réussite scolaire entre des enfants de famille populaire dont le niveau de revenus et le niveau scolaire sont relativement faible est assez proche. Au cours de ses expériences, il a remarqué que lorsque une personne détenant un capital scolaire passait beaucoup de temps avec l’élève et pouvait l’aider dans ses devoirs, le taux de réussite scolaire était tout de suite plus élevé que celui d’un élève qui n’avait d’autre choix que de travailler seul. Le titre de ce document est l’hétérogénéité intra familiale, cela a pour signification que au sein de deux familles de même classe social, le capital scolaire entre ces deux familles peut varier avec la présence ou l’absence d’une personne que l’élève côtoie régulièrement et qui possède un capital culturel ou scolaire élevé. préfère montrer le danger est la difficulté de la vie. Dans son roman, écrit en 1869, intitulé l’éducation sentimentale, Flaubert raconte le commencement de l’histoire de Monsieur Frédéric Moreau. Dans cette in qui Pete, nous verrons, en quoi, ce texte appartient au réalisme. Nous verrons dans un premier temps, le cadre spatio-temporelles très présent dans ce texte, puis dans un deuxième temps, nous verrons la fixation qui est faite sur le personnage principal.

Pour en créer son histoire, l’auteur va, dès les premières lignes, fixer un cadre spatio-temporelles très présent,

Un, « le 15 septembre 1840, vers 6 heures du matin, la ville de montereau », Cela montre le réalisme du texte de plus la date et leur sont très précis. Ce cadre spatio-temporelles appartient au mouvement réaliste, avec l’envie de l’auteur essayant de se rapprocher au plus près de la réalité. Dans un deuxième temps, le narrateur introduit progressivement le lieu où se situe où se situe l’action il commence par cité des lieux travail « à travers le brouillard il contempler des clochers, des édifices dont il ne savait pas les noms » ligne 11 12, puis L’auteur cite des noms d’endroit dans Paris sans dire encore dans quelle ville, « Lille de Saint-Louis, la cité, Notre-Dame » et enfin, Flaubert finit par donner le nom de Paris, « et bientôt ; Paris disparaissant ». Dans ce texte, l’auteur prend donc le temps de bien me situer l’histoire et la période durant laquelle elle a lieu. Nous allons voir maintenant la composition du passage, mais observons dans un premier temps les différents points de vue utilisés par l’auteur. Au début du texte ligne un à neuf, l’histoire va être raconté d’un point de vue interne, l’auteur va décrire la scène du quai par le regard des passants, nous voyons qu’il y a le son des « cloche » ligne sept. Puis dans un second temps, de la ligne 10 à 18, nous avons accès à un point de vue omniscient, nous avons effectivement accès aux pensées du personnage principal, « dont il ne savait pas les noms » mais il y a également sa description ou, « un jeune homme, de 18 ans, à long cheveux » ligne 10. Dans ce texte, l’association du mouvement est très présent. Cette impression écrit d’abord par l’augmentation de la ponctuation formant ainsi l’interposition entre des phrases courtes et des phrases longues. De pLus, La juxtaposition des propositions permet au rythme de se densifiés. Nous pouvons également remarqué le manque d’humanité dans ce texte, « les matelots, ne répondais à personne, on se heurte » ligne quatre. La vitesse du texte est également densifier par l’expression, « or Dhalenne ». On entend le bruissement de la vapeur ligne cinq et « la cloche, à la vente datée », ce qui indique que le bateau est prêt à partir. Est-ce qu’il accentue d’autant plus le manque d’humanité, c’est que l’Auteur ne fait pas de différence entre les personnes humaines et le matériel,car , Nousminant « enfin », comme si cela faisait des heures que l’auteur attendais ce moment avec une expression de soulagement. L’auteur fait dans un premier temps une comparaison entre la foule sur les quais et un large ruban, « Et les deux berges je peux plein de magasins, de chantier et d’usine, filaire comme de large ruban que l’on déroule » ligne huit et neuf.