Economie Industrielle

* L’école de Chicago réfute l’analyse même de la concurrence imparfaite la seul réfèrent théorique valable. C’est la situation de concurrence pure et parfaite.

* L’école moderne : théorie des jeux.

* Travaux empiriques sont désormais très nombreux. Progrès de l’économétrie, de la création de bases de données, la nécessite de départager entre th concurrentes.

Exemple illustratif : coût de production faible ->médicament vendu très cher. Le objectif de l’entreprise es maximiser son profit (∆prix de vente) est possible parce qu’il n’y a pas de substitut à son produit, dispose d’une protection par des brevets, la publicité. Firme qui a un pouvoir de marche significatif sur les marches des médicaments. L’entreprise a use d’une stratégie de R&D efficace et une stratégie de marketing agressive.

* QUESTIONS ESSENTIELLES DE L’ECONOMIE INDUSTRIELLE

Paradigme -> Structure – comportement – performance. L’idée consiste à tenter d’expliquer le degré de proximité a l’idéal de concurrence pure et parfaite auquel sont arrivées les entreprises selon des caractéristiques de marches et de comportement des entreprises.

* Structure de marche. Nombres de acheteurs et de vendeurs, degrés de différentiation des produits, barrières a l’entrée, structures de coûts, intégration verticale

* Conduite : comportement de tarification, stratégie en termes et produits, innovation

* Performance : prix et marges. Production et efficacité allocutive, plein emploi, équité.

Causalité : S – C – P. Une firme ayant un comportement très agressif peut faire sortir du marché d’autres concurrents (prédation) ou même créer des barrières à l’entrée (problématique du prix-limite)

Le pouvoir de marche est la possibilité de fixer des prix au-dessus du cout (cout marginal ou incrémental) l’école structuraliste montre le lien négatif entre la performance d’une industrie et son degré de concentration.

Si les couts sont proportionnels à la production le pouvoir de marche peut être obtenu à partir des données sur le prix, la production et le taux de profit.

r= R-CC= PQ-CuQCuQ= P-CuCu R : recettes C : Coûts totaux P : Prix vente Cu : coûts unitaires

1) Harberger : taux de profit faible -> pouvoir de marche et est également faible.

2) L’école de Chicago : concurrence potentielle. Pouvoir de marche ne peut persister.

3) alternative : approcher le cout marginal en divisant l’augmentation de cout entre deux années successives par l’accroissement du niveau de production.

cm= ∆C∆Q= Ct+1- CtQt+1- Qt= ∆Coût (2 años sucesivos)∆nivel de producción

4) L’étude de hall. Les prix peuvent aller jusqu’ à 3 fois le cout marginal.

* CONCENTRATION ET POUVOIR DE MARCHE : UNE ESTIMATION EMPIRIQUE.

Stratégie de départ est le paradigme SCP et la causalité S-C-P.

La performance P est une fonction de la structure S. P = f(S) ou plus exactement le pouvoir de marche comme fonction de la concentration de l’industrie.

Dans une industrie déterminée, l’indice de Lerner est la somme pondérée par les parts de marches des taux de profits des entreprises. L = si Pi-CiPi

Si les couts fixes sont nuls et les coûts marginaux constants Ri = Ri-CiRi = pqi-cqipqi= p-cip=mi soit le taux de profit de la firme i est égal au taux de marge.

L’indice de Lerner peut être approche par le taux de profit moyen dans l’industrie. Ceci peut être explique par un moins deux types de problèmes.

1. PROBLEME DE MESURE DES DONNÉES. Le profit comptable est diffèrent du profit économique. Le premier comprend la rémunération de fonds propres, or le capital des actionnaires. Il est difficile de soustraire au profit comptable au profit normal (à cause des risques et des dividendes versés aux actionnaires de manières très variables selon les entreprises)

2. PROBLEME DE SIMULTANEITE. Le lien causal peut être inverse (P implique S) nombre important de secteurs dans la base de données, les deux effets (direct et indirect) peuvent être joué de manière différents. Relation statistique faible.

* INTERPRETATION D’UNE RELATION POSITIVE.

