« Le pouvoir des images contrarie-t-il la liberté de penser ? »

graphe : présentation de l’ID 1 et annonce des idées secondaires [IS]

La prééminence de l’image et la croissance de son pouvoir semblent représenter une réelle menace pour l’homme dans sa capacité à penser en toute liberté [ID 1], car elle est omniprésente [IS 11] tant ses moyens de diffusion sont nombreux [IS 12], mais ceux-ci n’offrent que peu de garanties [IS 13].

2ème paragraphe : idée secondaire 11

L’image est désormais omniprésente et elle recouvre l’ensemble des domaines propres à l’homme [présentation IS 11]. Elle concerne désormais des secteurs aussi intimes que la morale ou la religion, mais également des domaines vitaux tels que la politique ou l’économie [argumentation]. C’est ainsi que la publicité a envahi notre vie quotidienne [présentation de l’exemple choisi : la publicité]. Or celle-ci cherche souvent à provoquer pour marquer les esprits. En Occident, on voit donc fleurir des pin-up aux attitudes lascives[6] ou encore des mâles aux muscles avantageux [développement de l’exemple].

3ème paragraphe : idée secondaire 12

C’est la raison pour laquelle le pouvoir des images va grandissant, tant les moyens de diffusion sont nombreux et rapides [présentation IS 12]. En effet, la récente multiplication des vecteurs de ces images font que celles-ci touchent directement l’individu, mais sans aucun filtre et avec une très grande vélocité [argumentation]. Tel est le cas d’Internet [présentation succincte de l’exemple : Internet]. À la fin de l’année 2009, on dénombrait près de 2 milliards d’internautes. Ceux-ci, une fois connectés, peuvent regarder une profusion d’images, mais sans contrôle, puisque l’architecture de ce réseau repose sur la non centralisation [développement de l’exemple].

4ème paragraphe : idée secondaire 13

Ainsi, l’image peut menacer la liberté individuelle de penser [présentation IS 13]. En effet, elle est répétitive, séduisante et pas toujours fidèle à la réalité. Elle agit donc directement sur l’esprit, sans contrepartie, ni sélection entre le bien et le mal [argumentation]. Trop souvent, les photographies sont retouchées au gré des volontés d’hommes politiques [présentation succincte de l’exemple : trucage]. Lénine et Staline étaient passés maîtres dans cet art de la retouche. Dès qu’un de leur opposant était exécuté, celui-ci disparaissait de toute photographie officielle [développement de l’exemple].

5ème paragraphe : conclusion partielle + transition ID 2

Il semble que l’image sous toutes ses formes ait acquis le don d’ubiquité[7]. Elle est donc bien un facteur d’influence et de banalisation [Conclusion partielle], mais elle n’est pas forcément source d’asservissement [Transition vers ID 2].

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Conclusion[8]

1er paragraphe : rappel de l’idée maîtresse

S’il est vrai que l’image envahit notre quotidien au travers des multiples moyens de communication, son pouvoir ne contrarie que peu la liberté de penser chère à tout individu. Les images sont l’indispensable complément à l’épanouissement de l’homme. Il lui revient de l’assimiler et d’en user avec raison.

2ème paragraphe : ouverture

En ce début du XXIème siècle, l’image est un des acteurs prééminents[9] de notre monde. Puisse les hommes s’en servir pour en tirer le meilleur et atteindre par ce biais l’harmonie