La production aéronautique
Étude de cas : La production aéronautique. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar marie_mela • 6 Juin 2022 • Étude de cas • 382 Mots (2 Pages) • 404 Vues
Etude de cas : L’aéronautique et l’aérospatiale en Europe, une production en réseau
Comment expliquer la réussite internationale de la production aéronautique et spatiale européenne ?
Question 1 :
L’industrie européenne de l’aviation commerciale, jusqu’aux années 1960, est constituée par des industriels de petite taille qui ne peut faire face aux géant américain : Boeing. Effectivement, les États-Unis dominent le marché de l’aviation des années 1960, avec des appareils comme les Boeing. L’Europe est alors loin derrière.
A partir de ce moment là, certains gouvernements européens vont décider d’accélérer le développement de leurs entreprises aéronautiques et de coopérer entre eux. C’est en 1969, au salon du Bourget, qu’a été signé un accord intergouvernemental entre Français et Allemands pour espérer dominer ce marché de l’aéronautique. C’est alors que le groupe Airbus né et rapidement parvenir à dépasser son concurrent américain
Question 2 :
Grâce au document 4, nous pouvons affirmer que les principaux concurrents de l’Europe sont les Etats-Unis, la Russie, la Chine et le Japon. De plus, les européens se placent en deuxième position dans le classement des chiffres d’affaires réalisés par les industries aéronautiques et aérospatiales alors que les E.-U. Se trouvent en première place et la Russie juste derrière l’Europe. L’Europe se situe donc en concurrence forte avec eux car à tout moment les autres pays tel que la Chine ou le Japon peuvent la dépasser en terme de chiffres d’affaires par exemple. Néanmoins, l’Europe peut choisir aussi de nouer des alliances au lieu de rivaliser avec tous.
Question 3 :
Le nombre considérable d’acteurs différents dans ce secteur ainsi que les espaces de production implantés dans de nombreux pays dans le monde entier et le coût astronomique des appareils, rendent le secteur de l’aéronautique assez complexe. En effet, comme le montre parfaitement le schéma du document 2, les acteurs de ce secteur sont variés et multiples. En passant par les organismes de R&D ou bien les entreprises sous-traitantes jusqu’aux agences chargées de la commercialisation, on remarque assurément la complexité de ce secteur. En outre, les tâches sont de plus en plus dispersés dans le monde : les espaces productifs s’étalent et rendent la gestion de l’entreprise plus difficile. Enfin, le coût des projets, qui s’élève par exemple à 5 milliards d’euros pour le système Galileo, rend compte des dépenses exorbitantes de ce secteur et du besoin d’investissements pour les financer.
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