Anthologie sur le thème du voyage

Dans cette anthologie, j’ai décidé de choisir le thème du voyage à travers sept poèmes, que je classifierai d’Idéal, de Baudelaire que l’on retrouve dans le recueil « Les Fleurs du mal » dans la section « Spleen et Idéal » paru en 1857. Cette anthologie propose plusieurs poèmes qui parle de voyage. L’ailleurs, l’éloignement du pays natal, la recherche d’aventure ont toujours été un sujet apprécié par Baudelaire en passant par le voyage du monde jusqu’au voyage spirituel. A une certaine époque, le voyage fut considéré comme une marque de pauvreté. Il évoquait les bohémiens et leur vie de nomade. La mer donne quant à elle un sentiment de liberté par son étendu. Baudelaire donne une voix à tous ces voyageurs et nous faire part de leur vision de liberté, d’évasion spirituelle et d’escapade physique.

Pour moi, le voyage permet de découvrir d’autres terres lointaines, d’autres cultures. Le voyage n’ai pas forcement qu’un déplacement physique, il peut être aussi abstrait grâce aux rêves, la musique ou même encore l’art. La poésie peut aussi se présenter sous forme sentimentale, mélancolique mais aussi sans retour avec la mort.

Mon anthologie que je vous présente ici a pour but de faire voyager le lecteur à travers le monde et que celui-ci se forge une opinion sur le voyage, mais avant tout elle doit apporter un voyage intérieur au lecteur.

Premièrement, « Elévation » est le troisième poème du recueil, c’est un poème composé de cinq quatrains, d'alexandrins. Ce poème a pour thème l’évasion, la nature.

Ensuite, « Bohémiens en Voyage » est le treizième poème du recueil, qui lui est composé de deux quatrains, toujours en alexandrins. Quant à ce poème, il ait principalement basé sur le thème du voyage.

Dans « Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne », on peut retrouver un seul quatrain et c’est le vingt-deuxième poème du recueil. Ce poème a pour thème la mer et la beauté.

« Le Serpent qui danse » a pour thème le voyage d’une femme, la danse. On peut retrouver ce poème à la vingt-sixième place du recueil.

« L’invitation au voyage » fut inspirée par Marie Daubrun : l’amour ici est spirituel et non sensuel comme on pourrait le croire. Il ne s’agit pas d’un voyage mais d’une promesse de voyage épanouissant le rêve. Ce poème est le quarante-neuvième du recueil.

Et enfin le poème « Moesta et errabunda » est le cinquante-cinquième poème du recueil. Ce titre signifie « Triste et Vagabonde » et il a pour thème la découverte, le plaisir et la mer.

Pour conclure, chers lecteurs, lisez ce recueil avec beaucoup d’attention, pour vous donner un nouveau regard sur ce sentiment qu’ait la poésie de Baudelaire et la découverte de nouvelles contrées par ces