TD approche des genres littéraires

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            TD approche des genres littéraires

Devoir maison à rendre le 20 octobre = étude linéaire (le clair de lune orientales)

Devoir sur table sur la peste de camus = étude linéaire 4000 caractères à peu près

I-Poème l’enfant Victor Hugo.

Un vers féminin se termine par un e

Dans le poème l’enfant de V.H. il y a 6 sizains composés de deux alexandrins et d’un octosyllabe ainsi de suite. L’octosyllabe est toujours une rime féminine.

Le poème nous pousse à prendre pitié de l’enfant qui apparaît seul sans rien en sa possession mais cette vision s’écroule lors du dernier vers ou on perçoit la volonté de vengeance de la part de l’enfant. Il y a un semblant de dialogue mais en réalité il n’y a pas de vrai dialogue seul l’enfant parle V.H. ne répond pas. Cette fin discrédite un peu le discours du poète. C’est un poème qui est à cheval sur l’optimiste et le pessimisme mais les deux derniers vers montrent quand même que le pessimisme prend le dessus.

La naïveté se situe du côté du poète qui expose des lieux communs sur les enfants seule la parole de l’enfant brise ces stéréotypes et rend la réalité pure et dure de la situation qui découle du massacre commis par les turques.

Introduction :

Au salon de peinture de 1824, Eugène Delacroix présente ces scènes de massacre de Chio et attise par le choix d’un sujet d’actualité par la hardiesse des coloris, par le pathétique dans le traitement des figures, la querelle du romantisme pictural.

 Le geste du peintre est politique, dans un grand format traditionnellement réservé à la peinture d’histoire Delacroix représente les victimes d’un acte de représailles perpétré en 1822 par les soldats ottomans sur la population grecque de l’île de Chio.

Il participe ainsi au vaste mouvement d’opinion philhellène (en faveur des grecque) qui s’empare alors de l’Europe, à l’occasion de la guerre d’indépendance grecque « déjà la mémorable guerre de Grèce avait fait se retourner tous les peuples de ce côté » écrira Victor Hugo dans sa préface des orientales en 1829. Et c’est bien d’un nouveau regard sur l’orient que témoigne à la fois le tableau de Delacroix et « l’enfant » poème de Hugo apparaissant dans ce même recueil. Mais comme l’indique le titre du poème le poète préfère porter son intention sur une seule figure pathétique, celle de l’enfant peut être un orphelin (l’innocent par excellence) avec qui il va bientôt instaurer un vrai dialogue. Le manuscrit nous apprend que Hugo avait d’abord pensé à l’enfant grec pour son titre, avant d’opter pour une plus grande généralité.  Tout le poème est construit pour mener à la chute finale.

Alors que le poète se laisse aller devant le spectacle pathétique des ruines a la pente de la rêverie, la réponse de l’enfant dissipe l’illusion de l’imaginaire orientale réactivé par Hugo. La forme même du poème permet de ménager cet effet de surprise. Le poème est construit autour de six sizains hétérométriques à la majesté des alexandrins répond la légèreté des octosyllabes qui donnent de la grâce aux descriptions mélancoliques du poète avant de briser sa rêverie complaisante comme un couperet.

 Le poème est donc essentiellement construit autour d’une série de contrastes : contrastes entre le paradis que fut chio et la ruine qu’elle est devenue, contraste entre vers bref et vers court, contraste entre l’imaginaire du poète et la réponse de l’enfant, contraste entre l’attente du lecteur et la surprise finale.

 Nous montrerons donc que Hugo détourne par un effet de surprise l’imaginaire oriental pour le mettre au service d’un poète engagé qui ne se réduit pas cependant à l’anecdote d’un poème de circonstance.

 Nous pouvons dégager dans notre poème trois principaux mouvements du premier au 6e vers strophes le poète offre la description poétique d’un ancien lieu idyllique dévasté par les horreurs de la guerre. Dans un second temps qui va du vers 7 au vers 12 la description se focalise sur la figure isolée d’un enfant victime semble-t-il innocente du massacre enfin dans les quatre dernières strophes se noue un semblant de dialogue entre le poète et l’enfant : à la rêverie naïve du poète répond la concision guerrière de l’enfant.

Séance 2 :

1. Rêverie

Il y a une épigraphe en en-tête du poème. C’est un poème composé de trois strophes composées de six alexandrins le schéma des rimes est le suivant : AABCCB = plates et embrassées.

C’est un poème lyrique car la nature y est décrite mais il y a aussi une dimension de rêverie avec le « corridor » par exemple qui ne peut pas se trouver dans la nature.

Les couleurs dominantes surgissant de ce poème sont celles de l’automne, au début rouge, jaune, ensuite s’en suit un assombrissement.

On peut s’imaginer dans la nature mais aussi en ville a cause du corridor, de la fenêtre…

Problématiques : - nous observerons dans quelle mesure ce poème nous dépeint le fantasme de liberté de l’auteur.

• Comment le rêve d’orient permet à Hugo d’atteindre une poésie de la pure vision ?

Tenter de comparer les vers de Hugo à ceux de Lamartine

En réalité dans un sonnet il faut considérer les deux derniers tercets en un sizain.

1. Parfum exotique

Comparaison avec le poème de Victor Hugo « rêverie ».

L’odeur d’une femme fait apparaître la rêverie dans ce poème.

1. Brise marine MALLARME

Comparaison avec les deux autres poèmes précédents.

Ce sont des alexandrins. Il parle de nature et du voyage.

1. Alchimie du verbe

Texte en proses,

1. Extase

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