Mai 1968 : « Soyez réalistes, demandez l’impossible »
Discours : Mai 1968 : « Soyez réalistes, demandez l’impossible ». Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Nathan234567890 • 9 Octobre 2023 • Discours • 1 338 Mots (6 Pages) • 192 Vues
Mai 1968 : « Soyez réalistes, demandez l’impossible »
1968 : une année de révolte, révolte a travers le monde entier, révolte généraliser qui s’inscrit sur l’émergence d’une nouvelle jeunesse avec des mots d’ordre, des luttes sociales et politiques.
Mai 1968 Français et ses spécificités : « changer la vie » d’Arthur Rambaud repris par le parti socialiste en 1971. Ce mois a un pouvoir de déflagration aux conséquences importantes. Cette ampleur des bouleversements, en 1968 des mouvements politiques, culturels vont converger.
- Un mouvement étudiant
- Jeune et jeunesse française en 1968 :
Le baby boum qui suit la 2ème guerre mondiale, il y a un accroissement de la natalité. En 1941 500 000milles naissance par an et en 900 000 en 1949. La jeunesse inquiète et fait peur, on voit apparaitre au début des année 60 les blousons noirs « les racailles ». Pendant la Seconde Guerre Mondial les jeunes non plus leur père, alors suite a la guerre il y a une peur d’une jeunesse non contrôler, violant, car n’ayant pas vécu l’autorité. Une peur sociale de la jeunesse culmine avec le 22 juin 1963 place de la nation à Paris avec un concert. Ce concert commémore le succès immense d’une émission de radio qui a fait émerger le rock « Salut les copains ». L’affluence déborde totalement l’organisation indique que 150milles jeunes sont présent. Ce concert dégénère avec des destructions. Mais ce rassemblement de la jeunesse inquiète la société de l’époque, cette jeunesse semble obéir a des codes qui lui sont propre, idée que l’appartenance de groupe se face sur un critère d’âge car nous sommes dans une société plus riche ou l’on rentre plus tard dans la vie travail, la jeunesse est une nouvelle réalité dans les années 50/60 avec l’allongement de la scolarité et des pratiques culturelles qui lui sont propre. L’apparition d’une classe d’âge.
On assiste à une transformation très profonde du corps et de la sexualité, transformation des codes sociaux. Ouverture en 1961 des premiers centres familiaux qui informe sur la contraception, on dissocie plus une sexualité sans reproduction a cette période. Cette culture jeunes s’opère autour d’idée diffuser par la radio. Poste de radio et tourne disque, constitue une culture autonome car mtn ils sont plus individuels, ils écoutent sans la présence de leurs parents. Dans ce contexte de libération des codes traditionnelles de la société qui vote majoritairement à droite en 1967 va se déporter à gauche, la loi de Neuwirth qui légalise la contraception.
- C’est dans ce contexte qu’émerge la situation de Mai 68. Dans l’Université de Nanterre, à coter d’un bidon ville ou habite majoritairement des immigrés venus d’Algérie. Les étudiants aux portes du bidon ville vont se mobiliser. Vie étudiante 1958 et 1968 de 200 000 à 500 000, ils sont nombreux, trop nombreux. Les infrastructures ne suivent pas, la pédagogie est totalement dépassée. Cette explosion de la population étudiante pousse l’ouverture de nouvelle antenne universitaire. Ce met en place une politisation étudiante, Nanterre devient alors un foyer de politisation intense, cela se voit sur la mobilisation contre la guerre du Vietnam avec des manifestations. Cette revendication porter par quelques dizaines d’étudiants se manifeste par l’occupation de la tour administrative de Nanterre 22 mars. L’université ferme le temps que les tensions baissent. Ce qui se passe c’est que la manifestation se déportes vers Paris, le 3 Mais occupation de la Sorbonne en pleins milieu de Paris, les autorités font évacuer la Sorbonne, alors que la police n’a pas de juridiction sur un cité universitaire. Cette évacuation va accroitre la radicalité du mouvement et va pousser à son extension
- Les étudiants occupent la rue : du 3 au 4 Mai affrontement urbain entre police et étudiants. 600 blesser et des arrestations qui vont initier un cycle de répression policière qui va étendre la rage des étudiants. Du 10 au 11 mai la nuit des barricades réactive un imaginaire révolutionnaire. Cette manifestation est une nuit très violente, une médiatisation extrême s’opère à ce moment-là, les reportaires radio sont au coter des étudiants et des policiers qui font vivre directement à toute la France les évènements. Dramatisation forte de cet évènement, un bilan matériel très lourd avec 400 blesser, pas de mort, brutalité de la répression choque la population. Ce qui choque c’est qu’on s’attache à la jeunesse étudiante a une période ou les bourgeois sont tous a l’université. Cette nuit des barricades s’opère avec un flottement du pouvoir, le 1er ministre est absent en Iran.
- Une crise sociale
- Grèves et occupations c
Continuation de la mobilisation étudiante, qui s’accompagne des syndicats qui décident d’une grève générale le 13 Mai : « 10ans ça suffit ». On joue sur l’usure du pouvoir. Cette journée du 13 Mai se déroule partout en France, Nîmes ou 20 000 personnes manifestent. La surprise vient du fait que la grève continue du 14-20 mai. Dans des usines d’aviation des bureaux de poste, dans le secteur automobile. Extension du mouvement : mobilisation de catégorie de travailleur qui traditionnellement sont moins mobiliser (secteur féminisé), convergence de lutte spectaculaire avec la CGT la SFDT, la Fédération des agriculteurs, les étudiants, du parti communiste a l’église de France, ect. Une nouvelle manière de vivre ensemble, en entreprise est demandé, d’autre forme de participation a la vie en entreprise. Ce mouvement social dense (10 a 7 millions de gréviste). Le pays entre en arrêt, situation du blocage très net.
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