La Princesse De Cleves

é et sa parure » (l,7-8) , Succession d'action.

Ces circonstances exceptionnelles très détaillées, le cadre somptueux et la mise en scène exceptionnelle vont provoqué chez les personnages un coup de foudre,

AXE II :

1) Des personnages exceptionnels: Ce sont tous deux des êtres d'exceptions, ils sortent tous les deux du lot..

- Madame de Clèves: On l'a trouve belle de part sa parure et sa beauté: « l'on admira sa beauté et sa parure » (l.8)

- M. de Nemours: description hyperbole (figure de style qui consiste a exagéré pour montrer l'importance d'un phénomène) « ce qu'il y avait de mieux et plus agréable à la Cour » (l.1-2); « l'air brillant qui était dans sa personne » (l,17-18); « d'une sorte qu'il etait difficile de n'être pas surprise de le voir quand on ne l''avait jamais vu » (l,15-16)

=> deux personnages exceptionnels de part leur beauté et leur parure. Personnages similaires « Mais … aussi » (l,18): Mme de Lafayette va les placer au même rang.

2) Une rencontre attendue:

- Par les protagonistes: leurs entourages sont déjà charmé pas ce « couple »: « Quand ils commencèrent à danser, il s'éleva dans la salle un murmure de louanges » (l.22-23)

- Par la Cour: il y a quelque chose de « singulier de les voir danser ensemble sans se connaitre » (l,25). Ils ne se connaissent pas mais ce connaissent de nom seulement et de part la réputation de leur beauté.

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3) Un coup de foudre en lui-même:

a) Le regard: A travers le regard de Madame de Clèves, le lecteur découvre M. de

Nemours « Elle se tourna et vit un homme qu'elle crut d'abord ne pourvoir être que M. de Nemours »(l,13-14). => Une reconnaissance IMEDIATE. L'amour est révélé par le regard et non par la parole (champs lexical du regard AA )

b) Un éblouissement: leur rencontre est un éblouissement. C'est une fatalité ils ne peuvent pas lutter: « il ne put s'empêcher de donner des marques de son admiration » (l,21-22); « mais de tout le soir, il ne put admirer que Mme de Clèves » (l43-44); ce qui clo le passage. On comprend donc que c'est un éblouissement qui va duré tout le long du bal.

c) l'importance du regard d'autrui: il pense qu'il y a quelque chose d'unique, quelque chose de « singulier » (l,25) dans cette rencontre.

Ce coup de foudre ne reste pas inaperçu par les personnes de la Cour, se qui va provoquer un jeu social entre le roi et la reine d'un côté et M, de Nemours et Mme, de Clèves de l'autre.

AXE II :

1) Le regard de la Cour: La Cour les observe déjà comme un couple « Ils » (l,24). Le roi et la reine sont témois de cette rencontre et vont donc la rendre possible. Sur un plan narratif, cela fait avancer l'histoire et la rencontre.

2) L'intervention du Roi et de la Reine: Le piège tendu: Mme de Clèves évite le piège tendu de la Reine et du Roi en ne révélent pas qu'elle a reconnu M. de Nemours: « […] que je ne devine pas si bien que vous ne pensez » (l,35-36); « il y a même quelque chose d'obligeant pour M. de Nemours à ne vouloir pas avouer que vous le connaissez sans l'avoir jamais vu » (l,37-38-39) => présence de négation pour éviter le piège. Elle nie qu'elle connaissait M. de Nemours.

3) Les réponses apportés par les deux héros: Ils ne tombent pas dans le piège, et nie tout: « […] que je ne devine pas si bien que vous ne pensez » (l,35-36)

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Conclusion: Ce texte met en scène un double coup de foudre qui va changer le cours de la vie des deux héros qui apparaissent comme des personnages d'exceptions. L'intérêt dramatique de l'extrait réside dans la rencontre de l'amour par Mme. De Clèves,

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mais cette amour est d'emblé rejeté de façon tragique car Mme. De Clèves est déjà marié. De plus, c'est un lieu de raffinement et de fête dans ce texte. La Cour apparaît comme un endroit propice aux