Micromégas, Voltaire
Commentaire de texte : Micromégas, Voltaire. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar chloe123456 • 30 Décembre 2019 • Commentaire de texte • 1 818 Mots (8 Pages) • 1 033 Vues
Problématique : Comment Voltaire à travers son œuvre nous fait réaliser de la cruauté des humains ?
INTRO
Voltaire (ou François-Marie Arouet) est un écrivain et philosophe des Lumières. Il s’est essayé à plusieurs genres : le théâtre, les dialogues, les ouvrages historiques, la poésie, l’essai, les articles scientifiques, et bien sûr les romans et les contes. Nous allons étudier son premier conte philosophique : Micromégas paru en 1752. Ce conte décrit la visite de la Terre par Micromégas un êtrevenu d’une planète étrangère. Ce récit est l’occasion derenouveler le regard sur le monde et les hommes, en adoptant un point de vue extérieur, aussiétonné que critique.Micromégas est un géant Sirien (planète Sirius) de 8 lieues de haut, philosophe dans son pays qui entreprend un voyage interplanétaire. La taille de Micromégas et le point de vue sirien permettent à Voltaire de nous donner une leçon de relativité.
Ici, Micromégas s'entretient avec un groupe de philosophes.
Mais alors Comment Voltaire à travers son œuvre nous fait réaliser de la cruauté des humains ?
Il nous faudra d’abord étudier l’éloge que porte micro megas envers les humain. Puis nous pourrons voir les etranges combattants et pour finir les guerres de l’humanité.
I. L’éloge des humains
A. La meliorativité
Pour commencer nous allons découvrir l’eloge que porte micro mégas envers les humains.
Nous pouvons constater que micromegas fait une description meliorative des être humains.notamment quand il dit « ô atomes intelligents », qui est une periphrase méliorative. A travers cet extrait, il loue l’intelligence des hommes malgré leur petite taille dans l’univers. on peut constater la presence du champ lexical de l’intelligence « esprit » ; « penser » ; « intelligent », on dit souvent que l’intelligence est source de bonheur. Micromegas les envies quand on remarque le champs lexical du bonheur « goûter des joies bien pures » ; « devez passer votre vie à aimer » ; « Je n’ai vu nulle part le vrai bonheur ». on peut remarquer un dernier champs lexical, celui de l’honnete « franc ; avoua de bonne fois ». tous cela nous montre bien que micromégas et jaloux de leur bonheur de leur intelligence et de leur simple vie.
B. La réalité
Cependant, peu de temps après micromegas se rend bien compte qu’il s’est trompe sur le premier jugement des hommes. Nous pouvons voir la presence du champs lexical de l’honnete « franc, avoua de bonne fois » qui nous montre que cette personne est digne de confiance démontrer par un contre argument qui nus dit « un assemblage de fou, de mechants et de malheureux ». nous pouvons remarquer la presence de termes depréciatifs notamment quand il enonce « si peu de matiere », qui devient « plus de matiere quil nous faut », cela nous fait perdre la valeur des quantité.
Après avoir pu observer les qualité de l’humanité et finalement constater la réalité de leur inhumanité. Nous allons pouvoir nous consacrer aux etranges combattants
II. D’étranges combattants
A-La métaphore animale
Dans un second temps nous allons aborder un regard sur ces etranges combattants
Dans son œuvre, voltaire fait de nombreuse métaphore animales pour désigner les hommes, nous pouvons observer certaine de ces métaphores « notre espece », plusieurs emploi du mot « animal ». la métaphore animale semble enlever toute ame et toute raison à l’homme qui devient simplement un être distinct. Le groupe nominal « chetif animaux » fait allusion au gigantisme du sirien. Nous pouvons constater une autre métaphore qui compare des hommes a une « fourmiliere » d’apres le sirien les combat des hommes sont aussi insignifiant que ceux de deux fourmilière, cela prouduit l’effet que les être humain sont infiniment petit dans l’univers, et nous remet à notre juste place : nous ne sommes rien d’autres que de « chetifs animaux » face à l’infini ( blaise pascal)
B- La mise en évidence de la folie humaine
Nous pouvons observer la mise en évidence de la folie hulains, ce qui nous amene a dire que lorsque les humains se comattent, les deux camps sont « animaux » et sont « fous ». nous pouvons constater que ces « animaux » sont caricaturé car pour le différencié il n’y a que leur couvre chef « chapeaux » et « turban », il semble nu. Nous avons l’impression que la guerre et réduit à une histoire de chapeau ou de turban. Le philosophe gomme volontairement les dissensions qui sont à la source du conflit, pour faire ressortir qu'elles n'ont guère plus d'importance qu'un couvre-chef.
.on pourrait dire que dans la vrai vie cela serait une appartenance religieuse, ou encore politique. Nous remarquons une insistance sur les chiffres, il evoque plusieurs fois celui de « cent mille », c’est un nombre beaucoup utiliser car il parle a notre imagination, nous avons l’impression de pouvoir voir les couples de chapeau-turban s’entretuer. Pour entretenir cette impression de folie, voltaire ajoute un champs lexical de la violence, même d’un excès de rage « écraser ; assassins ;egorge ; tuent ; massacre ; querrelle »
Dans cette deuxième parties nous avons pu renforcer notre opinion d’inhumanité . nous allons pour finir observer les causes et les responsables
III. Les guerres
a) L’ampleur de problème de la guerre
Pour terminer, nous pourrons situer les différentes causes et responsables de ces massacres
Nous pouvons dire que le philosophe, amplifie les problèmes de la guerre en insistant sur les moindre details et toujours en en rajoutant. Nous pouvons nous rendre compte de cela, avec l’amplification de la durée, il commence par dire « l’heure ou je vous parle » puis il éternise le temps en disant « de temps immémorial ». voltaire utilise plusieurs fois ce procédé littéraire, notamment l’amplification de l’espace « presque par toute la terre », l’amplification de la violence avec le verbe « massacre » qui signifie tuer avec sauvagerie. Enfin nous avons une dernière amplification, celle du carnage passant de 200 00 combattants à « un massacre d’un million d’un d’homme ». c’est une guerre sans merci, ou les hommes s’entretuent sans vraiment savoir pourquoi. Tout ceux qui on survécu, succombent pour d’autres cause, comme nous le signale l’énumération « la faim, la fatigue ou l’intempérance, les emportent presque tous ». ces guerres sont fatals pour tous.
b) La
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