Le Monde
Dissertation : Le Monde. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresme, Dieu et le Monde. Ce sont des notions qui sont dans notre esprit et qui ne correspondent à rien dans la réalité, elle transcendent la réalité elles sont métaphysiques. Ces 3 Idées correspondent à la métaphysique spéciale (différente de la métaphysique générale traitant de question générales et qui n’intéresse pas Kant).
*La critique de la raison pure est une tentative de réforme de la métaphysique. Il y a l'idée que la métaphysique doit être une science pure. Il s'agit pour Kant de faire de la philosophie une sciences à part entière. La philosophie veut être le savoir du savoir.
*Pas question de faire une science du monde (une cosmologie) puisque le monde est une idée métaphysique, une idée trompeuse, il nous est impossible de savoir si le monde a été créé ou non, c'est une antinomie.
*La dialectique c'est le discours de l'erreur, de l'illusion c'est ce que Kant appel « la logique du faux, ça a l'apparence d'une vérité philosophique mais ça n'en est pas une. C'est une illusion naturelle dont on ne peut pas se défaire. ON peut poser des limites au savoir de l'esprit humain pour le prévenir de cette illusion.
*vs Leibniz : à l'origine Kant est leibnizien. Pour Wolff le monde est œuvre de raison souveraine. Accord complet entre la raison et la foi. La raison est entièrement logique pour Wolff.
En essayant d'expliquer la nature selon des principes purement théoriques l est au fond wolfien. Considération du monde comme une idée métaphysique qui relève de la dialectique transcendantale/le phénomène de l'erreur. Cette dissociation faite par Kant restera longtemps après lui. Jusqu'à qu'Avenarius publie « critique de l'expérience pure » → remise en question de la distinction chose en soi et phénomène.
*Le monde est inconnaissable et est envisagé comme un concept pur de la raison et ne sera jamais suceptible de connaissance. la connaissance se limite uniquement à l'expérience. Disqualification du concept de monde du point de vue de la connassance mais est restauré du point de vue régulateur (→ Est régulateur quelque chose qui ne détermine aucune connaissance possible mais qui peut réguler la connaissance). Le concept de Monde peut être une idée régulatrice de al connaissance de la Nature.
*question de l'unité du monde : Kant développe l'approche de Wolff, qui prend ses distances avec Leibniz en refusant le principe d'unification des monades (entités séparées qui n'ont aucune relations directes entre elles) qui soit Dieu. La cosmologie de Wolff est non théologique. Le monde n'est pas une collections de substances le monde est une connexion.
*Pour qu'il y es un monde il faut substances + une force qui unifie ces substances entres elles (principe de liaison). Kant reprend la distinction de Wolff entre édifice du monde et plan du monde. Ce qui interesse Kant c'est ce principe d'unification, il s'intéresse à ce qui fait le monde. Les principes d'unification joignent réellement les substances entres elles mais ne sont pas visible à l'oeil nu. Kant reprend le principe de la gravitation universelle de Newton un principe qui attrait à la matière, alors que newton lui s'en était abstenu, il en avait uniquement fait un principe théorique car il posait pb pour la liberté des corps etc... Wolff va faire ce que Newton se refusait à faire, il concidére qu'il y a une action réel et mutuelle entre les corps dans le monde. Pour Wolff le monde c'est « une série de chose changeante qui sont en rapport de juxtaposition et de succession mais entièrement connectées entre elles » (chap 43 « du monde »). Wolff apparente le monde à un systéme d'horlogerie qui se remonte tout seul. « on appel monde la série des choses finies en connexion mutuelle », mais ça ne reste qu'une idée spéculative chez Wolff. Kant combine W et N pour faire un principe physique. Il fait de la gravitation, la force d'attraction entre les corps. un principe de constitution/formation du monde, de sorte que l'unité dui monde soit réel, causale, active dynamique et physique. N'est véritablement au monde que ce qui entretient entre différentes substances des liens dynamiques, pas d'existence isolée. Le monde est un liens dynamique entre toutes les choses.
« l'histoire de la nature » Kant texte pré-critique
→ 4 points : * Kant étend au monde entier le principe de la cravitation universelle, pas seulement à l'observable.
