La Carte Scolaire

nomie de Paris a en effet montré que les familles, surtout les plus modestes, s'étaient peu emparées de leur nouvelle liberté. Et que, quand elles l'ont fait, la ségrégation s'est aggravée, les établissements en difficulté perdant leurs bons élèves.

La droite a buté sur deux réalités. L'une pratique, les murs des établissements n'étant pas extensibles. L'autre politique: les collectivités territoriales, chargées du bâti, tolèrent mal que des locaux qui leur coûtent cher puissent se vider.

La suppression totale de la carte scolaire s'inspirait d'une logique très darwinienne : que chaque collège et lycée, devenu totalement autonome, propose un projet pédagogique original pour attirer les familles. Les plus mauvais auraient disparu. Or les parents - en dehors des grands centres urbains - ont privilégié l'école la plus proche du domicile.

C - Un bonus pour les établissements vertueux

François Hollande, lui, a opté pour une position d'équilibriste. Il ne veut pas revenir à la sectorisation totale. Les parents auront le choix entre deux à quatre écoles autour de chez eux. Pour autant, "chaque établissement devra respecter des objectifs de mixité, y compris le privé", précise Bruno Julliard, secrétaire national à l'éducation.

En pratique, les moyens financiers des collèges et lycées seront modulés en fonction du parcours scolaire des élèves, pour éviter qu'ils ne retiennent que les meilleurs. Les établissements plus "mixtes" que les autres auront droit à un bonus. Cela revient à transférer aux chefs d'établissement la responsabilité d'organiser la mixité, alors que l'Etat y a renoncé.

Dans le schéma de Hollande, les "écoles ghettos", qui auront malgré tout perdu des élèves, seront progressivement fermées.

Pour la sociologue Nathalie Mons, c'est une erreur: l'exemple américain l'a bien montré. "Dans le cadre de la loi No Child Left Behind, des établissements détruits ont été reconstruits ailleurs. On a juste déplacé le problème."

La carte scolaire aura au moins un mérite, celui de montrer la géographie... des tempéraments: d'un côté, les discours tonitruants d'un Sarkozy ; de l'autre, les propos rassurants d'un Hollande. En réalité, peu de changements.

II – Comparer

La droite, c'est le libéralisme : plus d'Etat pour la police et la justice. Tout le reste soumis à l'économie du marché (même l'éducation et la santé qu'il faudrait privatiser). Si quelqu'un s'en sort, il devient riche et les autres restent pauvres.

Du point de sur de la société, la droite est plus conservatrice (religion, refus du mariage gay, valeurs traditionnelles...)

Nous pouvons directement le voir notament à la partie B où Nicolas Sarkozy reste un peu rétracté vis à vis de la carte scolaire et prend la ségrégation aggravée comme argument. La gauche préviligie plus l'économie du pays , l'économie du marché plutôt que les valeurs fondamentales comme l'éducation ou bien encore la santé qu'elle privatise, et ce n'est pas le cas de la gauche.

Nous pouvons conclure cette sous-partie que la droite est plutôt pour les riches et les patrons.

La gauche, prône de grands services publics et la protection sociale qui permet à chacun santé, éducation, énergie, assurance chômage... mais cela coûte cher à l'Etat... trop selon certain.

Sur la société, la gauche est plus libertaire (mariage homo, laïcité...)

Certains disent que la gauche est utopique, moi je dis que c'est par utopie qu'on a toujours fait les plus grandes avancées...

La gauche est plus libertaire, François Hollande avait annoncé que s'il est élu, il autoriserait le mariage homosexuel, peut-être pour récupérer le plus de voie possible ou cela est plus profond.

Nous pouvons voir que contrairement à la droite, la gauche privilégie l'éducation et la santé et François Hollande nous le démontre bien une fois de plus ici , "Devant les parents d'élèves de la FCPE, François Hollande crée la surprise: il veut revoir "le mécanisme de la carte scolaire pour que tous les enfants aient les conditions qui leur permettent de réussir pleinement leur scolarité" c'est ici que nous pouvons fonder des idées sur les différences entre droite et gauche et avoir une préférence pour le libéralisme , pour l'état , la police , la justice et l'économie en gardant nos valeur (conservateur) ou en inovant (voir partie C) et mettre en avant les grands services publics et la protection sociale qui permet à chacun santé, éducation, énergie, assurance chômage.

Nous pouvons conclure cette sous-partie que la gauche est plutôt pour les ouvriers et pauvres , ainsi pour établir un équilibre entre les différentes sociétées.

Finalement, pour claure ce sujet nous pouvons dire que :

Investir, etudier pour mieux travailler c'est la droite. Donner aux plus meritants c la droite. Planifier, organiser dans un but c'est la droite.

Augmenter le salaire de tous sans savoir si ils le meritent, c'est la gauche. La gauche est egalitaire. Elle apparait comme naive de penser que toute personne est quelqu'un de bien. Elle