Les Répartition Des Fruits De La Croissance

'obtenir des salaires fixe quelques soit les contraintes extèrieur.

II) Le profit et les autres revenus

Le profit est un terme ambigü car celui la a eu une connotation péjorative pdt de nombreuse année (termes issus de Marx).

Le profit est considéré comme la rémunération direct de l'entrpreneur.

Certain disent que le profit est la sanction ou la récompense du risque prie par l'entrepreneur.

Le profit est justifié par les innovations réussi du capitalisme. Pour les libéraux il conditionnent la réussite des entrprises, il permet aussi à l'entrprise de se positionner dans le future. L'idée pr les liberaux est de ne pas trop taxer les revenus du capitale car cela engendrerait un risque de démotivation.

Les revenus des proffession libéral: ces revenus concerne des proffessions indépendante, cela concerne es agentséconomique qui ont atteint un certain degré de diplôme. Ces revenus sont d'abord tres difficile a appréhender. Mais on constate une baisse de ces revenus depuis quelque années avec cette charge de travail aussi importante.

Pour les agriulteur on adeux grande période: la période béni pour les agriculteur c'est la période 60-75 dû a la combinaison des 30 Glorieuses et celle de la PAC.

Deuxième période la crise de surproduction (40% du budget) avec lamise enplace quota et des revenus qui baissent dans le cas du GATT.

III) Les revenus primaires des ménages

La part des salaires tend à stagner depuis ledébut des années 80. La masse salariale représente 54% du PIB. Cette tendance s'explique parle mouvement de salarisation de la population active: 1948= 62% de la pop active était salarié / 1996= 86% de la pop active était salarié. En matière de salaire jusqu'au début des années 80 la règle était « l'indexation » (lien intime entre l'augmentation des salaires et la hausse des prix – logique de négociation collective des salaires). A partir de 82, nous passons de l'indexation à la « désindexation » car désormais deuxvariable totalement indépendante. On assisste également a un retour de l'individualisation des salaires. Maintenat les poubvoirs pubic ne s'occupe que du SMIC (céé en 1950 qui avait une vocation purement alimentaire). Le SMIC mise en place enanvier 1970 remplace le SMIG. L'idée est que d'abord il y ait en France un salaire plancher. Le SMIC est revue chaque année a la hausse au mois de juillet. Le gouvernement peut à n'importe quel moment par « coup de pouce » augeneter le SMIC.

Il y a entre les revenus du capitale et les revenus du travail des différence qui s'expliquent et qui sont tout à fait logique.

Grand progrès avec le début de la transparence.

Le revenue primaire: est le revenue de l'activité et ou celui du capital.

Le revenue de transfert: c'est la redistribution, c'est toute la politique sociale.

Le revenue disponible: revenue primaire plus les revenues de transfert moins les impôts et les cotisations

L'indexation des salaires: La hausse des salaires suit automatiquement la hausse des prix.

La désindextion: Mise en place en 1982 cela a permis de diminuer l'inflation. On a séparer la hausse des salaires et la hausse des prix

IV) Les inégalités des revenues primaires

A) Les inégalités salariales

Différence lié a la qualification: Les salariés diplomé ont un salaires moyens 3 foix plus élevé que celui des ouvriers.

Inégalité entre les H/F: En 1995, au niveau des cadres on avait une différence de salaires de 34% entre les H et les F. EN 2000 cette différence est passé a 40%. En myenne tout salaires confondu ont a une différence en moyenne entre les H et les F de 30%. Phénomène qui ne s'observe pas dans les pays anglo-saxon et dans les pays Scandinave. Cette différence s'observe particulièrement dans les pays méditerranéens.

Une loie a été voté en 2004 afin de reduire jusq'en 2010 les inégalité de salaires entre H/F, sous peine d'amende.

Disparité de salaires en fonction de la Nationalité d'origine: différence de 10 à 15% en fonction des salaires.

Différence en fonction de la taille de l'entreprise. Dans les entreprise de plus de 500 personnes on a des salaires 17% fois plus élevé que dans les PME.