L'État Face Aux Artistes
Note de Recherches : L'État Face Aux Artistes. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresst la seule solution à sa propre survie ainsi qu’à sa satisfaction personnelle. Il va instinctivement être porté à coopérer pour mettre en place des solutions efficaces au point de vue individuel et social. Il est cependant important de bien comprendre la différence entre être individualiste et égoïste. Une personne égoïste ne voudra tout simplement pas aider les autres et ne voudra pas croire que d’autres gens peuvent partager ces idéaux. Une personne individualiste va vouloir participer à des groupes ou des associations et coopérer « LIBREMENT ».
Lorsque l’on se pose une question aussi vaste que « Quel est le rôle de l’État face aux artistes », il faut d’abord définir le rôle de l’État lui-même. Une définition libérale de l’État ressemblerait à ceci : Le rôle de l’État est réduit strictement aux intérêts des hommes dont il doit protéger la vie, les biens et la liberté. Il est simplement le gérant de ce respect mutuel. Selon une conception ultralibérale, le gouvernement ne peut pas s’ingérer dans l’art, car il n’est pas sensé porter un jugement sur ce qui est bien ou ce qui ne l’est pas.
La vision d’un libéral sur la question que nous nous posons serait que le gouvernement n’a pas d’affaire à financer les artistes étant donné que ce n’est pas son rôle et qu’il ne peut pas demander à la population de subventionner les artistes, car ce serait imposer quelque chose à la population. Si quelqu’un veut financer un projet artistique, il est libre de le faire. Si le gouvernement commençait à financer les arts, il ne respecterait plus son rôle, il entrerait dans la branche de l’épanouissement personnelle.
Ce qu’il faut retenir dans la pensée libérale c’est qu’il est important de respecter la liberté des gens en ne leur imposant pas de payer des choses inutiles à leur liberté, leurs biens et leurs vies. Cependant, si un citoyens partage les mêmes idéaux qu’un autre, ils sont libres de s’associer.
Parlons maintenant de la pensée communisme; c’est une pensée qui met en avant-plan la société plutôt que la personne en tant que tel. Elle valorise l’égalité et peut se rapprocher de l’utilitarisme. C’est une organisation sociale sans État, fondée sur la mise en commun des moyens de production. L’État veut garder la société forte et solidaire. Les communismes considèrent les arts comme une partie très importante pour la survie de la culture. L’État a donc, comme devoir, de protéger celle-ci et de choisir quels arts elle permet ou non d’être affiché en s’assurant que ceux-ci restent dans les valeurs communes de la société. Hitler est un bon exemple de favoritisme dans le domaine de l’art (et des communautés bien sûr…). Son gouvernement avait des idéaux biens précis et il voulait les faire régner sur tout son peuple. Si, par exemple, un artiste partageait les mêmes idéaux que ce gouvernement, il allait être financer et soutenu par celui-ci, ce qui est tout le contraire de l’artiste qui avait une vision autre que celle imposer par Hitler. Le gouvernement communisme fait donc une sélection qui va mettre en valeur leur point de vue et faire en sorte que le reste de la société le partage.
Ce que je pense de tout ça est un mélange des deux pensées, c’est un équilibre de celles-ci. Selon moi, les arts dans une société sont très importants et il faut les conserver et les cultiver pour la richesse de notre culture. Cependant, je ne crois pas qu’il faut imposer aux gens de subventionner des artistes si ça ne leur tente pas, c’est au gouvernement de donner un certain montant à chaque année pour la culture. Les gens qui désirent encourager les artistes peuvent, à leur plein gré, leur donner des sous, ou encore faire partir d’une association. Être un artiste (de métier) c’est un choix, comme les personnes qui ont choisit de devenir médecin et qui sont assurés d’avoir un bon salaire toute leur vie. Quand un artiste s’embarque dans cette industrie-là, il doit savoir à s’attendre à ne pas avoir un revenu fixe, ça fait partie de ce métier. Je penche plus du côté libéralisme qui met en valeur la liberté de chacun, mais la vision du communisme qui dit que l’art est primordial dans une société, selon moi c’est vrai. Il suffit de trouver l’équilibre entre les besoins primaires
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