Le melon, St-Amant
Dissertation : Le melon, St-Amant. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Aadi • 24 Janvier 2021 • Dissertation • 353 Mots (2 Pages) • 1 018 Vues
DISSERTATION, LE MELON DE ST-AMANT
• INTRODUCTION :
Tout d’abord le melon est un poème écrit par St-Amant et publié en 1634. St-Amant est un poème du XVIIème siècle appartenant a la période Baroque. Il est auteur de poème grotesque, satirique, lyrique et a faits partit de l’académie Française qui elle, vu le jour en 1634. Le Melon est issu de la Suites de la première partie publié en 1634. Ce poème contient quarante-quatre vers. Dedans, on constate qu’un homme est a la cherche d’une odeur exquise et découvre que cette odeur est issue d’un melon. Le poète utilise du lyrisme, c’est un poème descriptif. On y découvre aussi trois mouvement : le 1er mouvement : une divagation éprouvante pour le poète, du premier vers au 19ème vers, le 2nd mouvement : la découverte du trésor, du 20ème vers au 32ème vers puis enfin le 3ème mouvement : une idolâtrie excessive, du 33ème vers au 44ème vers. Nous allons donc étudier ces mouvement avec minutie puis nous allons répondre à la question suivante : « Que procure le Melon chez St-Amant ? ».
I) Une divagation éprouvante pour le poète
Dans ce mouvement le poète est à la recherche de cette agréable odeur, il s’appuie sur l’odorat : « odeur », « doux parfum », « sens-je », tout cela dans le but d’aider le lecteur a mieux comprendre. On remarque aussi qu’il associe cette « odeur » à un sentiment, ici la joie : « Me vient le cerveau réjouir ». Le poète est en pleine quête, il cherche la source de cette odeur, il se pose lui-même des questions : « Ces belles fleurs […] Feraient-elles bien cet effets ? », A-t-on brûlé de la pastille ? », « N’est-ce point ce vin qui pétille […] Pour notre éternelle santé ? ». il est si dérouté qu’il en vient a se parler lui même, il parle plus précisément a sa raison : « Mon penser, que tu me propose. Qu’est ce donc ? ».
II) La découverte du trésor
On voit ici qu’à l’amont de se second mouvement, le poète a enfin trouvé ce qu’il cherchait, il a découvert le trésor : « Je l’ai découvert ».
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