La Relation Centrée Sur La Personne (Carl Rogers)

le fait d’eter vrai, la sincérité du therapeute » autrement dit l’autenticité qui pour lui decoule directement de l’empathie(2). Le thérapeute ne pourra faire ressentir ceci a son patient que grace a la congruence puisqu’il parle de « communiquer a son patient une attitude » « sans faire semblant »

ensuite carl rogers nous dit que la seconde attitude a avoir pour faciliter la relation est l’acceptation inconditionnelle que je defini comme l’accueil inconditionnel de tous patients et nous en donne une définition quelques lignes plus bas « l’acceptation ne doit être affectée en rien par les difference de milieux socioculturels ou de systèmes de croyances entre le patient et le thérapeute, car elle ne dépend en aucune facon de critere moraux, ethiques ou sociaux » ce qui implique ce dont j’ai déjà parlé : l’absence de jugement de valeur(relation a l’antropologie), pour ma part je suis en desaccord avec les propos de carl rogers quand il dit qu’il s’agit de la seconde attitude importante pour créer un climat de confiance en parlant de l’acceptation inconditionnelle, effectivement je pense que le concept d’accueil inconditionnel a la primauté dans l’etablissement de toutes relations centrée sur l’autre.

Lié a l’acceptation inconditionelle carl rogers parle de regards et d’attention positive on retrouve ici la congruence et la bienveillance (reagrd et attention = congruence et le fait de parler de positivité = bienveillance)

De plus calr rogers insite sur le fait que l’acceptation inconditionnelle doit se faire tel que le patient se parait a lui-même dans le present et l’on retrouve là la notion d’empathie c’est a dire qu’il s’agit d’accueillri le patient tel qu’il se voit et tel que nous le voyons. Je me suis posé la question // a lk’acceuil inconditionnel :

- accueil inconditionnel donc empathique

-ou bien est-ce un nouveau concept que l’on pourrait nommer ainsi l’accueil inconditionnel empathique.

D’une facon ou d’une autre cela implique l’imbriquement de toutes les notions enter elles et leur nécessité reciproque. Des lors que cela soit carl rogers qui pense que l’acceptation inconditionnelle serait au « second plan » ou comme je le disais tout a l’heure qu’elle aurait la primauté serait donc faux puisque qu’il s’agirait en fait d’une seule et unique attitude dont la base serait une neutralité positive(neutralité pour l’accceuil inconditionnel(sans jugement) et positive pour le fait d’etablir une relation empathique bienveiilllante autenthique et congruente par un acceuil inconditionnel !!)

De plus carl roger ajoute ensuite que l’empathie doit etre prépondérant afin d’établir une relation constructive pour le patient ( 8), et que l’empathie ne peut qu’etre permanente et donc évolutive au fil du temps puiqu’elle est fonction du patient, ceci afin d’etablir le climat de confiance et que le thérapeute devienne un repere pour le patient. Carl rogers insiste de nouveau sur le fait que pour eter empathique le thérapeute doit absolument etre vierge de tout jugement et même de ses valeur(10)=> effectivement suivant les milieux, culture,ou religion les valeurs des individus peuvent etre totalement differentes et pour une relation empathique efficace il faut etre au plus pres du mode de pensée du patient c’est-a-dire s’approprier ses valeur et même ses jugement afin d’eter plus a même de le comprendre.

Pour finir carl roger nous dit que la sécurité(fait de ne pas sentir en danger) identitaire du thérapeute permet la sécurité du patient, le thérapeute en sécurité ne rique pas de se perdre dans les pensée de son patient(identification=> s’appropier les faits geste et pensées de qqun d’autre « nefaste a l’empathie » de plus un peu avant dans le texte carl rogers nous explique que la sécurité apporté par un accueil inconditionnel « permet au patient d’etre tout ce qu’il