Les Communards à Partir De 1871.

cherchaient surtout une égalité de pouvoir entre les citoyens ainsi qu’à faire une protestation contre les républicains.

Dans une seconde partie, nous verrons que ce mouvement sera vite anéanti suite à la guerre civile opposant Versaillais et Communards.

Premièrement, les deux mouvements n'avaient pas d'empathies prédéfinies envers leurs adversaires, constitués de la classe sociale opposée. Théophile Gautier parle dans le document 3, « Des gorilles sortis des profondeurs de la ville », de “bêtes fauves, bêtes puantes, bêtes venimeuses” pour parler des Communards. Ainsi, une réelle haine de l'autre s'était installée. Il fallait absolument mettre un terme à cette opposition s’étant malheureusement concrétisée, avec notamment, l’apparition d’une guerre civile.

Deuxièmement, “la Semaine Sanglante” représentera, du 21 au 28 mai 1871, la fin des communards. Elle sera menée de front par les Versaillais, où les Communards et les Fédérés seront exécutés, devant le cimetière du Père Lachaise, afin de “supprimer le chaos dans la ville”. 17 000 Communards et Fédérés finirent donc ainsi fusillés auprès de leurs futurs voisins de palier.

Pour conclure, nous pouvons affirmer que le mouvement Communard s'est finalement éteint dans la violence, dans la haine et dans le mépris du mouvement adverse.

Ainsi, les Communards, malgré des idées bien précises sur leur organisation française idéale et un nombre de partisans importants, furent voués à une fin de la part de la haute bourgeoisie, ne laissant derrière eux que la trace cendrée de la mélodie du Temps des Cerises...