Considération sur le suicide

Oral de français

1) Considération sur le suicide

• a)  La Peau de Chagrin est une œuvre écrite en 1831 par Honoré de Balzac qui raconte l’histoire d’un homme, qui, au bord du désespoir, découvre un merveilleux objet. Cet objet est appelé peau de chagrin et permet de réaliser tous ses vœux à une condition : sa vie rétrécie dès que son possesseur effectue un vœu.
  Cet extrait narratif est situé au début de l’œuvre et raconte comment Raphaël de Valentin est arrivé à vouloir se suicider. L’auteur profite également de cet extrait pour donner son point de vu sur le suicide.
  
• b)  Il y a deux grandes parties dans cet extrait :
  1. l.1 à 25, où l'auteur nous livre une réflexion philosophique puis littéraire
  - l.1 à 16, ses considérations sur le suicide sont morales et sociales
  - l.16 à 25, à propos de deux citations, il est question de qualité littéraire et artistique,
  2. l.26 à 35, où l'auteur redevient narrateur et reprend le fil de son récit en désignant son personnage par «L'inconnu...»
  

c)

Réflexion de l’auteur sur le suicide

Pour commencer, nous apercevons clairement deux parties dans cet extrait. La première se situe de la ligne 1 à la ligne 25 et la deuxième de la ligne 26 à la fin.

Dans la première partie, l’auteur nous raconte son point de vu philosophique et morale sur l’idée du suicide. Ligne 1, il explique qu’il n’y a rien de plus horrible et atroce que le suicide, qu’une personne à voulu consciencieusement mettre fin à ses jours, mettre un terme à la chose la plus merveilleuse qu’il existe sur terre. De plus il raconte que souvent les victimes du suicide sont des « jeunes talents », des personnes plein d’avenir mais que le désespoir l’emporte sur eux (l7-8). L’écrivain nous montre aussi comment les sentiment et le désespoir du suicide ne peut être apaisé à cause de l’ampleur des évènements (l 6-7)

Il y a également dans la première partie de cet extrait, question de qualité littéraire avec d’abord une citation : « Hier, à quatre heures, une jeune femme s'est jetée dans la Seine du haut du Pont-des-Arts. ». Cette citation tiré d’un « vieux frontispice » enrichi le texte en exposant cette réalité ce qui prouve que le suicide, malheureusement, existe vraiment. L’auteur nous montre que le suicide est aussi souvent raconté dans les livres tragiques et mélancolique : « chaque suicide est un poème sublime de mélancolie » l 16. De nombreux auteurs se sont intéressés au sujet pour leurs livres ou poèmes car c’est la chose la plus tragique qui puisse exister. Nous