Ce que la Noel est en réalité...
Dissertations Gratuits : Ce que la Noel est en réalité.... Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires, leur évangile était compatible aux modes de vie des païens. Ces derniers, au lieu d’exhorter les païens à marcher à la lumière de Dieu, ont de préférence essayé de leur faire plaisir en leur divulguant un évangile conforme à leurs traditions, à leurs moeurs et à leurs coutumes. Dans le monde des païens, les Saturnales, fête célébrée en l’honneur du dieu saturne, dieu de l’agriculture, commencent à partir du 25 décembre dans le calendrier julien comme fête de fin d’année, chez les Romains ces festivités sont dédiées au dieu Sol, chez les Perses à la déesse Mithra. Vers l’an 350 le pape Jules 1er a déclaré le 25 décembre le jour de la naissance de Jésus, ce fut dès lors un acte traduisant en quelque sorte une fusion entre le Christianisme ( religion chrétienne) et le Paganisme (religion païenne) au lieu de l’influence de celui-là sur celui-ci. L’histoire de la Rome, de la Grèce, de l´Egypte, de la Mésopotamie pour ne citer que ces grandes civilisations antiques, leur littérature ainsi que leur philosophie ont été profondément et fortement influencées par des mythes à caractère religieux dont le but fut d´arriver à donner un nom ou une date de naissance aux différentes divinités qui les composaient.
Au cours de ces fêtes dans la Rome antique plus précisément on assista à des sacrifices humains faits en l’honneur des dieux chaque fin d’année en particulier au dieu Sol. Est-ce la célébration de la naissance de Jésus-Christ qui exige ces sacrifices humains qui se révèlent stupides et cruels? Non loin delà, au contraire ces festivités vilipendent le sens réel de la naissance du Christ-Jésus, elles n’ont rien en commun avec les dimensions spirituelle et physique de Sa naissance. Les Saturnales à Rome furent une meilleure occasion pour les hommes de manger, boire, s’enivrer, voire commettre des excès de table, de l’adultère et de toute sorte d´actions à caractère sexuel tout en restant convaincus qu´ils étaient entrain de rendre hommage, gloire, culte de louange ou d´adoration au Seigneur Jésus, pourtant ils ne se sont pas rendus compte qu´ils étaient complètement perdus. L’ origine de cette fête est issue des pratiques païennes, c´est la religion païenne qui l’a inventée pour éprouver et satisfaire ses désirs et plaisirs personnels afin de semer le trouble parmi les humains. Voilà pourquoi aujourd’hui ceux qui sont encore sous l’emprise de cette religion continuent de commettre ces mêmes sacrifices humains que les Romains faisaient depuis il y a des siècles et ne cessent de renouveller leur engagement avec le diable à l´approche de cette date de peur qu’ils ne meurrent.
Noël et Hypocrisie
Il est vrai que l’étymologie du mot Noël signifie naissance, mais les hommes ne savent pas de quelle naissance il s’agit et comment la manifester dans leur vie. D´un air hypocrite, ils se disent entre eux : '' Faisons semblant de fêter la naissance du Christ Jésus, réconcillions-nous les uns avec les autres uniquement en ce moment, puis après nous pourrons redevenir l’ennemi acharné que nous étions auparavant, faisons la paix partielle, car c’est la noël, il ne faut pas nous battre, nous continuerons la guerre après sa fin ''. Au cours des guerres mondiales et d’autres affrontements armés, sanglants et meurtriers qui ont bouleversé le monde pendant des siècles, les hommes avaient réagi de la sorte en se laissant entraîner dans cette pure hypocrisie qui n’est autre que l’arme dont le diable se sert pour continuer à tromper l´humanité. En agissant de la sorte, ce n´est point l´expression du vrai amour et de la vraie amitié. Dieu avait reproché au peuple d´Israël son hypocrisie en disant : « Ce peuple m’honore de sa bouche, mais son coeur est loin de moi ». Autrement dit ce peuple fait l´apparence de me louer pourtant, son coeur est rempli de toute sorte d´hypocrisie et de mal. Les hommes font l’apparence de se réconcilier avec leurs ennemis et cela par pures traditions humaines, ils se disent les uns aux autres : « Joyeux Noël », mais c´est un souhait rempli d’hypocrisie, de haine et de jalousie. Ils se laissent influencer par la société dont ils craignent les critiques acerbes et les sanctions. Quoiqu´ils se soient faits beaucoup d´ennemis, ils prétendent fêter quand bien même sans consciemment vider leurs contentieux, pourtant Jésus a dit : ''Si en présentant ton offrande et que là tu te souviens que quelqu’un a quelque chose contre toi, laisses là ton offrande et vas te réconcilier avec lui, puis reviens et présentes ton offrande au Seigneur''. Mais Satan intelligent qu’il est renverse l’ordre des choses comme il avait l’habitude de le faire en disant : « T´en fais pas ! Tu auras le temps, car c’est la noël, tu as toute la soirée devant toi, tu peux le faire après, c’est pas grave ! ». C’est ainsi qu’il trompa les humains depuis la création en déformant la parole de Dieu. L´homme sans intelligence et dépourvu de la sagesse divine se laisse aveuglement avaler ces salades.
