Epargne
Cours : Epargne. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Redouan Fadili • 13 Décembre 2017 • Cours • 715 Mots (3 Pages) • 834 Vues
Chapitre 2 : La stabilité de l’activité économique et inflation.
- Dans quelle mesure les autorités doivent elles s’attacher à stabiliser l’activité économique
Comme on est déjà vu les objectifs que la politique monétaire veut les atteindre sont le plein emploi et la stabilité des prix ; et si les économistes sont d’accord sur eux donc ils supposent sur la meilleure façon de les atteindre ; supposons que dans une économie où le chômage est élevée à la suite de choc d’offre ou de demande ; qu’ont réduit le niveau de l’activité ; alors la politique monétaire doit confrontée cette situation. Un gouvernement non interventionniste va supposer que les mécanismes de retour à l’équilibre fonctionnent rapidement et se reposera sur eux. Alors selon ces autorités la relation d’offre agrégée de court terme aura tendance à ce déplacé rapidement vers la droite du graphique représentant l’équilibre macroéconomique et ramènera rapidement l’économie à son niveau de plein emploi. Alors on peut dire dans ce cas que les actions de politique économique sont inutiles. par contre les autorité interventionnistes considèrent que les ajustements de prix et de salaire prennent de temps et donc que les marchés ne reviennent pas automatiquement à l’équilibre compte tenu de l’importance des considérations de court terme. Ce type autorité considère qu’il est important d’agir afin de résoudre la question du chômage lorsqu’elle se pose.
A : retards et mise en œuvre des mesures de politique économique.
Si les autorités de la politique économique pouvaient déplacer de manière instantanée la courbe de demande agrégée ; les politiques actives pourraient ramenée immédiatement l’économie au plein emploi ; ainsi que nous l’avons vu dans la section précédente.
Toutefois ; dans la réalité ; les nombreux facteurs de retard freinent le déplacement de la relation de demande agrégée. Selon leur nature ; les retards dans la mise en œuvre des décisions de politique monétaire et budgétaire ont des durées différentes.
1-le retard dû à la mise en compte des nouvelles statistiques concernant l’état de l’économie ; par exemple ; les autorités ne peuvent disposer des donnée fiable concernant le PIB que plusieurs mois après le trimestre où la décision de politique économique est prise.
2-le retard lié à l’interprétation disponible. Aux États-Unis par exemple le national bureau of économic Research ne peut déclarer l’économie américaine en récession que six mois après avoir déterminé le début de celle-ci.
3-le retard législatif qui représente le temps nécessaire à la mise en œuvre de la mesure de politique économique décidé par un gouvernement. Ce type de retard n’affecte pas à la mise en œuvre de la politique monétaire ; mais plutôt les décisions de politique budgétaire ; qui souvent sont mise en œuvre plusieurs mois après le choix ; compte tenu de délais législatifs.
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