On Ne Peut Pas Réduire Son Identité À Une Couleur De Peau

ité et nous sommes tous différents mais égaux. Par exemple, Rosa Parks, en 1955, s’est battue pour l’égalité entre les noirs et les blancs. Elle s’est définie par ses actions, par ses manifestations pour abolir les lois ségrégationnistes. Aujourd’hui, si elle est encore si connue c’est pour ce qu’elle a accomplie.

On le constate donc aisément : on ne peut pas réduire une identité à sa couleur de peau. Nous faisons partie d’un tout et nous nous définissons par nos actes. Néanmoins, cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas être réduits à notre couleur de peau.

Tout d’abord, la couleur de peau peut rassembler et donc nous définir. Car lorsqu’on est en groupe, l’on a l’impression d’être plus important. Et la couleur peut réunir, cela peut être vu comme une appartenance à une communauté. Par exemple, lors des élections en Amérique en 2009, Barack Obama a réussi à rallier presque toute la communauté noire à voter pour lui. Il a ainsi rassemblé beaucoup de monde car lui aussi était noir. C’est un grand bond en avant qui a été fait lors de ces présidentielles.

Enfin, la couleur de peau peut être un élément valorisant et donc il est très facile de s’y identifier. Car si c’est un facteur qui nous met en avant, le fait d’être réduit à sa couleur devient un avantage. Par exemple, la race arienne a souvent été considérer comme supérieur, et donc, il était très facile pour eux de s’y reconnaître. Leur apparence leur a même parfois évité de la mort.

En conséquence, être réduit à sa couleur de peau peut être aussi une bonne chose dans certains cas.

Nous voilà donc arriver à la fin de ce travail et je pense que le mieux est d’être nuancé. Car je pense que l’on ne peut pas réduire quelqu’un à sa couleur de peau, cependant la couleur peut aider à rassembler certaines communauté. Mais il ne faut surtout pas tomber dans le racisme, car cela serait une faute grave !

Je terminerai parce cette citation de Jean Guitton qui a dit « L’âme n’a pas de couleur ».