L'affrique en attente

rté d’expression). Ceci ne permettant pas de confiance extérieure, d’investissements.

Chapitre V :

Plus de diplômés avec une médiocrité des salaires, statuts… Les étudiants africain sont uns des plus mobiles dans le monde et ne reviennent pas. Ils ne le souhaitent pas mais n’y sont pas invités, car leurs savoirs fait peur. C’est elle, pourtant cette nouvelle élite qui permet une renaissance au pays.

Chapitre VI :

L’intervention humanitaire nécessite une grande confidentialité des événements. L’humanitaire de neutralité apparaît en 1967 après la guerre du Biafra. Le droit d’ingérence reste une grande question d’actualité.

Les africain resterons t-ils des eternels assistés ?

L’humanitaire contribue aussi contre une lutte de chômage dans nos pays. Il manque de prévention, c’est les grand feu qui sont éteints c’est tout !

L’Afrique n’a pas besoin d’être aidée ou assistée, elle a besoin d’être considérée.

Chapitre VII :

Comme solution, il faut parler de géopolitique : partenariats stratégiques. Ainsi les échanges seront gagnants/gagnants. Il faut aller du unilatéral au multilatéral et devenir la dépendance de certains pays comme l’Amérique. Car les territoires disposent d’une grande richesse.

L’Afrique est l’avenir du monde !

La politique économique est défini de l’extérieur pour l’extérieur ce qui doit changer.

Chapitre VIII :

Mondialisation est un marché mondial unique sans tenir compte des développements culturels. Ces thermes est mal défini car il exclut l’Afrique noir. Dans le G8 : France vit au dessus de ses talents. Les média généralisent un mal vivre profond, l’économie africaine n’est pas désastreuse juste différente de l’actuelle moderne.

Chapitre IX :

Il existe une dynamique évolutive des sociétés. Nécessaire de remettre en cause les critères de divisions, le sous développement cache l’exploitation des noirs. Le non profit est synonyme de bien être du peuple.

Chapitre X :

Retard technologique mais ont des sources qui peuvent être exploitées. Peut devenir le premier fournisseur d’énergie (hydraulique, solaire…). Le réel besoin n’est pas de l’informatique mais de la prévention, nutrition aller vers du développement durable. Il fau aussi attirer les étudiants grave à des stratégies prometteuses.