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Thérèse Raquin, Zola

Dissertation : Thérèse Raquin, Zola. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  15 Janvier 2020  •  Dissertation  •  383 Mots (2 Pages)  •  622 Vues

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Arthur briand

Introduction du commentaire littéraire de l’incipit de Thérèse Raquin.

                Le roman Thérèse Raquin est paru au 19ème siècle en 1867, à la fin des temps modernes quand Paris se modernise, avec l’arrivée des grands magasins, de l’industrie de la haute couture, qui devient une frontière entre milieux sociaux. Thérèse Raquin a été écrit par Emile Zola. Son incipit dont il est question, appartient aux courants du naturalisme et romantisme, et est un texte descriptif. Dans cet extrait il est question d’un passage dans le centre de Paris, celui du Pont-Neuf, qui est décrit comme un de tableau : « une sorte de corridor étroit et sombre » (ligne.2). Le chemin est décrit pendant les jours d’été : « Quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage » (ligne.8). Comme pendant les jours d’hiver : « Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. » (ligne.10). Puis Zola décrit comment est le passage du Pont-Neuf en utilisant le champs lexical de l’obscurité : « sombre », « la nuit », « obscure », « l’ombre », « ténèbres », « lugubres ». Ce qui installe un sentiment de gêne et de mal-être. Nous pouvons aussi retrouver l’utilisation fréquente du suffixe péjoratif « -âtre » qui sert à exprimer un dégouts pour certaines des couleurs ; « blanchâtre » (ligne.5) ; « reflets verdâtres » (ligne.13). Zola a utilisé une métaphore pour montrer un chemin mort, sans vie :« les boutiques pleines de ténèbres sont autant de trous lugubres dans lesquels s’agitent des formes bizarres. » (Ligne.20). Il y a aussi une personnications :« Comme couverte d’une lèpre…couturées de cicatrices » (ligne.30). » Les points de vue sont montrés grâces à des compléments circonstanciels de lieux tels que « A gauche » (ligne.10). Puis « A droite » (ligne.16).  Ainsi la focalisation y est interne. Comment Zola va-t-il décrire un lieu aussi sombre dans un Paris resplendissant ?

En premier lieu, nous allons étudier les descriptions réalistes d’Emile Zola.

Puis secondement nous analyserons les différents ressentis du lecteur.

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