Rapport final
Dissertation : Rapport final. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Josée Grenier • 5 Décembre 2018 • Dissertation • 5 401 Mots (22 Pages) • 749 Vues
Plan détaillé du rapport
Sujet : La nouvelle économie | |
Introduction : | La nouvelle économie est-elle si nouvelle?
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Développement : |
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Conclusion : | Les nouvelles technologies ont bel et bien pris une importance majeure dans la culture actuelle. Ces dernières risquent donc de supplanter le support papier, entraînant une révolution culturelle considérable, qui est en train de refaçonner le monde. |
JG Technologie
Consultant
Rapport sur
La nouvelle économie est-elle si nouvelle?
Présenté par
Josée Grenier
Consultante
À
Monsieur Jean St-Gelais
Président de l’Association des économistes québécois
Le 13 août 2017
Josée Grenier
Consultante
8623, avenue Éric
Anjou, Qc
[pic 1]
Montréal, le 13 août 2017
Monsieur Jean St-Gelais
Président de l’Association des économistes québécois
625, rue Jacques-Parizeau
Québec (Québec) G1R 2G5
Monsieur le Président,
Conformément à votre demande lors de notre dernière discussion, j’ai l’honneur de vous présenter en avant-première mon rapport sur « La nouvelle économie est-elle si nouvelle? ».
Vous trouverez dans ce rapport la définition de la nouvelle économie, un résumé des principaux changements, les technologies perturbatrices et les règles du gouvernement.
J’aimerais présenter ce rapport lors du 42e congrès de l’Association des économistes québécois. Qui aura lieu à Gatineau du 2 octobre au 5 octobre 2017.
Si la conclusion à laquelle ce travail vous convient, je vous serais reconnaissante de bien vouloir me retourner le présent rapport avec votre approbation.
Bien à vous,
Josée Grenier,
Consultante
JG/jg
p.j. : Rapport
Table des matières :
1. Introduction : 5
2. Changements au niveau de la structure industrielle 6
Figure 1 : Les principaux changements entre l’ancienne et la nouvelle économie. 6
3. Les technologies perturbatrices 8
A. Les marchés d’emploi 9
Figure 2 : Entreprises pas sous-secteur des TIC 10
Figure 3 : Secteur des TIC : Répartition par taille d'entreprise 10
B. L’éducation 11
Figure 4 : Principales applications utiliser à l’école 12
Figure 5 : Activités réalisés en classe 12
C. Les télécommunications 13
Figure 6 : L’industrie des services de communication 14
D. Les réseaux sociaux : 15
Figure 7 : Les réseaux sociaux les plus populaires au monde 17
E. Les jeux vidéo 18
Figure 8 : Jeux vidéo – Le marché mondial 19
4. Le gouvernement : 20
Figure 9 : Qui dirige internet 22
5. Conclusion : 23
6. Bibliographie 25
Introduction :
La notion de nouvelle économie est plus une expression diffusée et popularisée par les médias qu’un concept scientifique défini par les économistes. Apparue dans la deuxième moitié des années quatre-vingt-dix, la nouvelle économie a été, le plus souvent, associée au développement d’internet et à la mondialisation de l’économie. La nouvelle économie peut être une rupture et une menace, mais elle peut être aussi une continuité et une opportunité. Cela dépend principalement de l’état dont le rôle est d’accompagner le changement.
La mondialisation et la croissance de l’économie axée sur les connaissances constituent sans doute les deux principales forces à l’œuvre dans l’économie de nos jours. Elles engendrent des changements dans l’économie et dans la nature même du travail que nous ne comprenons pas encore à fond. Bien que les effets de ces changements soient profonds dans l’ensemble de l’économie, il est particulièrement urgent de comprendre dans quelle mesure cela touche le secteur des services.
Le secteur des services englobe un large éventail assez varié d’activités d’ordre économique, notamment les services bancaires, l’éducation, les loisirs, la santé pour ne nommer que ceux-là. Toute analyse des effets de la mondialisation et des nouvelles technologies de l’information sur l’économie doit, par conséquent, comprendre sans contredit le secteur des services.
Par conséquent, on a besoin de la recherche mettant l’accent sur le secteur des services, en partie à cause de l’importance centrale qu’il revêt pour l’économie, du programme politique internationales et des lacunes dans nos connaissances du secteur attribuables, en partie, à des données insuffisantes.
Le développement du capital-risque et des stock-options devraient permettre d’endiguer la fuite des talents tout en favorisant le dynamisme économique et l’innovation. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise technologie. Mais il y a des usages qui se discutent, se débattent et s’approprient pour faire évoluer la société. La technologie de l’information et de la communication (TIC), est une expression, principalement utilisée dans le monde universitaire, pour désigner le domaine de la télématique, c’est-à-dire les techniques de l’informatique, de l’audiovisuel, des multimédias, d’Internet et des télécommunications que permettent aux utilisateurs de communiquer, d’accéder aux sources d’information, de stocker, de manipuler, de produire et de transmettre l’information sous toutes les formes : texte, musique, son, image, vidéo et interface graphique interactive (IHM). Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ouvrent des problématiques résultant de l’intégration de ces techniques au sein des systèmes institutionnels, recouvrant notamment les produits, les pratiques et les procédés potentiellement générés par cette intégration. Y a-t-il encore un sens de parler de nouvelle économie et non d’usages?
Changements au niveau de la structure industrielle
Selon la croyance populaire générale, l’économie est en train de subir des changements fondamentaux à cause de la mondialisation, des nouvelles technologies et un recentrage vers des activités aux connaissances plus intenses, d’où le terme « nouvelle économie ». Cette croyance est-elle fondée, et quel est le rôle des services dans cette transformation?
Figure 1 : Les principaux changements entre l’ancienne et la nouvelle économie.
Ancienne économie | Nouvelle économie | |
Caractéristiques économiques : | ||
Marchés | Stables | dynamiques |
Compétition | National | Global et local |
Organisation | Hiérarchisé, bureaucratique | En réseau |
Industrie : | ||
Organisation de la production | Production de masse | Production flexible |
Facteurs de production | Capital/Travail | Innovation/Connaissance |
Facteurs de compétitivité | Mécanisation | Numérisation |
Sources d’avantages comparatifs | Baisse des coûts et économies d’échelle | Innovation, Qualité, Coût |
Relations entre entreprises | Solitaire | Alliances et collaboration |
Masse salariale : | ||
Buts politiques | Plein-emploi | Adaptatifs et plus hauts revenus |
Compétences | Compétences spécifiques | Compétences variées et transdisciplinaires |
Éducation requise | Une compétence ou un diplôme | Un apprentissage à vie |
Management du personnel | Adversité | Collaboration |
Nature de l’emploi | Stable | Risque et opportunité |
Gouvernement : | ||
Relations aux affaires | Régulariser | Encourager la croissance |
Régulation | Commande et contrôle | Outils de mesure du marché, flexibilité |
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