Victor hugo
Étude de cas : Victor hugo. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar lroro • 22 Décembre 2021 • Étude de cas • 737 Mots (3 Pages) • 448 Vues
Victor marie hugo est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique et grand intellectuel de son epoque. Il est né en 1802 a Besancon et decedes le 22 mai 1885 a Paris. Il est consideré comme l'un des geants de la litterature francaises et un ecrivains romantiques, malgres cela il n'echappe pas aux critiques.
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Premièrement, ici Victor Hugo écrit pour M. Alphonse un grand ami une lettre, ou il exprime ses pensées et ses doutes. Il utilise dès les premiers vers le champ lexical de la guerre « soldats » « solennel » « suprême » « vainqueurs » « mourir » « pleure » « cachons » « suspendre », on remarque ici un vrai combat intérieur pour Hugo, qui cherche un positionnement face à ses idées qui le font reculer, puis ce lexical et utilisé avec des mots assez dur. . Dans le 1er et 2e vers nous voyons plusieurs métaphores, « Abritons mon navire » on peut comprendre ici qu'il désire de l'aide et s'approprie le mot navire pour désigner son être et ce qu'il a créé, ses œuvres en tant qu’écrivain. Il met en place une négation indirecte « ne livrons plus ma voile au vent qui la déchire » ce qui prouve encore une fois que ses œuvres reçoivent des critiques intempestives qui ne font que l’abîmer. Durant les vers 4 à 6, il se représente comme un soldat qui rentre de guerre face à son vécu qui n'a fait que le rendre fou, silencieux parce qu'il fut choqué et restera marqué tout le long de sa vie, « vainqueur ou vaincu ».Ainsi à la fin de sa lettre il parle de la religion et du point de vue du mot pour celle-ci, déjà avant ses vers nous remarquons une anaphore de la mort, ici Victor Hugo symbolise la mort dans la religion et voit cette fin comme positive alors que la plupart des gens imaginent que ce moment est plus sombre et effrayant. Or Hugo croit que c'est une bénédiction, comme on peut le voir dans le vers 14 à 18 avec un parallélisme des thermes et dès ses pensées dans le silence de la mort, puis montre Jésus rentré dans le cœur lors de cette mort pour lui offrir l'aide. Nous remarquons de nombreuses phrases exclamatives, ou VH exclame ses idées mais seulement qu'une question, donc on peut voir qu'il est très blessé par la situation mais qu'il aime écrire et se laisse encore du temps pour réfléchir.
Deuxième, VH écrit une seconde lettre suite aux écrits entretenue entre ses amis, il déclare avoir envie de continuer « je reviens dans la lice ». M. Alphonse selon VH, aurait déclenché avec son écriture, le désire de continuer « ton bras m'a réveillé » c'est ce grand ami qui lui donner l'aide réclamer mais pour continuer et revenir plus glorieux . Le fait que son ami utilise une métaphore dans la continuité des lettres que H lui a envoyées, le réconforte et utilise ses propos « jetons ensembles un gage », qui représente l'idée de la liberté et il globalise la situation pour que VH naissait cette sente pas seul, s'il revient, ils seront deux à se battre mal contre ce être causé par la critique. On voit dans le vers 25 à 30 , le champ lexical de la vie avec les idéologies fondées à l'époque par les modes de vie et la religion, il présente comme une gradation dans les idées de duo qu'ils pourraient former, étant donné que VH aime sa façon de penser. Puis toujours ont utilisant des métaphores, il montre à son ami "tu es la lance » donc il aide H à monter dans la confiance, et que bien sûr il est envieux des mots comme de l'assurance de M. Alphonse.Pour finir, il décide que son hymne ne sera pas l’éternité avec le silence mais la joie et les mots de son ami qui l’emmène à l’hymne de la vertu, donc une manière de penser plus réfléchi et réservé. Toujours en rappelant le lexique de la guerre il rappelle qu'ils et combattu, il le remercie et qu'il l'aime.
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