Nouvelles Théories Économiques
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Les agents et les entreprises recherchent à maximiser leurs profits
Les agents sont rationnels
Chandler
Phénomènes physiques
Frise
WALRAS (1834-1910), concurrence pure et parfaite, les éco d'échelles, équilibre parfait si l'O = D grâce au prix déséquilibre, aucune notion de temps, rationnalité des agents (maximisation du profit), situation optimale grâce au libre échange, la firme n'a pas de rôle très important (transformation input - output)
Walras s'intéresse à une concurrence pure et parfaite, en choisissant cette théorie il omet de nombreux facteurs,
L'activité essentielle de la firme est de transformer les matières premières (input) en produits finis (output) d'où son rôle minime, car l'innovation est une notion inexistante dans cette théorie.
Le néoclassique déterminé par 4 postulats.
Phénomènes physiques
Les agents sont rationnels
Les agents et entreprises recherchent le profit
Individualisme méthodologique
Phénomènes physiques
Chandler (1962-1990)
La métamorphose de la firme. Mettre l'accent sur la firme comme institution et montre le développement de l'entreprise industrielle. Deux formes organisationnelles forme U (organisation fonctionnelle ie verticale), et forme M (différenciation, décentralisation, flexibilité stratégique et économie d'échelle). Il s'inspire de Coase auteur qui a renouvelé la théorie de la firme. Cette efficience se construit sur une période de longue durée.
Individualisme
Cyert & March (1963) behaviourisme ou comportementale sur les bases de Simon
Ils font la différence des groupes au sein de la mêm bureaucratie. Pour eux la firme est une coalition de groupes dont le destin est commiun mais chacun manœuvre pour son propre compte. De plus le fonctionnement de la firme suppose un biais managérial et un budget discrétionnaire = la firme arrive à passer ses objectifs contre des dédommagement et récompenses.
Liebenstein (1975) est tout seul à penser que la firme peut acheter des unités de temps et de travail mais que cela ne garantit pas la productivité. Il parle donc d'un facteur « X ». Pour lui les firmes sont en permanence en situation sous-optimale. Selon lui c'est la qualité de l'organisation qui détermine l'intensité et la qualité du travail et donc la productivité des entreprises. Liebenstein est précurseur de toutes les théories actuelles de la firme.
Comparaisons des différentes théories
Théories | Convergences | Divergences |
L’équilibre | | Contrairement a Walras qui travaillait sur l’équilibre général, Marshall lui parle d’un équilibre partiel. Pour Marshall on peut atteindre l’équilibre sur un marché sans tenir compte de l’évolution du prix d’un produit sur l’équilibre des autres marchés. Walras ne fait a aucun moment apparaitre la notion de temps, alors que Marshall quant a lui distingue son étude du court terme et du long terme. |
Rôle de l’Etat | | |
Le Monopole | | |
La rationalité des agents | | Parfaite pou Walras, Limitée pour Simon : propose de remplacer la rationalité parfaite des agents économiques par une rationalité limitée.Les choix réels sont effectués en prenant en compte "un schéma simplifié, limité et approximatif de la situation réelle ". |
La maximisation du bénéfice | | Simon soutient que les décisions dans les entreprises sont le résultat d'un processus de négociation entre les dirigeants, qui cherchent chacun à faire passer une décision satisfaisante pour leur domaine d'activité propre. Il s'oppose par conséquent à l'hypothèse selon laquelle l'entreprise recherche la maximisation du bénéfice. |
Les limites du mouvement néoclassique
Les théories néoclassiques ont le mérite d’être simple , efficace et réalistes. Cependant ces dernières montrent aussi leurs limites, essentiellement des limites dépendant de la complexité de chaque entreprise et de son environnement.
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