Devoir de français

comparé comme étant « ennuyeux ». Marcel Proust fait une énumération des sentiments du narrateur, le champ lexicale est en relation avec la mélancolie du narrateur, il nous dit qu’il est « malheureux », dans un « état durât », « zone mobile d’incertitude »,« souffrance »,etc….

Le narrateur ne se sentait plus capable d’apporter du bonheur à celle qu’il chérissait mais partout où elle allait sa pensée la suivait dans sa promenade.

* Dans le troisième texte, celui de Albert Cohen, Belle du Seigneur, Ariane et Solal sont des amants qui veulent vivre le « grand amour ». Ils se sont enfuis pour pouvoir vivre leur passion alors qu’Ariane était déjà mariée à un homme médiocre. Leur amour est comparer à la solitude, au début de leur relation il pensait vivre un amour irrationnel avec de la passion mais ce ne fut qu’un amour camoufler par leur solitude. Chaque jour ils devaient trouvés de nouveaux sujets de conversations pour empêcher la solitude prendre le dessus, chaque jour les devaient trouver de nouvelles activités pour les divertir et les empêcher leur triste passe-temps solitaire. Lorsqu’ils se trouvaient au restaurant et qu’ils n’avaient rien à dire ils commentaient les dîneurs sur leur profession ou bien leurs sentiments réciproques.

Leur idylle amoureuse n’est qu’illusion. Pour Solal il ne lui restait « qu’à être un héros passionnel », il avait tout abandonné pour une vie merveilleuse.

Parmi ces trois textes de corpus proposés les sentiments amoureux évoluent.

* Dans le premier texte étudié, les sentiments d’Antoinette de Langeais et de Armand de Montriveau évoluent, au départ ce ne fut qu’un jeu pour elle mais au fur et à mesure de la conversation entre eux deux le dialogue évolue. La duchesse se laisse peu à peu conquérir par son amant. Au début de leur conversation dans la chambre à coucher elle est repoussante en vers Armand de Montriveau, elle essayait de lui faire comprendre que ce n’était qu’un jeu, mais on s’aperçoit que lorsque leur discutions arrive à sa fin la Duchesse se laisse approcher. Elle dit à Armand de Montriveau qu’elle serait charmée de voir de quelle façon il tenterait d’accomplir sa promesse qu’il lui a faite.

* Dans le deuxième texte, le narrateur éprouve au début de sa réflexion l’envie de ne plus être avec Albertine. Il la trouve de moins en moins jolie chaque jour. Pour lui la souffrance ne pouvait plus continuer. Albertine était comparée à une « souffrance atroce ». Mais lorsque sa réflexion arrivait à sa fin, le narrateur éprouvait le besoin de penser à elle, de continuer à la désirer.

* Dans le troisième texte, Solal et Ariane essaye de camoufler leur solitude, il pensait que leur idylle amoureuse allait être pleine de passion alors que ce n’est pas le cas, la solitude a pris le dessus. A la fin de cet extrait on voit que Solal veut rester avec Ariane et que malgré tout il essayera d’être un héros passionnel pour être avec elle.

La vision de la relation amoureuse donnée par chacun de ces textes est la différence des couples et les différents stades de leurs sentiments amoureux.