* L’hypothèse de collusion. Plus une industrie est concentrée, plus la collusion est facile.

* L’hypothèse d’efficacité. Les entreprises ont une meilleure performance parce qu’elles sont plus efficaces. L’arrivée dans un secteur concurrentiel d’une entreprise plus performante que les autres (coûts de production plus faible) peut conduire le secteur à se concentrer et a un taux de profit supérieur. Difficile diagnostiquer une dégradation du fonctionnement du marché, puisque les prix baissent. Ex. Microsoft.

* COMMENT LES FIRMES ACQUIERENT ET MAINTIENNNENT UN POUVOIR DE MARCHE ?

Pouvoir de marche rime avec profits élevés. L’intérêt pour les entreprises d’en acquérir et surtout de le maintenir.

* COMMENT L’ACQUERIR ?

* Protection légale.

* Stratégie très agressive au début de l’apparition d’un bien réseau. Externalités indirectes.

Les brevets expirent, l’imitation se produit et les industries protégées sont dérégulées et s’ouvrent de plus en plus à la concurrence.

* COMMENT DANS CE CAS MAINTENIR CETTE POSITION DE DOMINATION SUR UN MARCHE.

* Tarification agressive à la suite d’une entrée sur un marché ouvert á la concurrence.

* Problématique de la prédation, de l’augmentation de cout des concurrents.

* QUELLES SONT LES IMPLICATIONS DU POUVOIR DE MARCHE.

Pour la firme signifie profits plus importants et valeur plus élevée.

Pour le bien-être global de l’économie est plus compliquées à analyser.

* Effet du premier ordre d’un prix plus élevé -> transfert de bien-être des consommateurs vers les firmes. Un objectif possible assigné à la politique de la concurrence est protéger les consommateurs d’un tel transfert.

3 types d’inefficacité :

* Inefficacité allocative (implique par le pouvoir de marche) un prix élevé implique une allocation inefficace des ressources. Certains consommateurs sont prêts à payer plus que le coût marginal de production d’une unité supplémentaire du bien mais moins que le prix tarifie. Il serait donc efficace que ces individus achètent.

* Inefficacité productive. Une firme en <<position dominante>> a une << vie paisible>>. Elle n’est qu’un peu incitée à être efficace du point de vue productif

* Dissipation de la rente. Quand le pouvoir de marché est artificiellement maintenu par une intervention gouvernementale.

* Y A-T-IL UN RÔLE POUR UNE POLITIQUE PUBLIQUE CONCERNANT LE POUVOIR DE MARCHE ?

Le rôle de base d’un politique publique consiste à éviter les conséquences négatives du pouvoir de marche.

La politique publique peut être divisée en :

1. La régulation sous le contrôle direct d’un régulateur qui régule le prix de vente, la qualité du bien, les choix et les niveaux d’investissement.

2. La politique de la concurrence. Prévenir les firmes d’entreprendre des actions qui peuvent nuire à la société ou augmenter leur pouvoir de marche (création o renforcement d’une position dominante) contrôle ex ante des structures de marche contre contrôle ex post de comportements. Ex : politique industrielle.

1.3 DEUX JUSTIFICATIONS POUR LE CALCUL DU SURPLUS ET 1 GRAPHIQUE POUR SE SORTIR DE (PRESQUE) TOUTES LES SITUATIONS.

Economie industrielle -> marche particulier. Le but est de se concentrer sur la structure de ce marche (les entreprises en présence leurs couts, stratégies) pour évaluer la performance du marché (prix, niveaux de production, répartition de la production entre entreprises)

Le surplus lie à l’activité du marché d’un bien particulier comprend.

* Le surplus du consommateur

* Les profits des entreprises.

* Peut-être (cas particulier) impôts prélevés par l’Etat.

Le surplus est exprimé en valeur monétaire permet des comparaisons élémentaires des performances de deux structures de marche.

Deux visions de la demande :

* Justification 1 : discrétisation de la demande.

Chaque achat est unitaire : chaque consommateur ne consomme qu’une unité ou aucune. On a un prix (de réserve). L’ensemble des consommateurs