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Dom Juan ou le festin de Pierre, Molière

Cours : Dom Juan ou le festin de Pierre, Molière. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  6 Mai 2021  •  Cours  •  719 Mots (3 Pages)  •  511 Vues

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Séquence 3 : Dom Juan ou le festin de Pierre Molière

Séance 1 : la scène d’expositions (I,1) comparaison film/pièce 

Film de Marcel Bluval

(1965)

Pièce de Daniel Mesgich (2003)

Costumes

Long manteau

Tenue d’équitation

Valet bien vêtu

Moderne (ne corresponds pas à l’époque de Molière)

Ridicule

Musique

Requiem (Mozart)

Funèbre, tragique

Solennelle

Grotesque

Festive

Cabaret ou cirque (clown)

Jeu des personnages

Très réaliste

Sobre

Sérieux

Clownesque

Langage intelligible

Double entente  

Couleurs, objet….

Œil de dieu qui observe et juge, triangle de la trinité Pièce grande 19eme siècle  

Fond sobre

Femme nue (statut)

Lit et le phonographe

Comique ? Tragédie ?

Tragedie

Comique

Rappel : il existe différant type de comique :

        -geste

        -parole

        -caractère

        -situation

                        

Points principaux à retenir sur l’acte I, scène 1

Du point de vue de l’intérêt dramatique (l’intrigue)

  • C’est une manière de présenter le personnage principal avant son apparition sur scène et de permettre au spectateur de s’en faire une idée.
  • On y apprend les éléments traditionnels d’une scène d’exposition : relation passée entre Dom Juan et Elvire, départ de Dom Juan, Elvire détourné du couvent.
  • On découvre le nœud de l’intrigue : pourquoi Dom Juan a-t-il fui Elvire alors qu’il s’apprêtait à se marier avec ?

Le portrait de Dom Juan d’après Sganarelle :

  • Portrait péjoratif qui commence par le « pèlerin », utilisation péjorative de terme pour indiquer les errances de Dom Juan.
  • Longue énumération de terme de valeur d’hyperbole avec trois champs lexicaux :
  • L’animalité « tête brute », « enragé », « pourceau », « chien ».
  • L’irréligion « hérétique », « qui ne croit ni Ciel ni Enfer ni loup garou », « diable ».
  • La débauche « sgarnapalle », « scélérat », « Epicure ».

         Il mène une vie contraire au morale, aux ormes, il est athée, et sans conscience.[pic 1]

  • Le sens du mariage : pour lui le mariage n’est pas un lien sacré mais une prison dont il faut se libérer. Il se marie souvent : sacrilège (car un sacrement ne peut être rompu à l’époque).
  • Il se montre peu difficile dans le choix de ses conquête : toute les classes sociale lui conviennent, « rien de trop chaud ni trop froid pour lui » : il ne respecte pas le code l’honneur lié a la noblesse. (épouser une femme de la même classe sociale= la déchéance, déchoir)
  • Un libertin d’esprit : « il traite de billevesées (=bêtises) tout ce que nous croyons » : il transgresse les dogmes, provoque le divin et la société.

Le portrait de Sganarelle

  • En parlent de son maitre, Sganarelle se dévoile :
  • Style pompeux : « inter nos », emploie le latin qu’il ne connait probablement, cite des références très connus (Epicure, Sardanapale),

Son énumération est désordonnée, incohérente. Tournures parfois familières : « ce serait un chapitre à durer jusqu’au soir ».

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