Commentaire princesse de Cleves

un conte de fée.

→ ce sentiment de surprise revient à la fin du texte. Emploi de l'adjectif " surpris " à 2 reprises. → elle signifie bouleversement, et va être suivit d'un temps d'arrêt lorsque les gens de la cours apprennent des infos sur elle. La PdC est que passive au début du roman, elle doit être digne de sa mère. Les gens de la cours sont éblouit, elle a toutes les qualités qui vont permettre de faire naître une histoire d'amour.

2. Les éléments de la description.

→ traits vagues qui apparaissent à la fin du passage " teint blanc ", " cheveux blanc " : noblesse, pureté, idéal féminin. Elle produit un effet marqué par sa beauté, avec des hyperboles. Elle est désignée par une métonymie au début du texte. Elle dégage de la grâce et du charme. On a une série de connotation positives renforcée par l'emploi du superlatif, elle est la plus belle des plus beaux; " que l'on a jamais vu qu'à elle ".

→ intrusion du narrateur, qui laisse paraître que la princesse à réellement existé.

→ elle a de la vertu et de l'esprit. (donné par sa mère)

Les conseils d'une mère.

1. Une méthode originale.

→ structure du texte : met en évidence l 'éducation de la PdC. Elle l'a éduqué elle-même. Cette éducation prend la forme d'un exposé oral " elle lui faisait des peintures de l'amour ". Elle va essayer de présenter à sa fille l'amour sous tous les jours. (positif et négatif) Le présent de vérité général dans la phrase " la plupart des mères s'imaginent qu'il ne suffit pas de ne parler jamais de la galanterie " indique l'intrusion du narrateur. Elle parle des problèmes associés à l'amour. Elle lui fait constater qu'il y a plus de cotés négatifs que des coté positifs. Elle utilise l'énumération pour faire peur à sa fille? Elle en tient la conclusion qu'il faut parfois se priver d'un plaisir pour s'éviter de souffrances.

2. Vertu et amour.

→ philosophie épicurienne.

La vertu est l'opposé de l'amour. Elle lance à sa fille un défi : arriver à vaincre ses passions.

L'autre solution est un amour d'estime sans passion amoureuse, l'amour conjugale est plut valorisé.

Une présentation décisive.

1. La conception du monde.

→ une aristocrate : n'a pas son mot à dire, c'est une proie dans un monde cruel, c'est un monde très manichéen. Les hommes sont tous englobés dans une catégorie, et les femmes sont des victimes.

La PdC apparaît innocente, elle ne se connait pas et vas découvrir ses défauts, comme la jalousie.

Tous les mots indiquent qu'elle a été mise sur un piédestal. Mme de Chartres va imposer sa propre conception du monde à sa fille, qui va devenir un double d'elle-même.

2. La fatalité de l'amour.

→ pour le lecteur, ce portrait à un très grande impotance.

Narration → description.

Mme de Chartres va faire le malheur de sa fille puisque qu'elle a déjà refusé plusieurs mariages. Ce mariage ce fait en dépit tragique → destin, fatalité.

Toutes les caractéristiques de la tragédie: deux personnes, un amour impossible. La PdC intériorise une morale, un idéal mais vu son jeune âge, elle aura du mal à se diriger.

Le personnage principal nous est présenté d'une façon originale, c'est çà dire par le biais des gens de la cours que sa beauté émerveille. Ce portrait met étonnement l'accent sur une personnalité morale, la mère l'héroïne qui la façonne à son