Crise capitalisme
Compte Rendu : Crise capitalisme. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresadée : elles doivent rembourser des créanciers mais n’ont pas à leurs dispositions immédiates l’argent disponible pour le faire…(en raison des placements devenus illiquides).
Cette crise a surprise tout le monde, personne ne s’y attendait et surtout d’une telle ampleur. Un changement de la logique de fonctionnement interne aux banques pour essayer de limiter les dégâts, pour sauver l’économie à court terme.
c. … devenu la crise économique.
La crise économique est un ensemble de déséquilibre économique se traduisant généralement par une dépression ou une récession, des problèmes monétaire (inflation ou déflation) et le plus souvent, un sous emploi. En effet, la crise bancaire n’était que le début d’une plus grosse crise : la crise économique.
d. La crise sociale
Une crise est un événement social ou personnel qui se caractérise par un paroxysme des souffrances, des contradictions ou des incertitudes, pouvant produire des explosions de violence ou des révoltes. Les personnes ont des inquiétudes pour leur avenir, leur emploi, leur financement, vu la gravité de cette situation, la crise sociale ne pouvait que se déclencher.
e. La crise vue du côté capitaliste
D’après les capitalistes, la crise résulte d’une disjonction entre le structurelle entre salariat et capital à l’échelle mondiale. C'est-à-dire que le capitalisme prend en compte que le salariat comporte les actifs, mais aussi les chômeurs, les précaires, les retraités, et d’une certaine façon les jeunes faisant des études pour entrer dans le monde salariale. Et que dont le rapport capital travail ne sera pas le même selon le point de vue auquel on prend parti.
2. L’Etat possède toujours un décalage par rapport aux crises
f. L’Etat avec un train de retard
L’Etat prend conscience des crises avec un lourd retard à chaque fois. Il se concentre donc sur la crise actuelle, et ne cherche pas de solutions à la crise suivante. L’Etat est en fait complètement dépassé par toutes ces crises qui se succèdent très rapidement.
Par conséquent, ils ne comprennent pas les causes, et ne savent pas apporter des solutions efficaces que ce soit sur du court terme ou du long terme.
g. Une prise de conscience d’erreurs depuis plus d’un quart de siècle
Des solutions périmées, des mesures prises mais qui sont irrationnelles ! Les dirigeants prennent des mesures mais qui tentent seulement de sauver les acteurs du système capitaliste. En réalité, ils sont complètement désorientés, ils ne savent plus comment réagir à la crise, alors que c’est eux qui ont contribués à la créer. Une remise en cause d’un quart de siècle de mesures gouvernementales qui ont conduit à la crise actuelle.
3. Les facteurs de la crise
* La crise des subprime est une crise qui touche le secteur des prêts hypothécaires à risque (subprime mortgage) aux États-Unis à partir de juillet 2007. En instaurant une méfiance envers les créances titrisées (transformation des créances) comprenant une part de ces crédits, elle a participé au déclenchement du krach de l'automne 2008. Ces deux événements sont rétrospectivement considérés comme les deux étapes d'une même crise financière, entraînant une récession touchant l'ensemble de la planète.
* Les différents changements après la crise cyclique des années 1970 : mondialisation, financiarisation, baisse de la valeur ajoutée, montée des déficits publics et des dettes, destruction partielle des systèmes de protection sociales, apparition de nouveaux acteurs (hedge funds, fonds d’investissements,…).
Apparation du précariat : emploi pour les jeunes, CDD…
* Une véritable flambé du capital
* Appauvrissement du salariat
* Capital non investi productivement d’une peur d’une surproduction
* Problème de consommation
* Disjonction entre capital et travail
4. Conséquence de la crise
h. La monnaie
La monnaie possède 5 fonctions : Moyen d’échange, moyen de financement, moyen de crédit, moyen de thésaurisation, moyen de placement.
Le stade le plus avancée de la crise est l’effondrement de la valeur de la monnaie. Ce qui aurait des conséquences monumentales dans le monde entier. Car la monnaie, c’est l’économie.
i. Salaire se transformant en capital
Différentes fonctions de la monnaie, deux processus :
Transformation d’un moyen d’échange en capital
Exemple : Le salaire versé sur un compte bancaire devient un capital pour les banques.
Le salaire comporte deux fonctions :
* Salaire (rémunération) pour le salarié est un moyen d’existence, d’échange.
* Pour la banque, c’est un capital.
Possibilité d’investissement et de crédit transformé en capital de placement
Exemple : Le salaire épargné se transforme en capital de placement contrôlé par la banque.
L’épargne comporte deux fonctions :
* Protection et augmentation du revenu pour le salarié
* Profit financier pour la banque
Dans cette situation, les banques poussent les gens à épargner, car pour eux le financement épargne est un capital. Ils se servent de la crise pour avoir de plus en plus de capital.
5. Pays émergents
j. Augmentation du niveau de vie pour certains pays
Les pays émergents sont des pays en développement ouvrant des perspectives de débouchés aux firmes exportatrices du reste du monde, des opportunités d’investissement aux FMN (firmes multinationales) et de placements en capitaux mondiaux sur de nouveaux marchés financiers en forte expansion.
On pourrait plutôt parler de mégalopoles émergentes. En effet, ce sont les mégalopoles qui ont connus une croissance très rapide, donc une augmentation du niveau de vie pour ces populations urbaines. Contrairement aux ¾ du pays qui passent de la pauvreté à la misère, dû à la forte augmentation des inégalités sociales. On constate qu’il n’y a qu’une petite partie du pays qui connait une augmentation du niveau de vie.
k. Retournement de situation
Après avoir subis une grave crise financière, d’avoir été les plus endetté, les pays émergents prennent leur revanche. En effet, ils ont connus une forte croissance économique durant ces dix dernières années. Ils sont devenus créanciers et exportateurs de marchandises et de capitaux. La forte croissance des pays émergents tire vers le haut les prix des matières premières et des carburants. Ce
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