*Il attribue ce principe à la matière.
*Il explique la formation de l'univers par dispersion et rassemblement.
*Il met entre parenthèses toute intervention divine dans l'univers : thèse Athé.
→ L'espace c'est la relation entre les corps. Principe valable pour tout l'univers.
→ extrapole le principe de la gravitation universelle à tous l'espace et le temps.
→ Affinité entre les substances : actions à distance.
→ Les forces cachée de la nature ont homogénéisé le monde. « la force d’attraction originelle fait partie de l'essence de la matière. »
→ Part de l'hypothése d'un cahos originel, et de la création de ce cahos par l'attration elle-même : mise en action de la gravitation.
→ Dieu créé la matière, mais c'est la matière qui créait l'ordre.
*La dissertation de 1770 « De la différence du monde et du monde intelligible » :
à ce moment là on a encore de l'intelligible et du sensible dans la philosophie kantienne du monde. On a une expérience phénoménale du monde.
→ Approche spéculative du monde, qui mets fin a toute possibilité de liberté humaine.
→ va voir le monde sensible et le monde intelligible selon un principe de connexion interner qui leur est propre.
→ le monde tel qu'il est perçu, n'est jamais perçut d'emblée dans sa totalité, il se donne a nous petit à petit ce qui n'est pas le cas de l'intelligible qui lui se donne toujours d'emblée en totalité. Il n'y a pas d'expérience de la totalité. C'est le temps et l'espace qui rendent cette perception totale impossible, car je ne peux avoir d'intuition de la totalité du temps ni de la totalité de l'espace, à cause de leur caractère régressif progressif.
→ Phénomènologie = analyse de l'espace et du temps.
→ la distance/l'écart est le concept clef de l'espace.
→ « désaccord entre la représentation sensible du monde et la représentation théorique »:le monde que je perçoit n'est pas le monde que je conçois. On conçoit très facilement les principe de connexion mais on ne les perçoit jamais.
→ le concept de monde qu'on a ne peut pas être réalisé dans le monde sensible. On ne peut pas le réaliser dans la sensibilité.
→ 3 aspects du monde : *la matière : les substances qui forment les parties de ce monde. Pb des changements/transformation de la matière.
*La forme : C'est l'unité de la totalité. Coordination non pas un simple idéal. Le principe de connexion c'est la forme. Lien attestant de l'influence réciproque des substances entres elles et qui constituent la forme du monde. Elle est permanente et invariable.
*La totalité absolue : unification de toutes les parties en un tout. Réunion de la matière et de la chose. Pose le réel pb quand on le confronte à la réalité. Les conditions spaciales sensibles sont incompatibles avec la totalité. Les conditions de notre sensibilité nous poussent à l'achévement.
→ c'est cet impossibilité d'un tel tout dans la sensibilité qui pousse Kant a distinguer le sensible et l'intelligible. Les lois qui régissent le sensible ne sont pas les même que celle qui régissent l'intelligible.
→ La sphère sensible : n'a pas de totalité mais il y a quand même de l'odre donc ce n'est pas un cahos. Il y a une science du sensible. Le principe de connexion de tous les phénomènes sensibles est ce qu'il appel la causalité. A une certaine unité, mais plus de principe d'unité a priori. L'espace et le temps ne sont que des compositions du sensibles, il l'unifie mais n'en assure pas la conjonction réel entres les phénomènes. Les impressions sensibles sont isolées les unes des autres et ne forment une unité que parce qu'elles sont unifiée par l'espace et le temps. Le monde est désobjectivé, il n'y a pas de connexion réél dans le sensible de fait il n'y en a pas non plus dans l'intelligible. Le sensible forme un ensemble mais pas un tout. Au fond la sensibilité est passive, elle unifie mais ne connecte pas. L'espace et le temps sont des formes réceptives de la sensibilité.
→ L'intelligible : puisqu'il y a un intelligible c'est qu'il y a aussi un principe de connexion dans l'entendement qui lie toutes les idées. Kant cherche un lien de connexion entre les noumènes (ce qui
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