Documentaire sur Hans Rosling

on’t panic Hans Rosling

Hans Rosling est un statisticien et était médecin. Il nous montre dans c!o e docu

une vision différente du monde que nous avons, et nous montre aussi la réalité des

choses. Il nous parle du monde que nous connaissons aujourd’hui et du monde que nous

pourrons avoir demain si rien ne change, et si tout change. Il y a toujours une solution aux

problèmes, même si nous pensons être au fond du gouffre, il nous montre donc les bons

cotés et mauvais côté de l’évolution. Nous sommes actuellement 7 milliard sur terre,

certains pensent que c’est une bonne choses et ne se préoccupe pas du future, mais

d’autres panique en pensant à demain. Comment allons nous vivre, survivre, faire avecr

autant de monde? Y’aura t-il suffisamment de ressource pour autant de monde? Il répond

à ces inquiétudes et dit que le future peut ne pas être si horrible à vivre, que les défis sont

immenses mais que l’humanité s’en sort déjà mieux qu’on le croit. Nous allons donc nous

intéresser à la surpopulation, comment en sommes nous arrivé la? Au départ, en 10 000

avant J.C nous étions seulement 10 millions, mais avec le temps il y a eu plus de fermiers

plus d’agriculteurs donc plus de personne sur terre. De très grands empires ont émergés

(Egypte, Chine, Inde et l’Europe). A cette époque la population mondiale augmentait mais

lentement, et enfin en 1800, avec la révolution industrielle, nous avons atteint le 1er

millard d’humains sur Terre. Le but de la video est de montrer que malgré cette évolution

nous pouvons supporter ce nombre d’individu sur Terre, car lorsque nous étions 5 milliards

les scientifiques disaient que nous ne pourrons pas le supporter, alors qu’aujourd’hui nous

sommes presque 8 milliards sur Terre. Bien évidemment ce n’est pas facile pour tout le

monde. Dans ce documentaire, il y a trois grands points très importants que nous allons

revoir. Tout d’abord, l’évolution du nombre d’enfants par femme et les améliorations

observés. Ensuite, l’éducation et son évolution et pour finir la différence entre les plus

riches et les plus pauvres, et de l’évolution qui est déjà présente et qui pourrait s’améliorer

avec le temps.

Tout d’abord Hans Rosling, nous parle du nombre d’enfants par femme dans le monde et

prend l’exemple du Bangladesh, car c’est un des pays les plus densément peuplé au

monde et qui a triplé sa population (50 à 150 millions). La principale préoccupation est la

taille de la famille, c’est pour cela qu’il y a eu un changement et un nouveau Bangladesh. Il

prend l’exemple d’une famille, les parents viennent tout les deux d’une famille nombreuse

mais ils ont décidé de n’avoir que 2 enfants, « 2 enfants c’est très bien mais 1 enfant c’est

mieux », comme la dit le père moins ils sont et plus il pourra subvenir à leurs besoin. Dans

ce pays, des femmes travailles pour l’Etat, elles font le tour des maisons pour aider les

femmes à avoir de moins d’enfants et proposent des moyens de contraceptions. Les

femmes avaient en moyenne 7 bébés et l’espérance de vie était seulement de 50 ans,

mais après leurs indépendance, en 40 ans le nombre d’enfants par femme est passé de 7

à 2,2 et l’espérance de vie est passé de 50 ans à 70 ans. Mais à une échelle mondiale le

monde était divisé en deux, d’un coté les pays développés avec des familles réduites et

une longue vie et d’un autre coté des pays en voie de développement avec des familles

très nombreuses et une vies courtes. Aujourd’hui le taux de fécondité est de 2,5 en

moyenne et c’est grâce à la santé qui s’améliore, ainsi que le contrôle des naissances,

ainsi le monde n’est plus divisé. Nous pensons tous que les pays comme le Bangladesh

sont ceux qui sont à l’origine de tout cela, ce n’est pas un manque de méconnaissance

mais d’idées préconçues. Mais ce n’est pas le seule changement qu’à connu le

Bangladesh.

Ensuite, Hans Rosling nous montre que le Bangladesh a aussi connu une évolution

scolaire. De plus en plus de fille vont à l’école, alors qu’à l’époque de leurs parents ils se

mariaient à 17 ans. Mais maintenant, le pays aide même les familles pour que leurs

enfants puissent faire des études secondaires. À l’école les enfants vont apprendre les 2

types de familles qu’il y a (nombreuse et peu nombreuse) et vont comprendre que plus il y

a de bouche à nourrir et