Territoire

un dedans (seigneur ou roi qui dirige)

Image : Place du marché (où il y avait des marches)

Image : Plan de la ville de Liège 1740.

-Place saint (pas très exact) continuation de la place Saint Jacques.

Image : carré

-taille de la maille, reste ka même, même si elle a changé.

-Etroitesse

Image Cubar :

-processus du changement de gabaris.

Image en 1827, étude géographique.

Système déséquilibré.

Image : quartier du longdoz. 19Ème siècle (milieu)

-période médiévale finie.

-exode rural ! (quitte la campagne)

-tissu urbain : mixité d'industries sociale.

-élément centrale (ancienne gare terminale)

-Bâtiment industriel proche de l'eau.

Terminal = On rentre et on sort par le même côté.

Hausmann

7/02/2012

La ville est un organe vivant qui évolue au cours du temps et qui est marqué par les différentes époques, et elle évolue à travers le temps.

Progressivement elle incorpore des éléments pour tenter à chaque fois de se remettre en équilibre.

C'est un système pour mettre en avant son caractère d'indépendance.

La ville c'est constituée au cours du temps, et c'est marquée par des strates qui existent encore aujourd'hui. Des ensembles se mettent ensembles, se structurent, et se consolident, par stratification.

I existe toute une série des structure ordonnatrices, qui permettent aujourd'hui de pratiquer le territoire.

Boulevard de la constitution, tissus du 19ème, toute cette période ainsi que le période sont constituées sur des éléments fondamentaux de la ville, notamment la rue, et une typologie de bâtiment et d'habitation.

Quand on parle d'espace publique ou d'espace de rue, on parle d'espace à trois dimensions.

Ce qui fait qu'on se sent dans la rue, et qu'on dit qu'on est en rue, du corps à l'espace, est un espace vue du dedans, un espace 3D morphologique, mais aussi parce que c'est un espace social, c'est le lieu par excellence de rencontre, de cohésion sociale.

Sans la rue, pas d'échange.

Quand on dessine une rue, on la représente longitudinalement, alors qu'il ne faut pas oublier, c'est que la rue est aussi un espace transversal. Elle ne se contente pas de lier un point à un autre, elle organise aussi une relation transversale.

Elle fait partie d'une structure urbaine.

Notion d'épaisseur : la rue existe parce que derrière il y a un tissus.

Les commerces fonctionnent dans une relation d'échange à la rue transversale.

La rue n'est pas qu'un espace de passe, mais aussi un espace où l'on se tient, où l'on se rencontre.

On oublie souvent cette dimension de cet espace où l'on doit se tenir, se rencontrer.

De plus en plus ces espaces publiques ne sont plus faits pour se tenir.

Rue : TRANSVERSALE/ SOCIALE /LIEU OU L ON SE TIENT

Rapport avec Hausmann qui cherche à évaluer la puissance des tracés. Prof ne veut pas revenir la dessus.

On attire l'attention sur les formes de construction (prof s'appuye sur une photo), forme presque parfaite imposée par la forme de la meuse.

Dessin urbain qui a le soucis de se ré articuler avec le tissus ancien qu'il va mettre en évidence.

Carte figurative qui essaye de montrer les différentes phases de construction de la ville. => La première ville médiévale. Si on compare le carré à la partie du marché, on est pas dans la même période.

Ensuite cette ville jaune claire, c'est la partie industrielle de la ville. (exode rural et concentration des populations). Au cours du temps, transformation de la Meuse. Les autres voies d'eau posaient des problèmes d'inondation, nécéssité d'assèchement.

Les bâtiments gardent des traces.

Boulevard de la sauvenière voie d'eau rebouchée.

Début 20ème.

L'îlot=> typologie d'habitat à Liege.

Toute une autre série d'occupation qui ont participé à la réalisation du tissus urbain début 20ème.

Grandes opérations dûes aux expos universelles.

Période avant guerre, même entre deux guerre.

Partie des logements sociaux qui sont entre deux guerres. Période de consolidation du tissus existant.

Après guerre, période des thèses modernistes. Exemple ici de Droixhe, construit dans les années 50, les autres immeubles ont été construits par après et beaucoup plus grand.

Thèse moderniste : construire ville nouvelle qui correspond aux besoins nouveaux et renoncement au passé.

Première opération consistait à tout mettre à plat, rayer de la carte beaucoup d'éléments.

Plus de théorie de consolidation du tissus existant.

Question maintenant, c'est comment malgré ça, recréer une ville ?

=> Relire la ville en continuité et gérer les articulations.

Soucis de redessin et de réorganisation des structures.

Schéma, Liege. Quand on parlait de ville, diagrammes en fromage années 60.

Année 60 expansion de l'automobile, et arrivée liberté de chacun d'aller où il veut et de s'installer où il veut. Principe du rêve américain. Tout le monde libre de circuler, et tout le monde a accès à toutes les technologies, la ville devient économique avant tout.

Ville composée de deux éléments fondamentaux : -en gris les réseaux, le plus dense possible. Réseau le plus dense du monde en Belgique.

Politique très forte. Basé sur perfomances économiques basées sur industries et commerces. Rue Grétry. On estime qu'il fera mieux vivre en ville.

Échangeurs.

Les ronds représentent les nouveaux grands centres de magasins, de commerces.

Tous ces lieux vont se retrouver en concurrence sur l'ensemble du territoire, et chacun essaye de capter un maximum de clientèle. Principaux commerces dans le centre urbain à ce moment là.

Autoroute permet d'accéder plus rapidement le centre, mais a permet aussi plus facilement aux gens de sortir de la ville. Donc liberté d'habiter où l'on veut et d'aller où l'on veut. Et c'est la que la ville va commencer à se disperser, à se parsemer, tout en se connectant sur le réseau.

Carte organisation du territoire métropolitain.

Carte : l'affection du sol dans la métropole.

En rose l'urbanisation. La ville qui était avant dans le centre, se développe partout, s'éparpille, se parsème, se diffuse.

Phénomène d'éclatement lié au réseau, différent de la cohésion du tissus médiéval.

Photo Liège, non pas dans la situation actuelle, mais avant. Montre le conséquences à l'époque de la construction de ce réseau d'autoroutes, infra structurel.

On a construit l'autoroute là où elle pouvait fonctionner le mieux.

Construction d'une infrastructure qui peut faire fonctionner le tout le plus rapidement possible.

Autoroute pas de sortie à gauche, car on coupe la circulation, que des sorties à droites. Tout fait de sorte à perdre le moins de temps possible. On fait donc deux bandes dans un même sens.

On a 8 bandes de circulation par exemple sur le dessus de Liège.

On a démolit pleins d'habitations avec des commerces pour créer les autoroutes.

Avec les démolitions, on se retrouve face à des ilôts. Il n'y a plus de maisons à l'angle. Les ilôts perdent leurs coins.

Aujourd'hui on a des espaces mono fonctionnels.

On coupe la ville en différents