Au théâtre, les ruses et stratagèmes ne servent-ils qu’à faire rire ?
Dissertation : Au théâtre, les ruses et stratagèmes ne servent-ils qu’à faire rire ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Loulou322 • 14 Janvier 2022 • Dissertation • 425 Mots (2 Pages) • 3 349 Vues
Dissertation
Au théâtre, les ruses et stratagèmes ne servent-ils qu’à faire rire?
Au XVIII siècle, généralement le théâtre montre les hommes comme des héros dans leur pièces, mais il y a des hauteurs comme Marivaux,Voltaire qui montrent les hommes avec des doutes et des défauts. C’est le qu’a dans les fausses confidences, une pièce de théâtre en trois acte écrite par Marivaux en 1737. Marivaux utililise un nouveau sous genre théâtrale, le drame bourgeois. C’est de la comédie mais celle ci s’éloigne de celle de Molière. Dans cette pièce, il y a Dorante, un jeune homme ruiné et fou amoureux de Araminte, une veuve riche qui est bourgeoise. L’ancien Valet de Dorante, Dubois va l’aider par la ruse et le stratagème à faire tomber amoureux Araminte. Ces stratagèmes et ses ruses vont avoir un ressort comiques pour faire rire les spectateurs. Nous allons nous demander quel répercutions sur les spectateur aurons ses ruses et ses stratagèmes. Premièrement nous verrons que le théâtre de Marivaux est dans un but de faire rire les spectateurs, puis de quelle façon ces ruses et stratagèmes vont elles menez à la réflexion.
Le théâtre de Marivaux est comique pour faire rire le spectateur.
En effet, Marivaux cherche a faire rire le spectateur avec les mots, plus spécifiquement les mots familiers. Pour cela, il va se servir de Arlequin, un valet-bouffon, ce personnage de « vallet-bouffon » est souvent représenter dans les pièces de théâtres. Et c’est souvent lui qui provoque le rire facilement. Arlequin va avoir des réflexions ahurissantes, comme par exemple dans l’Acte I scène 8 quand Araminte lui dit qu’elle le donne à Dorante et que Arlequin répond presque en pleurant : « Quoi, ma personne ne m’appartiendra donc plus ». Cette citation montre bien le ridicule de Arlequin ce qui fait rire le spectateur, l’absurde. Ce genre d’absurdités apparaît aussi dans le langage familier d’Arlequin comme dans l’Acte II scène 10 « Tu es un plaisant Magot ! » On reconnaît rapidement le valet-bouffon des pièces de théâtres par la façon familières de parler et cette familiarité la peu faire rire.
Marivaux cherche aussi à faire rire le spectateur en utilisant des stratagèmes ou ruses qui engendre une situation comiques, et généralement, ces situations comiques sont traduit par des situations embarrassantes comme par exemple dans l’Acte I scènes 15 quand Dorante « se jette à ses genoux » alors que Marton entre dans la pièce et voir Dorante qu’elle aime à genoux devant Araminte, cela provoque le rire du spectateur car cette situation est embarrassante mais comique.
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