Evaluation naturopathie
Dissertation : Evaluation naturopathie. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Marjolaine Herrbach • 27 Avril 2019 • Dissertation • 899 Mots (4 Pages) • 4 708 Vues
L’ensemble des symptômes et signes recueillis après l’absorption d’une substance dans un but d’expérimentation homéopathiques est une : Pathogénésie.
Un livre rassemblant de nombreuses substances ainsi expérimentées afin d’en déterminer les effets et réactions sur l’organisme humain est une : Matière Médicale.
Définir en quelques lignes la loi de similitude.
« Guérir le mal par le mal » : Le principe de la loi de similitude serait le suivant > Pour traiter un symptôme, il faut administrer au patient une substance ou un produit qui lui procurerait ces mêmes symptômes.
Hahnemann a testé cette loi sur lui-même durant une vingtaine d’années; Cette loi vient s’ancrer comme base de la doctrine homéopathique.
Hahnemann a définit cette loi suite à son expérimentation en testant les effets du Quinquina. De là, il en déduira que l’on peut traiter les symptômes par quelque chose qui provoque ces symptômes. Inversement, si le sujet est sain, les symptômes lui apparaitront.
Autrement dit, une substance qui est capable de provoquer un ensemble de symptômes chez un individu sain est capable de guérir les mêmes symptômes chez un individu malade.
Cependant, il faut toutefois rappeler que cette loi n’est applicable qu’avec le principe de la petite dose (loi d’infinitésimalité).
A savoir que si l’on administre une dose trop importante, les effets observés ne seront pas ceux escomptés. Nous dirons donc que « l’homéopathie guérit le mal par ce qui engendre ce même mal, à condition de respecter le principe de petite dose ».
Citer brièvement le concept de base et les 3 lois et l’homéopathie.
Le concept de base est le suivant : L’homme est capable de réaction; Comme l’a dit Hahnemann en 1791.
C’est donc la capacité de tous les systèmes vivants qui composent l’être humain à s’auto-réguler et à réagir. C’est pour cela qu’en homéopathie, on tente d’inciter l’organisme à se « corriger » lui-même pour rétablir un dysfonctionnement, via nos possibilités réactionnelles.
A ce concept incontournable, s’ajoutent les 3 lois de l’homéopathie :
La loi de similitude : Une substance qui est capable de provoquer un ensemble de symptômes chez un individu sain est capable de guérir les mêmes symptômes chez un individu malade.
Pour guérir un malade, il faut donc étudier ses symptômes pour lui administrer une substance capable de produire ces mêmes symptômes, mais en quantité infinitésimale.
Le principe d’infinitésimalité : Loi de la « petite dose »; Pour que l’amélioration de la santé soit « prompte, douce et durable », il faut que les doses soient minimes.
Les doses administrées seront donc diluées afin que cette dispersion offre une efficacité maximal au traitement.
Le principe de globalité : En considérant l’individu comme un « tout biologique », il ne faut donc pas uniquement prendre en compte les symptômes apparents, mais en chercher la cause profonde. En effet, l’homme fonctionne comme une machine, nous lions donc l’aspect l’aspect physique à l’aspect psychique. Il faut donc chercher la source du problème pour mieux traiter les symptômes.
Qu’est-ce que le principe de totalité ?
C’est sans doute la loi la plus importante puisqu’elle définit l’homme comme un « tout » en prenant en considération d’un côté son corps (organes), et de l’autre côté son âme (psychique).
Lors d’une consultation en homéopathie, il sera du devoir de l’homéopathe de déterminer les symptômes, mais aussi de rechercher la cause profonde de ceux-ci. Ainsi, 2 personnes présentants les mêmes symptômes n’auront pas nécessairement le même traitement.
Exemple :
Un enfant n’est pas bon à l’école, ses résultats sont mauvais. Il stresse à l’arrivée du bulletin à la maison et à la réaction de son père qu’il sait colérique.
Sa mère quant à elle stresse de l’échec scolaire de son enfant. Elle a peur pour son avenir.
> Tous les deux sont sujets au stress, mais les causes ne sont pas les mêmes. Les traitements homéopathiques ne seront donc pas les mêmes.
> Un médecin allopathe donnera quant à lui le même traitement aux 2 si l’enfant
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