Les Énergies Renouvelables

çais

b. Les enjeux politiques (celles vis-à-vis de l’énergie et des hydrocarbures)

3. Les réactions sociales face au vert ?

IV. Les énergies renouvelables sont elles la panacée ? (notre avenir énergétique ; solutions éventuelles)

1. Consommations d’énergies fossiles

a. Impact sur le plan environnemental (« GES », gaz à effet de serre, catastrophes climatiques, conséquences des gaspillages, …)

b. Impact sur le plan local

2. Les écologies de tous les jours

_

Conclusion

Introduction

Nous sommes actuellement à un penchant crucial de l’histoire de notre humanité.

Depuis toutes les découvertes de gisement de pétrole, le comportement de l’homme a bien changé.

Du choc pétrolier, moment d’industrialisation, à aujourd’hui, notre consommation d’énergies, en particulier les fossiles, se qualifie comme véritablement colossale.

Il n’y a pas que ce phénomène ci, il y a également d’autres facteurs qui entrent en jeu comme l’accroissement mondial de la population. Nous tournons au tour de plus de 6,5 milliard de personne dans le monde, avec déjà en Chine, plus de 1 350 millions d’habitants, constituant une bonne part de la population mondiale à elle toute seule.

Avec tout ces faits inhérents à la question du dérèglement, certaines interrogations se posent ;

Disposeront-nous d’assez de ressources pour subvenir à nos besoins ?

Quelles initiatives doivent être entreprises pour réduire radicalement la marque de nos pollutions ?

Pour y répondre, il faut prendre en compte une série de facteurs : le développement des énergies renouvelables, la sensibilisation du public, notre propre marque de volonté individuelle, et tant d’autres mesures de lutte.

Parce que chaque jour qui passe, s’annonce comme un coup de massue sur notre avenir et celle de nos générations futures.

I

Introduction

1. Définir l’énergie

La définition scientifique de l’énergie est la faculté d’un corps à fournir du travail ou son équivalent.

Ce mot vient du grec « energeia » qui signifie « force en action. L’énergie assure l’accomplissement d’une action. Elle est consommée pendant la durée de l’action et varie selon l’intensité de cette action. On peut donc dire que l’énergie résulte de la puissance (l’intensité) en fonction du temps pendant lequel cette puissance est utilisée.

Il subsiste différentes formes d’énergies :

_ L’énergie calorifique ou thermique : celle du chauffage ou de la cuisinière

Le foyer domestique à gaz liquéfié1 pour la cuisson tout en évitant la déforestation

_ L’énergie sous-forme d’ondes : celle de la lumière ou des lasers.

De l’énergie transmit par des lasers à travers des ondes lumineuses

_ L’énergie mécanique : celle des muscles ou des moteurs.

_ L’énergie chimique : celle des carburants ou des explosifs, mais aussi l’énergie cinétique et nucléaire

Mais il existe une multitude d’autres formes d’énergies produites à partir de certaines sources. Ces sources libèrent de l’énergie de façon à ce que tout le monde puisse s’en servir de manière pratique.

Comme nous le savons l’énergie que nous utilisons s’inscrit dans un cadre d’échange marchand, ainsi on parlera donc d’énergie commerciale. Mais il existe d’autres filières permettant l’utilisation d’énergies non commerciales, tel que le ramassage du bois ou de bouses de vaches séchées, …

Notre consommation d’énergies non commerciales représente 10% de notre consommation globale (1 Gtep sur 10 Gtep d’énergie commerciales).

Ci-dessous vous avez un tableau et schéma des équivalences entre différences sources d’énergies.

Photo p.13

a. Les sources d’énergies

Il existe trois sortes principales de sources d’énergies ;

_ D’abord les énergies conventionnelles (ou fossiles) : on entend donc par là, le pétrole, le charbon, le gaz naturel.

Ces sources participent considérablement au phénomène de l’effet de serre et reposent sur des ressources épuisables. Malgré le fait qu’elles aient été des facteurs d’industrialisation de nos sociétés, elles s’annoncent aujourd’hui ostensiblement dangereusement pour la pérennité de nos sociétés.

_ Ensuite l’énergie nucléaire : aujourd’hui vraiment remis en question ; elle provient de ressources naturelles dont les réserves sont moins limitées (radium, thorium, uranium, …). Cette source d’énergie est créatrice d’espoir puisqu’elle n’émet pas de CO2 (gaz carbonique) mais néanmoins elle tend à propager certains risques, comme celui de la prolifération nucléaire ou encore du traitement des déchets ce qui provoque de véritables réticences et sources de peur.

_ Et les énergies renouvelables : il faut prendre en compte la géothermie, le solaire, (photovoltaïque et thermique), l’éolien, le cycle de l’eau (barrages et marées), mais également la biomasse.

Les énergies renouvelables (EnR) constituent intrinsèquement, comme les énergies conventionnelles, à une série de transformations physiques d’un phénomène résultant à une subvention des besoins de l’homme (en chauffage, électricité, transports, …). Elles sont assurément moins polluantes pour l’environnement que les énergies conventionnelles (EnC) et fonctionnent par filières ; en filière plus courte avec ou pas d’engendrement réduit de pertes d’énergie et plus locales (ou décentralisées).

* La géothermie

Cette filière-ci est essentiellement centrée sur la chaleur des couches profondes de la terre (géothermie profonde), et également sur l’extraction des calories de rayonnement solaire présentes dans le sol au biais de pompes. La géothermie assure les besoins en chauffage de la maison (dont eau chaude).

* Le solaire

Il regroupe deux branches ; le solaire thermique qui assure les besoins en eau chaude et chauffage (± 70% des besoins) ainsi que le solaire photovoltaïque qui assure la part d’électricité (jusqu’à 50% des besoins).

* Les énergies mécaniques de l’eau

Elles se manifestent de divers manières ; les chutes d’eau (en référence à l’énergie hydraulique gravitaire) et les marées et courants (par l’énergie marémotrice) ou par ailleurs des vagues dirigés par le vent.

* L’éolien et la biomasse

Quant à lui, l’éolien produit du vent allant de hautes en basse pressions (presque jusqu’à 100% des besoins en électricité à une communauté, et cela après plusieurs recherches).

La biomasse répond à la combustion d’un carburant renouvelable (matière organique, animal ou végétal).

Elle n’émet donc pas de gaz à effet de serre, par contre elle produit avec du bois ; chauffage et électricité. Leur utilisation modérée permet d’empêcher l’érosion des sols, la désertification et la déforestation.

2. Les énergies renouvelables, elles ne sont pas toujours considérées comme « vert »

Une