Eugène Ionesco

ard « Des histoire, des histoire à dormir debout.»P62 L29-30 Ce dernier ne veut dont croire à la réalité du changement. Mais pourtant lui aussi fini par opte pour ce changement malgré ses préjugés, montrant ainsi que même les plus forts intelligemment peuvent être bernés par les beau discours de la dictature. Dans le cas de Monsieur Bœuf suivit par ca femme, «Mon pauvre chéri, je ne peux pas le laisser comme cela, mon pauvre chéri. (On entend barrir.) Il m’appelle. (Tendrement ) Il m’appelle.»P81 L7-10 dit-elle pour se justifier de façon sentimentale et tolérante pour faire comprendre aux lecteurs que l’on ne nie pas la montée des extrêmes mais certaines circonstances poussent à suivre la troupe ou le troupeau.

Ensuit, Ionesco dénonce au dernier acte le pourvoir que peut avoir un monstre sur toute une civilisation. Toute la ville se transforme en rhinocéros car c’est une fable dont le commentaire reste ouvert. Cette dénonciation du régime totalitaire et celle du comportement de la foule sans aucune résistance. Tout le monde devient rhinocéros même dudard et Daisy« Il montre de nouveau le poing en direction du rhinocéros à canotier qui a disparu : je ne vous suivrai pas !»P133 L9-11 ce passage montre à quel point il déteste le changement et les gens qui les suivent sans riposter à la mutation. Béreger est le seul à réagir humainement et à ne pas trouver cela normal comme Ionesco qui lui aussi ce voit comme le dernier homme dans cette île monstrueuse et de la, il se révolte contre la rhinocérite. « Ce n’est tout de même pas si vilain que ça un homme. Et pourtant je ne suis pas parmi les plus beaux !» P159 L15-17 ce paragraphe illustre le faite qu’il se sent seul et incompris par les autres. D’autre part le faite d’être anormal, un monstre aux yeux des autres le force à vouloir interagir autrement «Trop tard maintenant ! Hélas, je suis un monstre, je suis un monstre. Hélas, jamais je ne deviendrai rhinocéros, jamais.»P162 L6-8 la culpabilité le ronge parce qu’il n’a pas suivi les règles qui ont été demandées par le régime totalitaire.

En conclusion, Ionesco veut mettre en cause la pertinence du libéralisme politique. En effet, il veut faire comprendre aux lecteurs que le changement ne fait pas la personnalité d’un homme, ni sa façon de réfléchir, mais de lui donner la possibilité de pourvoir s’intégrer dans la société, et non de le voir comme un monstre, comme une personne à part ou une anomalie qui ne veut pas suivre une majorité de libéraux qui ont charge sans qu’on demande leur opinion de tel sorte que ça soit volontaire la transition.

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