Les Crises Se Suivent Et Ne Se Ressemblent Pas

isation des clauses d’indexation, partage du revenu : poursuite d’un certain dynamisme de consommation mais décélération de l’investissement.

Chute boursière de 1987 dont l’ampleur rappelle celle de 1929 : inquiétude : si les mêmes causes devaient produire les mêmes effets, il faudrait attendre l’entrée dans la dépression.

Mais c’était oublier : « chaque économie a les cause de sa structure. » Compte tenu de l’ampleur des réformes intervenues par rapport aux années 30 : la croissance va s’accélérer jusqu’au début des années 90.

Alan Greenspan à la tête de la FED se souvient des conséquences dramatiques de la rupture de l’accès à la liquidité : en 1987 ; la FED alimente et de l’autre tous les stabilisateurs associés au budget, à la couverture sociale ou à la rigidité des salaires jouent : on a tiré les leçons.

Voilà pourquoi les crises boursières ne sont plus les mêmes : transformation du mode de régulation.

Le temps des crises :

Le grand paradoxe des années 90 : alors que les économies sont de plus en plus interdépendantes à travers le commerce, l’investissement direct et la finance, se succèdent des crises radicalement différentes.

La décennie semble s’ouvrir sous les meilleurs augures : fin de l’histoire, de l’Union soviétique.

Décade perdue : succession de plans de relance : décomposition de l’architecture institutionnelle qui avait permis l’extraordinaire rattrapage par le Japon des niveaux de vie et de productivité américains, tout au moins dans les secteurs clés de son économie. Après la japonisation du monde, « décade perdue »

Les dragons du Sud Est asiatique qui devaient succéder à l’économie nippone pour tirer la croissance monidale : bulle spéculative