Sujet Grand Oral

I dB

II stress et comment

III conséquences & avancées

Bonjour, mon sujet de grand oral est En quoi les nuisances sonores peuvent-elles être un facteur de stress.

En France 2/3 se disent sensibles au bruit et 38 % des parisiens considèrent le bruit comme gênant majoritairement le bruit causé par les transports.

Il existe des bruits agréables qui sont au même dB que des bruits désagréables comme un avion au décollage et un concert de pop, un moustique à l’oreille et un jardin calme…. (Schéma échelle de dB)

Un son est une onde mécanique qui se propage de proche en proche dans un mi-lieu matériel.

C’est-à-dire que la compression créée par l’émetteur sonore avance en compri-mant les couches d’air de sa surface. Et L’air comprimé pousse toutes les couches d’air voisines qui l’entourent, les comprimant à leur tour, puis revient à sa position initiale. Cette propagation va jusqu’au récepteur sonore : la mem-brane du tympan puis à la cochlée qui est le transformateur, les vibrations de-viennent des influx nerveux conduit par le nerf auditif et analysé par les aires auditives du cerveau.

L’être humain est capable d’entendre les fréquences entre 20 Hz et 20 kHz.

A 80 dB on décrit le seuil comme risqué.

Le son est en dB représenté par une fonction logarithmique ainsi si 2 enfants se mettent à crier à une intensité de voie identique le niveau sonore ne doublerait pas contrairement à l’intensité mais augmentera de 3 dB lorsqu’il y a 10 fois plus d’enfants qui crie (à la même intensité en W.m2) le niveau sonore augmen-tera de 10 dB.

Une exposition prolongée à partir de 80dB ou/et élever peut causer des pro-blèmes biologiques directs en endommageant l’oreille et ses cellules ciliées, cette exposition peut alors provoquer des acouphènes, une surdité totale partielle définitive ou passagère. A 105 dB des déchirures voire des ruptures peuvent se faire dans l’oreille

Il y a aussi des effets indirects biologique liés à ces nuisances : le stress. (Schéma stress)

Une réponse stéréotypée en 3 étapes va avoir lieu

- la phase d’alarme où des signaux d’alarmes sont envoyés : la fréquence car-diaque augmente, le sommeil est perturbé, une fatigue auditive est constatée. L’adrénaline est sécrétée.

-la phase de résilience où l’hormone CRH, libère l’hormone ACTH qui a son tour va libérer du cortisol.

Tout comme l’adrénaline le cortisol favorise la libération du glucose dans le sang mais il va aussi inhiber la réaction inflammatoire, (s’opposer à la réponse immunitaire et au temps de cicatrisation).

-la dernière étape est celle de la résilience, en se limitant le cortisol crée sa propre sécrétion, il va donc avoir un rétrocontrôle négatif et les conditions de fonctionnement redeviennent normales.

Mais pour cela il faut un temps de récupération dans une ambiance calme (cette récupération est plus rapide dans les graves que dans les aigus)

A long terme les nuisances sonores peuvent empêcher la phase de résilience car la production du cortisol est permanente le rétrocontrôle négatif ne peut plus se faire. Bien que le stress chronique se manifeste de manières différentes chez un individu et est identifié différemment en fonction du milieu social, de l’environnement et du sexe. Une étude hollandaise montre que le bruit (causé par des avions) influe sur la santé mentale, provoque des migraines, des insom-nies, de l’anxiété …

Les personnes vivant avec une pollution sonores chronique sont des personnes