En réalité, les hommes ne pensent jamais aux conséquences et à l’ampleur de leur hypocrisie en prétendant fêter la Noël. Elle se festoie avec une hypocrisie telle qu´elle ne signifirait jamais la naissance de Jésus. Dieu aime ceux qui Le servent avec sincérité et simplicité de coeur, Il déteste l’hypocrisie chez les humains comme tout autre péché. Or comment prétendre honorer la naissance de Son Fils dans une telle attitude hypocrite? Comment pourrait-Il par conséquent laisser impuni un tel blasphème? Comment peut-Il tolérer un tel agissement? Dieu est à la fois compatissant et juste, dans Sa compassion Il nous aime certes, mais dans Sa justice Il punit aussi toute sorte de péché, Sa nature étant incompatible avec le péché, il est impossible qu’Il le tolère, de plus le péché ne peut résister pas en Sa présence.
Jésus a toujours reproché aux Pharisiens de se conformer aux traditions humaines plutôt qu’à la loi de Dieu, de chercher à plaire aux hommes plutôt qu’à Dieu, c’est une attitude hypocrite. Ils faisaient tout pour leur gloire et celle des hommes, Dieu n’a jamais été honoré dans leurs actions, à travers leurs actions ils s’adoraient eux-mêmes en étant enflés d’orgueil. La Bible nous dit cette parabole selon laquelle deux hommes se présentaient un jour dans le temple pour prier, un publicain c’est-à-dire quelqu’un de mauvaise vie et un pharisien, un religieux. Le pharisien priait en lui-même, c’est un signe d’adoration de soi, et faisait éloge de ce qu’il est, de ce qu’il réalise et de ce qu’il possède, mais le publicain se sentant indigne de recevoir le pardon de Dieu n’osait même pas se lever la tête, mais en se frappant la poitrine il priait ainsi : «Aies pitié de moi Seigneur qui suis un pécheur», et le texte biblique dit que seule la prière du publicain a été exaucée par Dieu. Car Dieu relève celui qui s’abaisse et rabaisse celui qui se relève, aucun humain n’est grand à Ses yeux. Il rejette toute sorte d´hypocrites et tous ceux qui pratiquent l’hypocrisie ne pourront pas échapper à Sa colère le jour de Son avènement.
Noël et capítal économique
De nos jours la fête de Noël telle qu’elle est conçue par plus d’un tend à appauvrir surtout les gens de faibles moyens économiques qui, après l’achèvement de cette période, sont criblés de dette, justement parce qu´ils voulaient faire plaisir généralement à leurs enfants, à quelques amis voire à des proches parents. Certains autres qui ont de grands moyens économiques font parfois des dépenses irrationnelles et inutiles de leur argent pour s’acheter des cadeaux somptueux à des prix exorbitants. En agissant de la sorte ils cherchent à attirer la caprice des gens soit leurs amis, leurs copains ou copines, soit leurs proches en attendant d’eux une réciprocité. En même temps une autre catégorie accumule des sommes d´argents extraordinaires. L´attitude consistant à attendre une réciprocité des autres est contraire à la volonté de Dieu qui dit dans les Saintes Écritures : « le Seigneur aime celui qui donne avec libéralité et joie comme il l’a résolu dans son coeur, sans contrainte et sans attendre rien en retour ». Pourtant, les hommes se perdent dans leurs extravagances d´excès de table pour ne pas se sentir blêmes et pour se dire d’un air plus ou moins soulagé « Ouf ! Nous avons passé une agréable fête de Noël ». A travers un tel humanisme économique, on peut constater le capital économique que s’accumulent les magasins de jouets pour enfants, de sapins de noël, des maisons de cadeaux; les compagnies aériennes, les hôtels, les restaurants et autres centres de vente. C´est la période la plus lucrative pour les différents centres commerciaux mondiaux.
Ce même humanisme économique traduit les places honorifiques occupées par les cadeaux les plus chers dans les festins, les réveillons, les banquets, etc. comme cela se fait dans les ventes aux enchères. Il traduit également le dessus que remporte l´offre sur la demande dans les magasins, les hôteleries, les restaurants ect. Du temps ayant précédé la naissance de Jésus c´était la même ampleur, car lorsque le moment pour que Marie mette au monde le petit enfant-Jésus était arrivé, il n’y avait plus de place dans les hôteleries, elles étaient remplies de gens trop préoccupés à manger, boire, s’enivrer puis fermer
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