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* En 1965 à 1969 : La majorité deviendra plus faible après 1965, avec la crise économique, les événements de mai 68… En 1969 il organise un référendum sur la décentralisation et la réforme du Sénat, qui sera refusé par le peuple. Il démissionne. Il avait une conception responsable de la Ve république même en l’absence de responsabilité politique.
2° La présidence de Georges Pompidou de 1969 à 1974
La présidence de Pompidou est dans la logique du gaullisme. Elle affirme donc la responsabilité et l’autorité du chef de l’état. Il prédomine le pouvoir, il décide seul, et parfois délègue.
Il fait remarquer qu’il est l’élu du peuple contrairement aux parlementaires. Ils n’ont donc pas la même légitimité. Face au gouvernement il imposera aussi son autorité, qui est supérieur aux autres.
Les ententes entre les parties : les coalitions
Le caractère actif du président : mise en place de réformes…mais qui sera stopper par sa maladie et son décès
3° La présidence de Valéry Giscard d’Estaing
Abandon de la vision gaulliste s’explique par 3 éléments :
* Vge est un non gaulliste : les giscardiens et les centristes
* Antithèse du gouvernement : il est prêt à gouverner avec l’opposition
* L’échec de la droite aux élections : il devra gouverner avec une majorité faible et divisée.
Il met en place de nouvelles réformes concernant la filiation, le divorce, l’avortement… Elles marquent la modernisation de l’état, le progrès social, juridique ( on autorise à saisir le c. const)…
B) Les fluctuations du présidentialisme ou l’époque moderne
L’alternance : la gauche et la droite arrive successivement au pouvoir, ce qui marque un régime présidentiel. Et la cohabitation avec deux chefs de courants politiques opposés, qui marque un régime parlementaire
La présidence de François Mitterrand de 1981 à 1995
C’est le premier président socialiste qui a exercé 2 septennats. Avec 5 années de présidences fortes et 2 années réalisées en retrait au profit du parlementarisme
a) Premier septennat de 1981 à 1988 :
Le message au parlement du 8 juillet 81 envoyé par Mitterrand rappel le programme politique. Il impose au pouvoir législatif ce projet. Pendant 5 ans il exerce la plénitude de son droit d’empêcher et de gouverner. Mitterrand de gauche (socialiste) obtient après les élections législatives la majorité de droite. Mais il ne démissionne pas. Le 1er ministre J. Chirac de droite est nommé. Il faut donc attribuer les différentes compétences entre les 2 membres de l’exécutif. Le président va garder ses fonctions de gardien, d’arbitre de ses institutions, il abandonne au 1er ministre son pouvoir de décision politique (l’article 2O de la constitution). Il refusera de signer certaines ordonnances, alors que l’article 13 de la constitution dispose que le président doit signer les ordonnances.
b) Second septennat 1988 à 1995
L »autorité du président subit plusieurs atteintes à cause des contestations et des crises politiques importantes. Il a une majorité faible, et son 1er ministre Michel Broca aura du mal à s’imposer. Car d’un coté il doit faire passer des lois que la majorité de gauche n’arrivent pas à faire passer et de l’autre il doit satisfaire la minorité de gauche. Aux élections législatives de 93 c’est le présidentialisme lui-même qui est perdu car on assiste à une nouvelle cohabitation.
Cette seconde cohabitation qui transforme le régime présidentialiste en un régime parlementaire. Le 1er ministre n’est plus responsable auprès du chef de l’état. C’est au sein de cette majorité que la droite est désignée. On est donc dans un régime parlementaire moniste. Cette cohabitation laisse donc le gouvernement gouverne en vertu de l’article 20, et le président préside en vertu de l’article 5.
Mitterrand garde ses prérogatives car il refuse l’intervention du 1er ministre dans les affaires étrangères, et le laissera seulement donner son avis.
2° la présidence de Jacques Chirac de 1995 à 2007
Il n’a qu’une majorité faible lors de son élection. Mais il ne va pas dissoudre l’assemblé durant les deux premières années.
Mais c’est une erreur car quand il décide de la dissoudre en 1997, les élections vont profiter à la gauche. C’est une troisième cohabitation qui se met en place.
Le présidentialisme de Chirac se retrouve en 2002 après les élections présidentielles. Il est réélu face à J.P Le Pen. Le 1er ministre Jospin devra démissionner.
Les mouvements populaires contre les réformes des assurances maladies… laisse le gouvernement réglé les choses, et notamment avec Nicolas Sarkozy. Le présidentialisme perd donc de son éclat
L’UMP : union pour le mouvement populaire.
3° La présidence de Nicolas Sarkozy ou l’époque post moderne
Il est élu le 6 mai 2007.
Les électeurs vont confirmer son élection et conduit au pouvoir une majorité de droite avec en tête l’UMP. Le régime retrouve ainsi la vision gaulliste. Le début du mandat est marqué par une ouverture. La réforme de 2008, sur le rééquilibrage des institutions. Il est aussi actif au niveau international.
La victoire de la gauche aux élections municipales, régionales montre que le président perd son autorité politique vers la fin de son mandat.
Le présidentialisme de Sarkozy est
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