L'humanisme et les lumières

Introduction

Entre L’humanisme et les lumières, la litt. D’idée du grand siècle s’est centrée sur le pouvoir absolutiste du louis XIV et sa pratique de cour. Les moralistes, les précieux, les fabulistes et les conteurs usent tous de l’arg. Indic souvent sous des formes brèves qui convoque fiction et morale. C’est le cas de jean de la fontaine célèbre auteurs classique du 17 siècle, issu d’une famille bourgeoise née à châteaux Thierry dont le père était maitre des eaux et des foret , il s’inspire donc beaucoup de la nature , mais aussi des auteurs grecs comme Esope et latin comme Phèdre pour écrire ses œuvres . Ce n’est qu’à partir des années 1660 que la fontaine acquiert une renomme litt. Avec sa poésie Adonis, ses contes et nouvelles en vers et surtout ses fables une de ses œuvre majeurs, publié en 1664 qui comporte 243 fables, parmi elles « le chat, la belette et le petit lapin seizième du livre 7, ce sont un lapin et une belette qui s’affronte avant d’avoir recoure a un chat

Lecture du texte

Nous verrons en quoi ce texte est un apologue

Largt est en 4 mvmnt l’usurpation, l’argu, l’arbitrage et la moralité

1e mV

Qui s'étale de la l1 a 10 ou la F par de l’usurpation , n remarque que le logis du lapin est présenté par différents termes qui dépaysent le lecteur c’est totalement l’univers du conte, de plus on remarque la personnification Dame belette v2 qui est un mélange entre humain et animal , n remarque un chiasme au v 1 et 2 « un beau matin » qui marque le début du conte, on comprend aussi que la belette a attendu la sortie du lapin qui est un acte prémédité qui nous est confirme par la 2eme moitie du 3eme vers « c’est une rusée » . la belette apparait a 3 reprise dans les fables car c’est ‘l’un des personnage fort dans les fable , elle est rusée et sournoise mais cependant trop naïve pour tenir tète au chat , on dénote un rejet « s’empara » v3 qui crée un effet d’attente , d’accélération des deux premiers vers qui sont sans ponctuation . de plus au 6 « il était allé faire a l’aurore sa cour « une allusion aux courtisans , qui assistent au lever du roi et qui ont déjà bien faire de bon matin , « âpres qu’il eu brouté trotté , fait tout ses tour « on remarque ici une moquerie d e la fontaine , on ré marque aussi une allitération en T qui insiste sur le caractère affaire et tontinant du lapin. Le début de la fable présente le cadre spatiaux temporel et campe deux des protagonistes de manière image « la belette avait mit son nez a la fenêtre » c’est totalement amusant parce que c’est une attitude typiquement humaine, renforce par le fait que la belette a le « nez point »