Mallarme et Debussy

PANAGOU Anastasia

Master 2

 Littérature française générale et comparée

Littérature et musique en 19ème siècle

Mallarmé et Debussy

L’après-midi d’un faune

1. La coexistence de la poésie et de la musique dès l’antiquité

 Musique et poésie coexistent depuis longtemps, dès l’antiquité grecque quand les rhapsodes racontaient leurs histoires héroïques avec un instrument musical, la lyre, aux tragédies grecques etc. à la chanson médiéval français. L’importance de la musique changeait depuis les époques différentes en réciprocité avec théories linguistiques, musicaux et sémiotiques.

1. La musique à l’œuvre de Mallarmé

Le texte de Mallarmé chargé au jeu vibratoire de sonorités, du rythme et de cadences de son discours ou de la temporalité en laquelle la parole poétique consiste et comme Léonard De Vinci avait dit ce « qui se consume dans l’acte même de sa naissance ».

1. L’importance de silence

La différence entre chaque musicien qui joue une pièce musical est le silence entre l’un note et le prochain, ce temps, ces fractions de seconde qui peuvent donner un sens diffèrent. Le timbre est le même, la cadence, la mélodie, tous. Ainsi, le silence est cette petite chose qui peut changer tout le sens de la musique. Il n’existe pas seulement au début et au final de l’œuvre mais son force circule pendant tout l’œuvre.

L’après-midi d’un faune-Le prélude à l’après-midi d’un faune

Mallarmé pensait que la poésie évaluait l’art musical et se persuadait que la musique trouverait son accomplissement et son dépassement dans la poésie. Mallarmé voulait de mélanger le lyrisme, les sentiments automatiques avec la rigueur formelle et la structure musicale. L’imagination, la spiritualité avec les formes, l’harmonie et le rythme et enfin, les mots avec les sens.

Débat

Est-il mieux d’examiner la poésie d’après la musique?

La musique est-elle le moyen de retrouver l’intérêt pour la poésie ? Pourquoi ?