Faiblesse de Don José envers Carmen

souvent l’occasion d’entendre quelqu'un d’autre parler sa langue natale. Carmen l’a ému, il s’est fait charmer par sa langue Basque. Une autre preuve de sa faiblesse est qu’il désire toujours être avec elle tout en sachant qu’elle le trompe abondament. Carmen lui a indiqué qu’il y avait une fête à Cordou et qu’elle y partait pour en repérer les gens pleins d’argent, mais en fait il y allait pour observer et se laisser charmer par Lucas le toréador : « il arracha la cocarde du taureau et l’apporta à Carmen, qui s’en coiffa sur-le-champ. » Don José en voyant cela sait pertinemment que Carmen le trompe avec cet homme. Malgré tout ceci il va la rejoindre après et lui propose de tout oublier pour être avec elle. Sa faiblesse est aussi expliquée par le physique de Carmen. Elle possède de très belles jambes : « les siennes en valaient bien d’autre…, aussi vites que bien tournées » Cette remarque a été fait par Don José a l’égard des jambes de Carmen lorsqu’elle c’est enfoui de lui après son arrestation. Cela nous démontre bien que Monsieur Don José a un faible pour le corps, en particulier les jambes, de Carmen sa prisonnière en fuite.

Deuxièmement, ce qui explique que Don José a commis un crime passionnel est sa nature des plus violente. Don José affirme qu’il couperait le visage de quiconque parlerait en mal de son pays : « je pensais que, si des Espagnols s’étaient avisés de mal parler du pays, je leur aurais coupé la figure » cette pensée qui a passé par la tête Don José est très violente et sadique. Il n’hésitera pas à faire couler le sang, il est prêt à tout et n’a pas peur de la justice et des conséquences qui suivront son geste. Son caractère violent est aussi attribué au fait qu’il a abattu plusieurs personnes par amour pour Carmen mais aussi pour c’est propre fin : « je suis las de tuer tous tes amants; c’est toi que je tuerai », on voit clairement par cette parole que Don José est un meurtrier et qu’il n’a pas peur de tuer qui que ce soit de sang-froid et de façon agressive. Dans son acte final Don José à tuer sa femme avec un couteau, parce qu’il est très violent, jaloux et possessif « je la frappai deux fois ». Le fait qu’il est tué sa femme, nous prouve qu’il est très violent de nature. Il a commis cet acte, car elle ne voulait pas aller en Amérique avec lui, donc il s’est dit, si je ne peux pas l’avoir personne ne l’aura.