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Le marché de l'œnotourisme en France

Étude de cas : Le marché de l'œnotourisme en France. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  5 Octobre 2020  •  Étude de cas  •  1 213 Mots (5 Pages)  •  1 303 Vues

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Dossier 2 : Le marché de l’oenotourisme en France

Quelques chiffres :

7,9 milliards d’euros d’exportation en 2016 c’est le deuxième secteur d’exportation en France

17 types de vignobles en France

10 millions de touristes qui séjournent dans les vignobles chaque année

1256€ en moyenne par séjour dont 240€ dans l’achat et les dépenses périphériques.

5,2 milliard d’€ de recettes en 2016

42% des oenotouristes sont étrangers dont la moitié belges et britanniques. 40% de croissance depuis 2009.

58% de français, 29% de croissance depuis 2009.

5,2 millions de français et 4,8 millions d’étrangers.

26% des visiteurs sont des familles

Clientèless, demande :

L’oenotouriste type a 46 ans de CSP+ élevée il voyage en couple, en famille ou entre amis, se déplace en voiture et séjourne en majorité dans des hébergements marchants, il n’utilise pas ou peu d’intermédiaire et dépense en moyenne 1256€. C’est un consommateur régulier de vin. Seul 10% font du vin l’unique composante de leur séjour, les 90% restant l’associent à d’autres formes de découvertes.

4 catégories :

- 40% sont des épicuriens, motivés par le plair des sens ils viennent visiter acheter et déguster et apprécier les paysages et la convivialité.

- 24% les classiques veulent connaitre et s’enrichir d’un patrimoine qui mêle culture, architecture, gastronomie et histoire.

- 20% des explorateurs le vin est une alchimie, de l’art et la première motivation de leur séjour découvrir les secrets hors des sentiers battus.

- 16% des experts le vin est une science ils veulent découvrir le procesus de fabriquation. Beaucoup de français.

Etrangère : 42% des oenotouristes sont étrangers, profil type : 45 à 49 ans CSP+ épicurien

Peu passent par des intermédiaires à part les allemands et les américains, la majorité vient par soi même grace à internet et le bouche à oreilles.

Sensible à l’accueil et à la convivialité, besoin d’être rassurés sur l’acces au secteur qui leurs parait compliqué, exigants sur les prix.

Les belges et les britaniques en tête du classement représentent la moitié des touristes internationaux, c’est 10% du total en France.

- Les belges premiers en Alsace, Bourgogne, Bordelais, Champagne. Ils voyagent en couple en famille ou entre amis, se déplacent en voiture et fréquentent les hébergements marchants. Apprécient aussi les paysages et donc les roytes et circuits. Sensibles aux prix, à l’accessibilité, signalisation et horaires d’ouverture. Ce sont des clients fidéles qui reviennent.

- Les britanniques fort pouvoir d’achat, premier dans le val de Loire, le languedoc roussillon et la provence. Viennent en couple pour visiter et acheter du vin. Recherchent les échanges avec les pros et la découverte du territoire. Sensibles à l’accueil en anglais et à la convivialité.

- Allemands viennent en couple, ils associent le facteur vin à des séjours gastronomie, se déplacent en voiture et apprécient aussi le vélo. Sensibles à la convivialité, facilité d’acces et exigeants sur l’accueil des enfants lors des visites et les prix. 17% passent par un TO ou une agence.

- Hollandais viennent en couple et en famille, le vin est un des aspect de leur séjour, pratiquent l’itinérance et la randonnée, aiment découvrir des infos plus confidentielles et cherchent les activités pour les enfants.

- Américains attirés par la notoriété de nos régions viticoles, en couple ou entre amis et sont souvent des primo visiteurs, aiment les échanges avec les viticulteurs clarté des infos et bonnes adresses en anglais, aiment découvrir le patrimoine proche comme les châteaux.

- La question du transport est une attente importante, mise en place de navette, de circuit en vélo ou à cheval.

- Des offres oenotouristiques plus ouvertes et plus pédagogiques, à destination des femmes et sur une féminisation des produits.

- Le coût des offres oenotouristiques ne doit pas dépasser un budget psychologique entre 350 à 600 euros pour trois jours. De manière générale, il manque des offres intermédiaires en termes de prix et de qualité, de très bons produits haut de gamme destinés à l’élite mais de mauvaise qualité lorsqu’adressés à la classe moyenne.

- Une demande indissociable d’hébergements de charme et de bonne qualité, séjour chez le vigneron.

- Une information sur le sujet insiffisante, notamment sur internet, le rôle des offices de tourisme est d’autant plus important pour le secteur.

- Les étrangers veulent un accueil de qualité de préférence dans leur langue, ils aiment la convivialité et la découverte et la rencontre ave les producteurs. Besoin de sécurité car acces au secteur semble difficile

Le critère prix est important ainsi que la signalisation et l’accessibilité et les horaires d’ouverture.

- Pour l’oenotouriste en général il souhaite que le vin soit une composante du séjour associée à la découverte du patrimoine et de la culture et de l’architecture du pays.

Ils attendent des aménagements des visitespour les enfants.

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