Le Réchauffement Climatique

ue. Selon eux les prévisions pour 2020 seraient de limiter le réchauffement de la planète à de deux degrés.

James Hansen, un climatologue américain, connu par sa défense auprès de l'origine humaine du réchauffement climatique. Il est très important car il fait partie des auteurs des premières données de températures terrestres globales. Celui ci aide aussi le GIEC à trouver des solutions aux problèmes recourus à ce dérèglement climatique.

Ensuite, au cœur de la Conférence de Durban, la Commissaire au Climat de l’Union Européenne, Connie Hedegaard, va devoir redoubler d’efforts après les discussions pour s’assurer que les principaux pollueurs s'engagent bien à réduire leurs émissions de GES. La détermination de Connie Hedegaard a entrainé la mise à jour du Protocole de Kyoto, un traité rédigé en 1997 et mis en application en 2005. Ce traité oblige les principaux pays industrialisés à réduire d'ici 2012 leurs gaz polluants.

Enfin, suite à cette conférence à Durban, plusieurs décision ont été prises en compte par la communauté. Pour commencer, le Mécanisme pour un développement propre (MDP) a été crée dans le cadre du protocole de Kyoto afin de permettre aux pays de l'Ouest à réaliser leurs objectifs en aidant à investir dans certains projets dans les pays en développement. Le MDP s'adresse aux besoins de financement du développement et selon le texte du protocole de Kyoto ce mécanisme contribuera au financement des coûts des pays en développement par rapport au réchauffement climatique. Ensuite, des fonds-verts seraient destinés à aider les pays pauvres à financer leur lutte contre les effets du changement climatique. Mais certains pays riches comme les États-Unis refusent de s'engager dans le fonds verts. Et pour finir, Nicholas Stern, un célèbre économiste anglais, à réaliser un Rapport, nommé Rapport Stern, sur l'effet du changement climatique. C'est le premier rapport financier mené par un économiste et non un climatologue, publié en 2006. Dans son rapport Nicholas Stern explique clairement que les coûts du changement climatique pourraient représenter 5 à 20% du PIB mondial en 2050, ce qui peut paraître énorme.

En conclusion, le réchauffement climatique est loin d'être terminé et ses conséquences sont alarmantes pour la planète et la santé des humains.